Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,5
Publiée le 21 novembre 2013
personnages superficiels domage parce qu on a envie de découvrir leur monde ... les scénes sans son perdent leurs interets par leurs longeurs et leurs répetitions . un film moyen voir tres moyen dommage car le scénario aurait pu etre interssant
Basé sur des faits réels, The Bling Ring raconte les exploits d'un groupe de jeunes lycéens aisés de Los Angeles qui décident de cambrioler les villas des stars hollywoodiennes. Sous couvert d'exposer et dénoncer la vanité et la vacuité du "star-system", Sofia Coppola, nous concocte un film incroyablement vain et vide; alors grosse foirade ou géniale mise en abyme? Personnellement je pencherai plutôt pour la première option. Le premier problème ici, c'est que faits réels, et ceux là en particuliers, ne sont pas tous intéressants, le deuxième c'est qu'au vue de sa filmographie, c'est certainement pas Sofia Coppola qui allait "pimenter" cette histoire sans intérêt. Du coup, pendant plus d'une heure, on nous bassine avec des petits cons pourris gâtés, complètement déconnectés de la réalité, qui passent leur temps à poster des "selfies" sur Facebook et dire "cool" et "j'hallucine": navrant. Et puis est-ce vraiment nécessaire de nous montrer cinq ou six séquences de cambriolage pratiquement identiques quand une aurait tout à fait suffit?! Enfin, le procès, seule étape qui aurait pu être un tant soit peu intéressante et peut être nous éclairer d'avantage sur la personnalité, les motivations ou les regrets des protagonistes -parce qu'à part qu'ils sont détestables on ne sait pas grand chose d'eux, est expédié en deux temps trois mouvements et est même prétexte à une énième scène d'essayage sans intérêt (enfin ce ne sera que la 397ème du film)! Au final en plus d'être terriblement ennuyeux, ce film semble, volontairement ou non, faire la promotion de cette fascination malsaine pour la célébrité et le "blingbling", c'est flagrant notamment avec cette scène interminable où le gang explore le dressing de Paris Hilton, comme si c'était Narnia et nous dresse une liste détaillée de toutes les marques de luxe qu'on y trouve:" oh une robe Balmain! -oh un sac Vuitton"; je n'avais pas vu de placement produits si subtil depuis World War Z.
Le talent de trois jeunes acteurs prometteurs ne suffit pas à rattraper un film qui s'attarde sur l'inutile en oubliant d'analyser le subtile. The Bling Ring gâche un sujet en or. Là où il aurait été intéressant de mettre en avant les inégalités de la société, la décadence de la morale à travers le culte de l'apparence, et surtout de comprendre le ressenti de ces adolescents, Sofia Coppola nous sert une succession de braquages tous similaires et une collection de marques bling bling, ce dont on avait, à vrai dire, rien à faire. Depuis quand choisir un bon sujet suffit pour réussir un film ?
Ceci est un résumé. N'hésitez pas à consulter ma critique complète sur :)
Sofia Coppola se plonge dans l'univers des petites pépettes qui se prennent pour des starlettes. La réalisation est médiocre et nous donne l'impression de tourner en rond pendant toute la durée du film...réalisation qui ne pourra pas non plus s'appuyer sur son scénario aussi inintéressant soit-il. Un groupe de gonzesses (toujours accompagnées d'un mec efféminé) qui rentre par effraction dans les maisons luxueuses de leurs modèles (Hilton & compagnie) aussi simplement qu'on ouvre notre frigo. Creux au possible, on se contentera seulement de voir la suite des aventures de la petite Hermione Granger...
"The Bling Ring" ne va pas sans rappeler Spring "Breakers" (sorti la même année). Bien sûr, tout est question de point de vue, mais il semblerait que le film de Sofia COPPOLA soit mieux réussi. La célèbre réalisatrice s'approprie efficacement le sujet. Malheureusement, le film comprend quelques imperfections préjudiciables : série de braquage ennuyeuse, mauvaise utilisation des flashforward, etc. Le film ne devient prenant qu'à partir du dernier quart d'heure. C'est dommage, car en plus d'être original, "The Bling Ring" bénéficiait d'une mise en scène réaliste.
la première partie ressemble à ces séries américaines du genre beverly hills ou gossip girl ou à ces "reality shows" qu'affectionne MTV, puis le film prend la tournure de ces séries policières avec avocats, perquisitions et condamnation à la clé , tout cela à la sauce US, pas très profond tout cela, un monde de jeunes désoeuvrés , attirés comme les pies par tout ce qui brille , ils ne volaient que pour le plaisir de voler, après tout aucuns d'eux n'étaient vraiment dans le besoin, encore une image de cette amérique de tous les excès, transgresser les règles et les conséquences que tout cela comporte font partie de tout un système, le film s'inspire de faits réels, mais la question que l'on se pose est: comment se fait-il que tous ces gens immensément riches n'avaient aucunes protections de sécurité du genre alarme ou autres, ils rentraient dans ces villas comme on entre dans un magasin, à part qu'ici ils sortaient sans payer? étrange ! du point de vue technique sur le film, rien de particulier ce n'est certes pas un film qui restera dans les annales, la fille de coppola fait des films point barre, on est loin des films du papa !
C'est une dérive de nos société que Sofia Coppola nous montre, un côté pervers. De jeunes adolescents sont fasciné par le monde des people. Ce monde de "rêve" leur est vendu par les médias. Ce sont aussi des jeunes qui veulent exister, être admirés. Tout cela les conduit à suivre une voie malsaine. A la fin, ils finissent effectivement par exister, mais pas comme ils l'auraient voulu.
Un scénario assez alléchant sur le papier mais encore très mal exploité par Sofia Coppola dont je ne comprends pas le succès. Après Lost in translation, je ne pouvais que m'attendre à un film basé sur l'esthétique et la musique. Des scènes répétitives, inutiles et inappropriées s'ajoutent à ce film. On retiendra tout de même les bonnes prestations des acteurs et une musique bien choisie qui sauve ce qui reste à sauver...
Une distribution de jeunes acteurs pour un film plus que sympa tiré d'une histoire vraie! Mais bigre de fichtre, c'est vraiment vrai que les stars hollywoodiennes laissent leur maison ouvertes quand elles sont pas la???qu'elles ont un système de sécurité inexistant?? M'enfin hormis cela, le film traite surtout des jeunes face à la mode, l'argent facile et tous les vices qui en découlent. A voir au moins une fois
Fait plutôt marrant à constater, le film qui aura attiré mon oeil de cinéphile encore par certains aspects profane sur Sofia Coppola est de très loin celui que j'ai le moins aimé. Bercée dans le milieu de luxe et de vide qu'elle met en scène, la cinéaste finit par perdre la lucidité qu'elle avait réussi à conserver jusque là en traitant de thèmes pourtant assez proches. Car derrière son oubli de condamner clairement ce qu'elle expose apparaît nettement son affection pour le milieu qui l'a vu grandir. On se retrouve alors entre deux eaux, entre empathie et une sévérité de façade, sans réelle vision d'auteur. De plus, si sa capacité à saisir la forme et à mettre en lumière les traits qu'elle souhaite étudier est restée - presque - intacte (aidée par une mise en scène réaliste et objective qui renforce l'aspect fait divers et la réalité de la situation), elle est plus que jamais la seule facette d'un récit qui ne repose que sur du vide, le vide d'une vie par procuration dans un faste superficiel. Et Coppola est incapable de souligner efficacement, derrière tout cela, le mal-être des membres du Bling Ring, ne sachant apporter à ces âmes égarées une dimension humaine qu' Harmony Korine avait si bien su greffer à ses Spring Breakers avec un lyrisme et un surréalisme forts. Comment alors venir titiller l'empathie du spectateur, quand la naïveté et le ridicule des personnages de base provoque au contraire un désir de condamnation et de rejet. En tout cas, aucune orientation ne se dégage clairement de The Bling Ring, qui, à force d'aller à contresens des attaches personnelles de son auteur, en devient impersonnel à cause de la répugnance de celle-ci de regarder ses personnages avec trop de sévérité. Bref, un film vide sur le vide, une oeuvre qui ne sait pas où elle va traitant d'adolescents perdus, la fusion du fond et de la forme si chère à Coppola père (d'ailleurs producteur délégué) est parfaite. Mais cet ensemble pataud et sans réelle implication est bien indigne d'une Sofia Coppola qui signe pourtant une oeuvre derrière laquelle se cachent encore et toujours ses obsessions adolescentes.
Sofia Coppola, c’est le chef d’œuvre noir Virgin Suicides, c’est la perle Lost In Translation, c’est aussi le ridicule Marie-Antoinette, puis le cruellement ennuyeux Somewhere, et enfin l’affligeant The Bling Ring. Et oui depuis que Sofia a voulu s’émanciper de papa et battre de ses propres ailes avec Marie-Antoinette c’est le grand fiasco. Et je commence à me demander si S. Coppola n’est pas devenue une imposture dans le cinéma, une fille de riche qui n’a rien à dire. Je m’explique.
Pour sa dernière œuvre Sofia reprend un article de Vanity Fair : Une bande d’adolescents friqués de L.A. et qui ont pour unique passe-temps, cambrioler les villas des stars hollywoodiennes. Je suis donc heureuse de constater que la réalisatrice a réussi à changer de registre, l’adolescence, once again. Mais bon, le sujet avait excellemment bien été traité dans Virgin Suicides alors pourquoi pas dans celui-ci. En plus de ça, on avait eu le droit à une petite brochette de films sur les ados à la dérive en ce début d’année 2013 avec notamment le gang des Foxfire et Spring Breakers. C’était l’occasion de comparer des films avec une jeunesse très similaire.
imagesJ’étais curieuse de découvrir la façon dont elle allait traiter un article digne de Voici qui semble à première vue vide. Et je dois dire qu’il y a plutôt de l’idée dans The Bling Ring : une jeunesse élevé dans Internet, qui s’emmerde, le culte du paraitre, critique d’une société du rien. Le problème c’est qu’on a l’impression que Sofia ne sait pas le retranscrire devant la caméra et qu’au final on se fait royalement chier. On a des jeunes qui rêvent de devenir des riches stars et qui sont prêt à tout pour être en couverture de magazine. Ce but ultime ils l’atteignent en se faisant arrêter à force de cambrioler les maisons des stars, certes. Et ensuite ? Rien ! Les personnages restent antipathiques du début à la fin, on ne connait pas leur passé, leurs motivations, leurs envies… Il n’y a aucune surprise dans ce film qui ressemble plus à un numéro de ELLE qu’à un film d’auteur. On constate rapidement que la miss Coppola exploite partiellement les scènes dans les villas qui, auraient pu être de véritables parcs d’attraction pour la bande. Les cambriolages se répètent sans cesse sans jamais rien apporter de nouveau si ce n’est faire baver un peu plus les fillettes collectionnant les photos de stars. On a au final une succession « oh ! wouah ! Oh my god ! A prada ! A Channel ». Je ne regrette pas que le film n’est duré que d’1h30.
A plusieurs reprises, elle utilise des images et vidéos de TMZ qu’elle intercale entre les scènes, certes en total raccord avec son sujet. Ok. Le seul souci c’est qu’encore une fois ça n’apporte rien au film, ça tombe comme un cheveu sur la soupe, on ne comprend pas qu’est-ce que ça vient faire là et. A se demander si on n’est pas en train de regarder 50 minutes Inside sur TF1.
Le seul point positif du film serait quand même les petites scènes drôles avec notamment la mère complètement déjantée, les mensonges d’Emma à la mère et aux médias qui m’ont bien fait sourire.
En conclusion : On prend une actrice aux rôles de gentille petite fille (Emma Watson ou Selena Gomez pour Spring Breakers) et on la transforme en shagasse de la night pour attirer les ados et ça fonctionne.. ou pas.
Ce film, qui n'est pas foncièrement mauvais, ne vaut hélas presque uniquement que parce qu'il est tiré d'un fait divers réel. En dehors de ça, il manque franchement de mordant, l'histoire est très répétitive et on se met très rapidement à attendre un coup de théâtre qui s'avère très prévisible. La fin, comme l'immense majorité des productions Hollywoodiennes, est expédiée. On attendait d'une tel fait divers, un thriller à rebondissement, à coté de ça, on a une histoire racontée d'une façon très banale et sans relief. Coller de trop près à la réalité des événements, est parfois un très mauvais choix scénaristique.