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    The Bling Ring
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    2,5
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    694 critiques spectateurs

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    Mallory B.
    Mallory B.

    22 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juin 2013
    En tant que fan de Coppola, je ne peux qu'aimer ce film ! Et étant une vraie fashionista accro au luxe et aux marques, je ne peux qu'admirer les scènes dans les maisons de Paris, Lindsay etc.. :)
    J'ai adoré ! Certes c'est plat et prévisible, mais comme tout bon Coppola qui se respecte, soit on aime, soit on n'aime pas ! :)
    Claudine G
    Claudine G

    202 abonnés 493 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 juin 2013
    Le moins que l'on puisse dire c'est que la fille n'a pas le talent de son père. Cette bande de jeunes qui s'ennuient et se distraient en cambriolant la gente people hollywoodienne, aucun intérêt. Rien à ajouter.
    Nicolas Wileski
    Nicolas Wileski

    15 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2013
    Sofia Coppola traite avec beaucoup d’ironie son petit gang amateur, souvent confondant de naïveté.... Optant pour une mise en scène réaliste, proche du documentaire, la cinéaste questionne aussi notre société du spectacle. L'ensemble laisse sur sa faim , bien dommage qu'il manque de profondeur.....
    LaPoesiedAtitla
    LaPoesiedAtitla

    3 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 juin 2013
    Ce film manque de propos, de profondeur... et se retrouvent limité à montrer presque en boucle les scènes de "visites" des villas des stars auxquels les jeunes s'identifient. Le film est très court en terme de durée, mais paraît une éternité.
    Seul le rôle tenu par Emma Watson bénéficie de quelques répliques sympa, notamment la toute dernière !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 21 juin 2013
    Un sujet qui semblait prédestiné à la plus surestimée des cinéastes, Sofia Coppola, qui a toujours fait preuve de vacuité et de superficialité dans toute sa filmographie. Ici je m'attendais à voir des jeunes idiots bien de notre époque, scotchés au portable et accrocs aux people, dévaliser des maisons de stars pour simplement avoir l'impression, quelques instants, de vivre leurs "vies". Et c'est exactement, sans aucune surprise, ce que j'ai vu. Rien de plus. Alors, quel intérêt ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 juin 2013
    Simple fait divers étasunien remouliné en docu-fiction, caprice de fille à papa. Ou alerte. La dérive du bling-bling et ses grelots, toutes autorités démissionnaires, les parents d'abord mais aussi les éducateurs, toujours plus entravés ou qui jettent l'éponge. Voilà à quoi font penser ces jeunes broyés par un système implacable sans le savoir. Ce qui frappe chez les "Bonnie and Clyde" de Sofia Coppola, c'est leur "je veux". Ils se servent. Automatiques, comme le bébé attrape sa peluche avant de s'endormir. Objectif de ces enfants regroupés autour de leurs totems, ces stars incarnant la perfection physique et l'illusion que l'argent rend immortel : s'autoproclamer people. Au lieu de la sortie de l'enfance qui "tue" père et mère et rend autonome, piétiner entre bébé et adolescent selon ce qui arrange. Seront-ils adultes à quarante, cinquante ans, jamais ?... L'accent est mis sur le frisson né du risque toujours plus poussé, sur le doute faute de repères véritables, le film restant disert sur les débordements sexuels. Les gardes-fous font sourire (cette petite prière exhortant à la bonté), quelques rudiments new age... Sous le vernis, on sent le renoncement à la vie réelle. A tout effort d'abord. Avec cette frilosité des adultes en face, l'assurance d'être manipulés et donc méprisés... Est-ce pour avoir la paix ? De peur de perdre l'amour des... petits monstres ? Les papas restent drôlement en retrait dans cette description vertigineuse, les mères aux premières loges ! Les menottes autoriseraient bien à dire "ouf" sans l'effet boomerang de la dernière minute... Entre tous les autres films de la réalisatrice, c'est à "Virgin Suicides" qu'on pense, mêmes surexpositions vaines, même détresse juvénile. La musique en revanche, aurait gagné à limiter les sirènes.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 juin 2013
    Dommage que le film manque d'obstacle : tout se passe comme prévu, autant les 4 ou 5 cambriolages, que leurs conséquences. Certes, on veut raconter que les choses sont faciles à prendre, mais du coup, on s'ennuie.
    Mais j'ai adoré les personnages, surtout Nicki qui n'est pas une simple schizo, mais une ado qui se perd dans l'image qu'elle veut donner, dans l'exercice de la représentation, et ça, je trouve que c'est très actuel. Même en France, il n'y a qu'à allumer quelques chaines privées pour le voir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 juin 2013
    The Bling Ring raconte les aventures d'une communauté de l'anneau (ring) d'un nouveau type, en rien motivée par la liberté mais au contraire par la possession et l'accumulation. Fascinée par les vedettes de Los Angeles, la petite bande shoppe sans scrupules dans leurs faramineux dressing rooms mieux fournis que nombre de boutiques. Si l'adage : « plus on a, moins on est » est vrai , qu'est-ce qu'il reste des personnages que Sofia Coppola met en scène une fois que ces enfants (presque) tous gâtés se retrouvent dépouillés de leurs atours ? Une inconscience abyssale. Seul le désir de paraître et de s'afficher en boîte, devant les journalistes ou sur Facebook semble les animer, avant comme après avoir être pris la main dans le sac à Rolex. Même l'amitié ne les relie pas : seul Mark (Israël Boussard), le plus désargenté du lot, semble éprouver des sentiments forts et sincères. Et c'est aussi le seul qui paraît se rendre compte que jour après jour, cambriolage après cambriolage, ils sont en train de dérober trois millions de dollars en Louboutin, Chanel et autres Hervé Léger. La communauté n'est qu'apparence, tout en bling bling. Les parents eux-mêmes sont creux et comme absents quand ils encouragent leurs filles dans des plans de carrière vaniteux et sans profondeur.

    Le film met en évidence que lorsque l'on a tout, ce n'est pas suffisant, ce n'est jamais suffisant. Ce ne le sera jamais. Leur avidité est insatiable. Pourtant, si la petite bande s'était montrée plus maligne, elle aura pu continuer ses prouesses longtemps, les stars possédant tant de choses qu'elles ne semblaient pas toujours s'apercevoir de la disparition de leurs biens. Que Nikkie (Emma Watson) se retrouve en prison aux côtés de Lindsay Lohan qu'elle a dévalisée et qui est elle-même condamnée pour le vol d'un collier ne manque ni de sel, ni de sens.

    A vouloir montrer la vacuité de ces adolescents, de leurs modèles et de leurs parents, tous très peu sympathiques, Sofia Coppola a réalisé un film kitsch qui leur ressemblent. Tout en faux-semblants et en paillettes, sans profondeur, The Bling Ring mime son sujet. Selon l'angle sous lequel on le regarde, on le trouvera absolument réussi ou totalement raté. Quoiqu'il en soit, on est loin, très loin, de la vaine élégance surannée de Somewhere où les palaces servaient d'écrins à la grâce d'Elle Faning
    Charles G
    Charles G

    33 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juin 2013
    Sofia Coppola continue sur sa lancée avec un nouveau film faisant l’apologie de tout ce qui est jeune et beau. On perçoit très nettement la réalisatrice qui, derrière sa caméra, bave sur ce petit monde qu'elle regrette d'avoir quitté trop tôt à son goût. Le luxe débordant à tel point qu'il n'est savouré par personne pourrait être un sujet intéressant s'il en était fait quelque chose, et pas juste se contenter de filmer des magnifiques jeunes filles habillées comme des mannequins faisant irruption dans les villas paradisiaques de quelques stars hollywoodiennes. Le film est sans grand intérêt, sans enjeu, sans profondeur. Tout juste espère-t-on que ces jeunes à la mentalité puante se fassent violemment abattre lors d'une de leur escapade pour pimenter le propos, mais ça tacherait l'image immaculée que Sofia veut diffuser. Bref, on s'ennuie, le film embrasse des valeurs assez douteuses et les acteurs ne sont pas extras. On zappe.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 juin 2013
    Portraits cyniques d'une jeunesse et d'un pays qui ne jure que par l'apparence et la possession de biens, S. Coppola filme avec un œil avisé et mélancolique, presque désolé pour cette jeunesse. Mais elle n'oublie pas son esthétisme, aidé par son DP H. Savides (décédé pendant le tournage), qui aura capté le soleil californien une dernière fois mais avec brio. Le film possède une dynamique un peu foutraque par contre, entre coupé de scènes pour expliquer son propos et ses personnages loin d'être empathiques. Totalement délaissés par leurs parents, livrés à eux même et déconnectés de la réalité, la réalisatrice peint leur image comme des adolescents perdus, tout simplement, qui suivent les mauvais modèles plus populaires, plus célèbres pour des fais divers et une notoriété reposant sur du néant. Mais son film est tellement cool avec sa bande-son dynamique et ses superbes images au ralenti lors des procès, que même les sentences ne semblent pas lourdes car les images restent imprégnées et peuvent donner une fausse idée à ses propos. Quand la coolitude l'emporte sur la morale, on en arrive à ce qu'elle critiquait. Un demi-succès ou semi-échec.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 21 juin 2013
    S.O.S.....S.O.S...On a perdu Sofia Coppola....Il est bien loin le temps de Virgin Suicides et lost in translation. C'est vide, plus creux qu'une gaufrette..Cruelle déception.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 juin 2013
    Après avoir adoré Virgin Suicide et Lost in translation j'ai été déçu par Marie Antoinette et détesté Somewhere. Allons-y pour les défauts : oui, le mécanisme des cambriolages est répétitif et pourrait lasser, les personnages et leurs interactions sont superficiellement traités et le procès et les justifications des protagonistes malheureusement peu traitées. Tous ces points je les ai regrettés. Et pourtant..... j'ai passé un bon moment malgré tout. Les acteurs sont très bons, la photo jolie, une bonne bande son et surtout, malgré (ou grâce à) ses défauts un portrait en creux se dessine de l'Amérique et de sa jeunesse, ses médias, ses obsessions. Et par courts moments, sur quelques secondes d'une scène on a un bout de phrase ou une image qui n'est pas là par hasard, un peu amer ou ironique sur cette société. Pas une réussite absolue comme Virgin mais mérite d'être vu, ne serait ce que pour se faire son avis. ;-)
    Requiemovies
    Requiemovies

    205 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juin 2013
    « Lent », « Répétitif »…. Comment mieux dépeindre le milieu que Sofia Coppola tente de critiquer. La réalisatrice n’a pourtant pas changé son ADN de cinéaste. Elle poursuit simplement son chemin et inscrit une fois de plus la mélancolie qui caractérise ses films dans l’univers adolescent, ici bourgeois, baigné de paillettes hollywoodiennes.
    Si The Bling Ring s’avère cette fois beaucoup plus métronomique, il n’en demeure pas moins le reflet exact d’une critique légère et peu engagée de la réalisatrice. Sofia Coppola met simplement en scène ses éternelles obsessions post-adolescentes.
    Tout n’est pourtant que le reflet de la génération qu’elle adore filmer. Une bande son qui habille le quotidien sonore de ses adolescents, à en être soûlé, abreuvé, jusqu’à l’overdose, zappé d’un titre à un autre en répétant les paroles sans en comprendre le sens.
    (...)
    Chef de file des films au spleen baudelairien, Sofia Coppola continu son chemin dans la pure lignée de ses précédentes réalisations. Étrangement, la majorité du public et de la critique ne suit plus alors qu’elle ne fait que reproduire ce pour quoi certains l’ont mis sur un piédestal, encore sur un sujet différent. Elle est effectivement en deçà de son talent habituel ; versant répétitif et longueurs, on préférait Somewhere.
    The Bling Ring est donc le film qu’on pouvait attendre, l’adaptation d’un fait-divers par une mise en scène enivrante et presque onirique dans sa forme. Le regard est juste, réaliste et presque tendre sur une jeunesse que la réalisatrice a côtoyé en son épicentre. Et si la lecture de cette vie de vacuité consumériste qu’elle tente de dépeindre peut-être mal interprété, le dernier plan est là pour rappeler toute la superficialité d’un avenir médiatisé. Au final, une description assez juste d’une petite partie de la génération Y.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 juin 2013
    Heureusement qu'Emma Watson est là ... c'est le seul point positif!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 juin 2013
    Bien que les musiques soient cool, que le sujet avait, a priori, du potentiel, et que certains acteurs jouent très bien, je me suis plutôt ennuyé, trouvant les scènes trop classiques, trop clichés. Je m'attendais à mieux.
    La scène finale m'a agréablement surprise par contre!
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