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Note moyenne
3,1
28 titres de presse
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20 Minutes
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Elle
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L'Obs
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Le Monde
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Le Parisien
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Les Inrockuptibles
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Studio Ciné Live
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Télé 7 Jours
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TéléCinéObs
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Télérama
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Cahiers du Cinéma
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CinemaTeaser
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Ecran Large
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L'Obs
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Le Journal du Dimanche
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Le Point
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Les Fiches du Cinéma
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Libération
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Ouest France
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Première
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Transfuge
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Chronic'art.com
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Critikat.com
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L'Express
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La Croix
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Positif
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aVoir-aLire.com
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TF1 News
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
20 Minutes
[Ce] film, aussi brillant que les bijoux dérobés par ses héros, fait découvrir une poignée de jeunes acteurs épatants.
Elle
Ce film reconstitue, sur une bande-son qui décoiffe, l'emballement dans la délinquance mais sans juger ni dépasser le stade fétichiste de ce monde éclatant de vide dans des dressings qui regorgent de trop-plein.
L'Obs
(...) [Sofia Coppola] est partie intégrante du milieu qu'elle décrit. Elle le fait avec talent : ses gamines sont les héritières des riches oisifs d'Antonioni.
Le Monde
Cité des Anges ou cité des démons, peu importe en définitive, Los Angeles est un des personnages de ce film étonnant, sorte d'avant-garde de l'humanité en proie à un processus de glorification des marques.
Le Parisien
[Un] film réaliste et drôlatique à la fois.
Les Inrockuptibles
Sofia Coppola traite avec beaucoup d’ironie son petit gang amateur, souvent confondant de naïveté (...). Mais c’est la tendresse qui l’emporte.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Optant pour une mise en scène réaliste, proche du documentaire, la cinéaste questionne aussi notre société du spectacle. (...) A méditer.
TéléCinéObs
Le film, lui, se déploie progressivement, la mise en scène très "ligne claire" de Coppola imposant peu à peu son ironie douce mais cinglante (la photo de Harris Savides, mort à la fin du tournage, y est pour beaucoup). Coppola est une impressionniste de la vacuité.
Télérama
Tant d'ironie devrait nous conduire à un grand malaise face à la vacuité abyssale de ce petit monde. Or l'effet est plus mélangé. (...) Le film reste séduisant, cool.
Cahiers du Cinéma
Sofia Coppola promenant sur toutes choses un regard placide quoique jamais surplombant, l’ensemble finit par souffrir de son indétermination.
CinemaTeaser
Une convaincante chronique de l'adolescence perdue par la papesse du genre, Sofia Coppola.
Ecran Large
"The bling ring" est le film qui ressemble le plus à Sofia Coppola, celui où elle n'essaie plus de passer pour ce qu'elle n'est pas et assume être cette fille à papa, cette voisine des stars, avant même d'être une cinéaste.
L'Obs
Le spectacle de ces lascars (...) n'est pas si ennuyeux qu'il aurait pu l'être, le film ne manquant pas de rythme et, par moments, d'humour ; il n'est pas non plus passionnant, la réflexion de Sofia Coppola n'étant jamais que très sommaire.
Le Journal du Dimanche
Sur fond de BO pop, Sofia Coppola filme avec une élégance désenchantée cette génération bling-bling à la futilité déroutante, incarnée par une bande de jeunes acteurs clinquants à souhait. [...] On regrette qu'en tenant à tout prix à garder ses distances, la cinéaste ne soit pas allée, elle, au-delà des apparences.
Le Point
Voir la critique sur le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Fidèle à ses obsessions, Sofia Coppola s'approprie un fait divers clinquant et renoue - avec plus ou moins de grâce - avec son spleen adolescent.
Libération
[Sofia Coppola] (...) tente d’écrire un commentaire acide du matérialisme. Mais n’est pas Truman Capote ou Bret Easton Ellis qui veut, et "The Bling Ring" embrasse les vanités, les cajole tout en voulant les raisonner.
Ouest France
Des scènes répétitives sur un scénario qui tourne un peu en rond. Mais un portrait de groupe avisé, entre ironie et empathie, autour des thèmes chers à la cinéaste.
Première
Le résultat, d'une coolitude à toute épreuve, ne décolle que par intermittence.
Transfuge
Fidèle a elle même, la cinéaste (...) problématise son éternel sujet : la vacuité des privilégiées. Seulement, comme dans "Somewhere", elle se permet de les juger. (...) Résultat : son humour mélancolique fait place au sarcasme.
Chronic'art.com
"The Bling Ring" n'arrive pas à assumer sa part de présent, à se départir de la fixité muette et de l'aspect vitrifié du cinéma de Sofia Coppola.
Critikat.com
D'un sujet fascinant, Sofia Coppola tire un film guère plus palpitant qu'un épisode de "Hollywood Stories".
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
En cherchant ce qui pouvait motiver l'addiction de ces jeunes dévorés par le matérialisme et l'illusion de la réussite facile, Sofia Coppola, ex-petite fille riche, expose complaisamment cet univers de marques (citées à tour de bras) et semble se repaître de ce qu'elle dit vouloir dénoncer.
Positif
Le portrait d'une adolescence se rêvant plus riche et photogénique qu'elle n'est se noie dans une enfilade de cambriolages, version shopping list de magazine féminin.
aVoir-aLire.com
(…) ce n’est pas un schéma narratif extrêmement répétitif qui viendra nous faire croire que "The Bling Ring" est le film cool qu’il prétend être : il s’agit plutôt d’un film rigide, muet, où la vie est totalement absente.
TF1 News
"The Bling Ring" se résume assez rapidement à une succession de scènes où quelques guests s'autocaricaturent (...). Et c'est schématique. C'est long, aussi.