Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Les vies racontées sont comme tissées dans l'étoffe du temps. Plus sûrement (autrement en tout cas) que si on avait imposé à ces existences une logique autre que celle de la musique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Des trois films de Matt Porterfield, "I Used to Be Darker" est certainement le plus discret, loin du naturalisme Do It Yourself de "Hamilton" comme de l’approche « vrai/faux » parfois fétichisante de "Putty Hill". C’est aussi le plus fin et le plus touchant
Critikat.com
par Camille Polas
"I Used to Be Darker", le second film de Matt Porterfield, a les défauts et (surtout) la richesse d’une œuvre de jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce n'est pas un film d'action mais il ne se pose jamais. L'instabilité est son moteur.
Libération
par Julien Gester
Un climat incandescent qui confère au film des airs de tragédie radieuse et fait dialoguer la chanson inspiratrice du titre avec la trajectoire de Porterfield en trois très belles ballades.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TF1 News
par Romain Le Vern
On retrouve dans "I Used To Be Darker" tout ce que l'on avait aimé dans "Putty Hill", son précédent long métrage : l'impression de quelque chose de flottant, la naissance en direct d'une émotion, l'amour des caractères, l'hyper-sensualité des lieux, le refus du tour de force narratif, la délicatesse de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
L'Humanité
par Vincent Ostria
On pense un peu à Inside Llewyn Davis des Coen, mais en beaucoup plus décontracté. Rien de balisé ici où, comme dans un certain cinéma des années 1970, on se laisse aller au gré du temps, du vent, et des aléas des rencontres et des altercations spontanées.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Filmé avec tendresse, joué et mis en musique à la façon d'une complainte désenchantée, cette échappée plutôt réussie est à l'image de ses personnages, âpre et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Matthew Porterfield revient avec un film en forme de folksong mélancolique sur la séparation. Si le ton est juste, la mélodie manque peut-être un peu de relief.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Joachim Cohen
Avec ce premier long-métrage, Matthew Porterfield pose un regard tendre quoique minimaliste sur ses personnages, sondant le malaise d'une famille brisée et ses espoirs déçus.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Frédéric Mercier
Un film sur une génération se sentant soudainement vieille. En somme, du ciné de vieux : lucide, ringard.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télérama
par Jérémie Couston
Dans le rôle des divorcés, Kim Taylor et Ned Oldham, véritables musiciens, exorcisent leur douleur dans de surperbes chansons folk, jouées in extenso.
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
"I Used to be darker" n’est finalement qu’une petite chronique au charme certain, mais un peu anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Matthew Porterfield filme cette histoire minimaliste comme si elle se déroulait sous son objectif, donnant l’impression d’une improvisation constante, malgé un scénario très écrit. "I Used to Be Darker" laisse moins de trace que "Putty Hill", mais sa petite musique vaut d’être écoutée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Positif
Les vies racontées sont comme tissées dans l'étoffe du temps. Plus sûrement (autrement en tout cas) que si on avait imposé à ces existences une logique autre que celle de la musique.
Cahiers du Cinéma
Des trois films de Matt Porterfield, "I Used to Be Darker" est certainement le plus discret, loin du naturalisme Do It Yourself de "Hamilton" comme de l’approche « vrai/faux » parfois fétichisante de "Putty Hill". C’est aussi le plus fin et le plus touchant
Critikat.com
"I Used to Be Darker", le second film de Matt Porterfield, a les défauts et (surtout) la richesse d’une œuvre de jeunesse.
Les Inrockuptibles
Ce n'est pas un film d'action mais il ne se pose jamais. L'instabilité est son moteur.
Libération
Un climat incandescent qui confère au film des airs de tragédie radieuse et fait dialoguer la chanson inspiratrice du titre avec la trajectoire de Porterfield en trois très belles ballades.
TF1 News
On retrouve dans "I Used To Be Darker" tout ce que l'on avait aimé dans "Putty Hill", son précédent long métrage : l'impression de quelque chose de flottant, la naissance en direct d'une émotion, l'amour des caractères, l'hyper-sensualité des lieux, le refus du tour de force narratif, la délicatesse de la mise en scène.
L'Humanité
On pense un peu à Inside Llewyn Davis des Coen, mais en beaucoup plus décontracté. Rien de balisé ici où, comme dans un certain cinéma des années 1970, on se laisse aller au gré du temps, du vent, et des aléas des rencontres et des altercations spontanées.
Le Journal du Dimanche
Filmé avec tendresse, joué et mis en musique à la façon d'une complainte désenchantée, cette échappée plutôt réussie est à l'image de ses personnages, âpre et mélancolique.
Les Fiches du Cinéma
Matthew Porterfield revient avec un film en forme de folksong mélancolique sur la séparation. Si le ton est juste, la mélodie manque peut-être un peu de relief.
Première
Avec ce premier long-métrage, Matthew Porterfield pose un regard tendre quoique minimaliste sur ses personnages, sondant le malaise d'une famille brisée et ses espoirs déçus.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Transfuge
Un film sur une génération se sentant soudainement vieille. En somme, du ciné de vieux : lucide, ringard.
Télérama
Dans le rôle des divorcés, Kim Taylor et Ned Oldham, véritables musiciens, exorcisent leur douleur dans de surperbes chansons folk, jouées in extenso.
aVoir-aLire.com
"I Used to be darker" n’est finalement qu’une petite chronique au charme certain, mais un peu anecdotique.
Franceinfo Culture
Matthew Porterfield filme cette histoire minimaliste comme si elle se déroulait sous son objectif, donnant l’impression d’une improvisation constante, malgé un scénario très écrit. "I Used to Be Darker" laisse moins de trace que "Putty Hill", mais sa petite musique vaut d’être écoutée.