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    The Bling Ring
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    2,5
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    695 critiques spectateurs

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    Simon P.
    Simon P.

    48 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 août 2014
    Sofia Coppola nous dévoile une galerie de personnages aussi insupportables que méprisables dans ce film à la bande son sympathique et aux acteurs très bons qui pour la plupart sont inconnus. Un très bon film .
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 6 août 2014
    Incroyablement lourd ! Je suis dépitée. Avec un concept si accrocheur, ce film aurait dû donner beaucoup plus que de simples images de belles villas de stars, de fêtes avec alcool et selfies, ainsi que des dialogues totalement superficiels remplis à 60% de noms de grandes marques de fait la seule chose de bien dans ce film, c'est la fin. Mais ne perdez pas votre temps avec ça...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    Très déçu par ce film ,qui dépeint pourtant une histoire vrais.
    La bande son ,lui a fait perdre 2 étoiles ,heureusement il y a quelques moments de répit ,
    avec ces musiques qui donnent presque des crises d'épilepsie.
    lilybelle91
    lilybelle91

    67 abonnés 914 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2014
    Une comédie dramatique mineur pour Sofia Coppola, tant le propos est anecdotique et traité de la sorte...décevant !
    Henrick H.
    Henrick H.

    4 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 juillet 2014
    Sofia Coppola filme encore une fois la vacuité et les errements de l'adolescence et elle le maîtrise bien. Malgré la répétitivité des scènes de cambriolage, on reste intéressé par cette bande d'écervelés qui ne vit qu'à travers les artifices de la vie des stars qu'ils adulent. Les sentiments sont artificiels et superficiels, la seule obsession étant de vivre par procuration à travers les biens matériels des stars et de partager tout cela sur les réseaux sociaux. Une critique du L.A du show-biz, qui fait le buzz bien plus pour ses frasques que pour son talent artistique. Après Somewhere, elle arrive encore à signer, grâce à son talent de mise en scène, un film centré sur le vide.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 juillet 2014
    Dans The Bling Ring on reconnaît ,la patte Sofia Coppola c'est une évidence on le voit au plans séquence pour exemple .Tiré de faits réels ,la réalisatrice s'intéresse au ados sujet déjà traité dans ses films .Des comédiens au talent prometteur ,comme Emma Watson plus connu dans Harry Potter là ou sa carrière a débuté ,ou encore Taissa Farmiga de la première saison de la série Américan Horror Story .Pour la bande originale elle est nettement moins bien que les précédente ,puisque on bouffe du rap ou du RN'B comme si les jeunes n'écoutez que ça ,cependant le film reflète parfaitement bien les jeunes et la société de consommation ,addict au marques au point de les faire des cambriolages chez les stars .On les voit faire des cambriolages chez Paris Hilton ,Orlando Bloom ou encore Rachel Bilson ,il font la fête en boîte l'argent coule a flot mets les actes on toujours des conséquences et on le voit au fur et a mesure .Comme a son habitude Coppola réalise parfaitement son nouveau film avec énergie ou elle traite ,son sujet si bien un casting très bon mais ce film de Coppola es loin d'égaler l'excellent Lost In Translation .The Bling Ring est a voir mais n'est pas le meilleur de Sofia ,mais le sujet reste intéressent
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    209 abonnés 1 920 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 juillet 2014
    Le problème de ce film, c'est qu'il est aussi vide et superficiel que les personnages qu'il prétend (peut-être) critiquer. Le scénario est ultra répétitif, on attend vainement que ça décolle et aucun caractère ne ressort du lot. Bref, on assiste à une succession de clips de jeunes gens en train de faucher et essayer des fringues, de rouler dans des bagnoles de luxe, de se filmer sur des portables et de sniffer, le tout agrémenté d'une bande son fatigante. Sans intérêt.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 juillet 2014
    Sofia Coppola se retrouve piégée par sa propre douceur : les garnements du "bling ring" mériteraient un bon coup de pied au derrière, pas la même grâce que les cinq sœurs de "Virgin suicides".
    Thewiks79
    Thewiks79

    15 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2014
    Séduisant, plutôt proche d'un documentaires que d'un films. De bon acteurs épatant avec Emma Watson. Il faut voir le films telle qu'il est en sachant que c'est une histoire vrai. La fin est bien quand ont vois ce qu'ils leurs arrivent. Une face cachée qu'on ne connaissait pas.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 juillet 2014
    Dans The Bling Ring, Sofia Coppola s'inspire d'un article de Nancy Sales dans Vanity Fair, dans lequel la journaliste décrit les péripéties d'adolescents, issus de la petite bourgeoisie californienne, qui cambriolent les maisons des "stars", leurs "idoles", dans le but de pouvoir porter, toucher leurs vêtements, leurs bijoux… 
    Le scénario est plus fait pour un article de magazine que pour un long-métrage, même s'il ne dure qu'une heure vingt. 
    Il faut le dire, le film est moyen, mais est intéressant car s'il rate le fond du sujet (il n'y a pas de vrai critique, il s'agit plus d'un film-portrait), il permet, néanmoins, au spectateur de réfléchir sur la folie américaine : fétichisme, folie des marques, jeunesse perdue, religion devenue une superstition puérile.
     
    Le film n'est malheureusement qu'une mise en image de l'article de Vanity Fair, les sujets de fond ne sont pas abordés car, a s'intéresse seulement à filmer ces adolescents, sans grand talent. Les acteurs ne sont pas mauvais, c'est un plaisir de retrouver Emma Watson, mais l'image ne sert pas un scénario ou une quelconque critique sociétale.
     
    Le film intéresse essentiellement par son sujet ; il est intéressant sur le fond, pas tellement sur la forme.
    Si le fond du sujet est raté, car il n'est traité que partiellement, il reste intéressant. Ce film est un tableau, esthétiquement beau de manière temporaire, il convient d'en tirer les conséquences.
     
    Tout d'abord, une jeunesse perdue, thème classique, dans une société de consommation où la vie ne semble être qu'une illusion dans laquelle l'apparence règne. Cela passe, par le culte des marques de vêtements, de bijoux et de manière indirect de voiture. La tristesse et l'idiotie de ces jeunes n'est pas dans ce culte assez classique, mais plus dans le culte voué aux "stars" est plus particulièrement aux stars de la télé-réalité, qui sont au final aussi perdues que ces jeunes. Les uns deviennent riches pour leur idiotie, les autres pour le culte qu'ils vouent aux premiers ; l'égarement est leur réalité. Au final, les deux sont à plaindre.
    Le thème de la jeunesse perdue n'est pas abordé seulement par la volonté d'apparence, le mal est plus profond. Le culte des marques, est un culte qui en remplace un autre, disparu. Ce culte disparu, ce Dieu mort, est symbolisé par les courtes scènes, comiques, mettant en scène une partie d'une "famille" qui se rassemble pour prier et récite des paroles, qui marquent par leur caractère vide, creux.
    Ces prières, à défaut de donner du sens à leur vie, témoignent du vide de leur existence. Le personnage joué par Emma Watson, à part sortir le soir, faire du shopping et se vêtir de marque ne sait rien faire ; que va t'elle faire de sa vie ? elle ne sait pas trop, donc pour donner un sens, elle veut faire de l'humanitaire, pour faire "le bien" ; une fausse réponse qui témoigne de leur égarement, qui semble plus inconscient que conscient.
     
    Le thème du culte de l'apparence et des marques démontre un égarement pas seulement de la jeune génération, car les parents de ces jeunes vivent la même vie : une vie d'égarement. Il y a donc une transmission générationnelle du vide.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 juillet 2014
    Rce"jàcç"ç_g@"cçéc)@ubgch@ !!! Voilà une réaction à chaud d'énervement, après avoir vu le dernier film de Sofia Coppola. Enfin bref, je vais faire une réelle introduction pour tacher de reconduire ma pensée : Bienvenue mes chers amis, au temple de la superficialité, dans le palace des apparences, dans le château de l'illusion. Comme hôte, nous avons la présence de la réalisatrice, qui vous servira un cocktail de jeu d'acteurs à la limite de l'insoutenable, avec Emma Watson en tête, qui lors de la scène finale m'a fait fermer les yeux. Le majordome, ou plutôt les (acteurs), une bande de jeunes, véhiculent la bonne vertu (naturellement ironique) en, pendant le bal, volant, trichant, mentant à tout va, en allant jusqu'à transpirer un ridicule que je qualifierai avec chauvinisme d'américain. L'entrée, et bien il y en a pas : on tombe dans la vie d'un type ordinaire, dont les premières péripéties n'ont rien de succulentes. Le plat principal, par la réalisation, sera d'un ennui et d'un dégoût le plus total, avec des tentatives par le DJ dépêché spécialement pour cette occasion de relancer la machine avec des musiques post-2012 (pour la plupart), sans réussite. Pour le dessert, vous qui vous attendiez avec appétit à une acerbe critique de l'idéalisme américain, de la tendance people surévaluée ainsi que le rejet de la société du star-system idolâtrée, on vous servira tout d'abord un montage tout simplement dégoûtant, une niaiserie des plus totales, avec pour l'ultime moment du dîner, lors de la poignée de main finale, un refus : NON "The Bling Ring" ne donne en rien une critique, il observe, retrace les éléments, mais quels éléments ? Ceux de la vie de misérables et énervants (au possible) adolescents ayant commis divers larcins dans les maison de "stars", perdant même le procès à la fin. C'est presque du nihilisme. Merci de m'avoir montré Sofia que tu connaissais de nombreuses stars au point qu'ils t'ouvrent la porte de leurs maisons, je me serai bien passé de ce fromage là. La prochaine fois que tu m'appelles pour dîner, j'irai chez Patrick Sébastien pour mon samedi soir. Carton Rouge (c'est la CDM)
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 juillet 2014
    L'idée est bonne mais ça tourne en rond, c'est trop long. C'est pas extraordinaire, c'est sans plus.. 1H26 pour ça! Mais les fans de bling bling et d'ados, c'est l'idéal !
    Vinceralmetaladicted
    Vinceralmetaladicted

    30 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2014
    De l'artifice pour dénoncer la superficialité d'une jeunesse contemporaine... Sofia Coppola s'en sort assez bien malgré des répétitions ainsi que des facilités et faiblesses scénaristiques. Je misais personnellement peu sur ce film qui à première vue puait le "spring breaker" à 3km à la ronde. Ici on comprend très bien le partis pris par la réalisatrice qui nous plonge dans un monde ou tout est artificiel. Quand bien même l'esthétique est extrêmement bien travaillé, on ne pourra s'empêcher de se demander si cette exposition d'éléments "bling bling" à tout va et pour tous les sens (car la musique de ce monde n'est pas mise de côté), n'est pas en quelque sorte un fan service moralisé..... Mais la fin nous prouve que non en finissant sur de l'absurde et un retours au réel.
    N.B: le générique aurait pu bénéficier d'un autre style de musique pour ne pas trop décrédibiliser la volonté de Sofia Coppola.
    13/20
    norman06
    norman06

    352 abonnés 1 677 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juin 2014
    Fidèle à son style élégant et au thème de la déliquescence de l'adolescence, S. Coppola brosse portrait au vitriol d'une certaine Amérique.
    Hastur64
    Hastur64

    229 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juin 2014
    introduits dans des maisons de stars, sans aucune difficulté, et ont volé fringues, accessoires et argent à ces dernières. La réalisatrice ne fait pas un récit chronologique des faits, mais en montre les étapes marquantes tout en nous présentant les adolescents et dessinant ce qui constituait leurs motivations. On n'est pas dans une célébration, ni une glamourisation des actes de cette petite bande de cambrioleurs (faut dire ce qui est) et on a même du mal sur la longueur à les trouver sympathiques. La réalisatrice à travers ce fait divers et ses acteurs pointe du doigt une dérive de la jeunesse qui est biberonnée au star-système et aux réseaux sociaux. On perçoit bien la volonté d'identification de ces jeunes avec les stars ou plutôt les starlettes qu'ils voient dans les magazines, dans les blogs et sur Twitter ou Facebook. Leurs cambriolages ne leur servent qu'à les approcher indirectement et à se procurer les attributs de ce star système que vendent les médias: fringues de marque, accessoires hors de prix, argent et ce qu'il procure comme la drogue ou les entrées dans des nightclubs ayant pignon sur rue. Les dernières 20 minutes sont d'ailleurs les plus intéressantes car elles montrent à quel point les mimiques et les discours de ces stars qui se retrouves devant les caméras et les tribunaux ont déteint sur ces jeunes, qui entrent eux aussi (par leurs actes répréhensibles) dans ce système médiatique. Pas le meilleur film de Sofia Coppola, en tout cas pas mon préféré, mais une cinglante démonstration de ce miroir aux alouettes que constitue la célébrité à tout prix relayée par des médias qui en vivent. Pas une grande histoire, mais une radiographie d'un phénomène de société qui laisse songeur devant sa très grande vacuité.
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