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Romy D
1 critique
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4,0
Publiée le 18 février 2015
C'est un très bon film , très marrant , c'est bien l'esprit des dessins animés , et je pense avoir rigoler beaucoup de temps pendant le film . Mais je pensais avoir plus de temps accordé pour les images de synthèses mais on retrouve surtout beaucoup de dessins animés . MAIS ça reste tout de même super !
Voilà de quoi redonner goût à la débilité! Une quantité impressionnante de blagues pourries et de scènes improbables. Servi par des dialogues travailler et une histoire qui n'est pas sans montrer une critique constructive sous-jacentes de la société (ou pas)! Un flim à voir (sans la 3D qui ne sert toujours à rien...).
Une deuxième aventure cinématographique pour Bob l'éponge et ses amis toujours aussi déjantés. Les enfants adoreront le rythme et le comique de certaines situations, même si l'ensemble est en-deça du premier film.
Tout ça est d’autant plus dommageable que le film est hélas sabordé par 2 énormes défauts. Le premier n’est pas à mettre sur le dos du réalisateur Paul Tibbitt, mais plutôt sur celui de la production française. Car en effet le film ne bénéficie pas d’une VF irréprochable, loin de là !
La salle était remplie de gamins pour l’avant-première de Bob l’éponge – Le film : Un héros sort de l’eau, réalisé par Paul Tibbitt, ce dimanche 15 février. Bien que les chérubins envahissant la salle furent hilares, le premier volet prenait soin de faire des blagues pour un public plus adulte tandis que celui-là nous aura laissé de marbre. Douze ans, déjà, séparent les deux volets qui ne s’adresse plus au même public.
À Bikini Bottom, rien ne va plus, on a volé la recette du pâté au crabe pourtant précieusement enfermée dans le coffre de Monsieur Krabs (Clancy Brown). Avec l’aide de son pire ennemi, Plankton (Doug Lawrence), pour une fois innocent, et de ses fidèles amis Patrick l’étoile de mer (Bill Fagerbakke), Sandy l’écureuil (Carolyn Lawrence) et Carlo le calamar (Rodger Bumpass), Bob l’éponge (Tom Kenny) va partir à sa recherche. Il aura à en découdre avec Steak Barbare (Antonio Banderas), un terrible pirate.
Que dire de ce dernier épisode cinématographique de Bob l’éponge ? Pas grand choses si ce n’est de ne pas y aller si vous avez plus de huit ans et une semaine de boulot chargée. À moins que vous souhaitiez faire la sieste au cinéma. Si vous approchez la trentaine, rien ne vous parlera réellement si ce n’est, peut-être la référence post-apocalyptique à Mad Max et le déliré très H2G2 – Le Guide du Voyageur Galactique sur les dauphins. Bob l’éponge – Le film : un héros sort de l’eau est véritablement un film générationnel. Cet épisode mise davantage sur l’auto-référencement que sur l’éparpillement de références extérieures. Pour l’apprécier, il faut certainement avoir suivi la série ces dix dernières années. Sinon, l’ensemble vous semblera totalement foutraque, sans queue ni tête et vous ne pourrez que déplorer qu’on engage Antonio Banderas (qui a tant de talent chez Almodovar) pour se ridiculiser ainsi. Avec Bob l’éponge – Le film, dans nos souvenirs brumeux, on n’avait au moins ris avec David Hasselhoff en planche de surf.
Bob l’éponge – Le film : un héros sort de l’eau aura tout de même le mérite de faire rire vos marmots par l’absurde avec son esthétique totalement psychédélique et ses chansons absolument insupportables. C’est l’essentiel, après tout. Le film sortira le mercredi 18 février. N’hésitez pas à emmener vos enfants et un coussin.
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Film très décevant. Les personnages ne sont des supers-heros qu'un court instant, et tout est vu et revu, toutes les scènes sont tirés du dessin animé, rien d'innovant.
Une réalisation plutôt réussite même en ce qui concerne la 3D. LE scénario est un peu plus construit qu'a l'accoutumé, mais ce qui ne connaisse pas la série ; peuvent passer leur route. On ne s'ennuit pas une seconde et l'humour, et gags façon "Bob l'éponge" sont bien là, mais raviront plus les petits que les plus grands même si parfois quelques situations (va t-on dire) viserait plutôt les plus grands. L'alternance entre l'animé et le visuel est une bonne idée et on ne voit pas le temps passée et là ou d'habitude les scénarios manquent d'un petit truc. Pour une réalisation pour les petits, la mise en scène à quand même mis l'accent sur des situations, des gags... afin d'emplir un peu l'histoire de Bobo l'éponge et de nous faire passer un bon moment.
Tiens, c'est surprenant : à force de clins d'oeil à la série animée éponyme et de gags quelques peu amusants, les studios participants parviennent à divertir aussi les plus grands sans pourtant les énerver, tout le contraire du premier opus. Mais, malgré une animation en forme et qui ne s'épuise pas, le nombre inimaginable de gamineries font de ce long animé un pur cirque pas assez imaginatif pour convaincre. Pire, la tombée dans des univers parallèles poussent le bouchon trop loin. D'un côté, Antonio Banderas s'amuse à se battre contre une éponge et à parler avec des mouettes, de l'autre le rythme s'essouffle à cause de blagues idiotes et minables qui ne dépeignent même pas un sourire sur nos visages. Le voyage au dessus de la surface est aussi agréable qu'un post-partum, et ça se termine dans un générique qui offre le potin général. Un départ encourageant pour finir en pot-pourri fort désagréable.
Alerte arnaque ! Vendu comme une suite en images de synthèse ou Bob l'Éponge et ses amis débarquent dans le monde réel, ce nouveau long-métrage est en réalité une simple aventure en 2D classique et seule la fin (comprendre les vingt dernières minutes) sont en 3D. Mais outre une publicité mensongère comme on en a rarement vue, Bob l'Éponge 2 est également une déception, le film souffrant de nombreux défauts dont on aurait jamais soupçonné la présence pour une deuxième aventure ciné... En premier lieu, le scénario n'est franchement pas terrible et on a vu bien mieux parmi les neuf saisons de la série TV, cette histoire redondante (voire déjà vue) de vol de la recette du pâté de crabe ne pouvant définitivement satisfaire que les moins difficiles. En second lieu, l'humour du film vogue dans le néant. Hormis quelques jeux de mots, pas l'ombre d'un réel gag ou d'une situation déjantée, l'humour décalé et particulier de la série s'étant volatilisé au profit de blagues plus soft, de situations à l'effet zéro et de séquences trainant en longueur. Le changement de scénaristes (auteurs des Alvin et les Chipmunks, ceci explique cela) y est peut-être pour quelque chose. Quoiqu'il en soit, même les fans s'ennuieront face à ce qui s'apparente à un long épisode et l'un des moins fendards qui plus est. Uniques surprises, la présence d'Antonio Banderas en pirate cabotinant comme jamais et ces fameuses vingt dernières minutes dans le monde réel où nos héros s'offrent une longue apparition en 3D. Mais vous ne leurrez pas, si l'idée est cool, le résultat n'en sera que plus lassant, l'absence de gags drôles aura le dessus sur la technique et voir Bob, Patrick, Carlo, M. Krabs et Plankton transformés en super-héros sera drôle au bout de cinq minutes, pas plus. Au final, cette suite n'a rien de Bob l'Éponge, ce dessin animé culte où l'absurde côtoie le n'importe quoi. Nous avons plutôt affaire à une grosse supercherie marketing écrite pour plaire aux tous petits et garnie de plusieurs séquences de remplissage d'action pour en mettre plein la vue. La série entame sa dixième saison. Vous savez ce qu'il vous reste à faire.