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    Dans l'ombre de Mary - La promesse de Walt Disney
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    4,2
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    556 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 juin 2014
    très bon film a voir et qui nous fait voir Mary Poppins d'un autre oeil :)
    nokidoki
    nokidoki

    81 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juin 2014
    Un pur chef d'oeuvre.
    D'abord un casting exceptionnel, je ne vois personne d'autre qui aurait pu jouer à la place d'Emma Thompson, Tom Hanks et Colin Farrel.
    Les deux heures d'histoire passent très rapidement tellement le film nous prend. Il nous prend jusqu'aux tripes, on passe du rire à l'émotion constamment.
    Un film à voir, bien sûr, en famille.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 juin 2014
    Film émouvant et délicat retraçant toutes les péripéties méconnues de la réalisation d'un grand chef-d'œuvre, un film des studios Disney passionnant et très touchant peut-être encore mieux adapté aux adultes qu'aux enfants (pour une fois) !
    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    72 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juin 2014
    Que de critiques élogieuses pour un film si classique dans son traitement, si banal, bien américain. Un produit bien fait, bien lisse telle la copie du premier de la classe. Un sujet qui ne valait pas ces presque 2 heures de film raison pour laquelle sans doute une place surdimensionné est donné aux flash back qui, en outre, n'expliquent en rien la nature psycho-rigide de P.L Travers. Ce biopic reste néanmoins de meilleur facture que le déplorable, que l’affligeant Hitchcock.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juin 2014
    Walt Disney demeure une icône en Amérique même si son aura s'est un peu effacée sous l'avalanche des productions animées assistées par ordinateur de ses vingt dernières années. A son époque de gloire, des années 40 à 60, les productions Disney étaient les seules à faire l'évènement dans leur domaine. Sans doute à cause de sa propension à l'hégémonie, l'image du génial créateur a été écornée dès sa disparition en 1966. On lui a d'abord reproché la mièvrerie de ses productions comparées à la corrosivité des brûlots d'un Tex Avery, on s'est ensuite offusqué de son sens aigu du business bien éloigné du monde enchanté de ses longs métrages. Réputé pour être un impénitent conservateur anti-communiste on lui a promptement imaginé des sympathies nazies. Enfin, on a mis en doute ses réels talents artistiques, voyant en lui un manager entreprenant plutôt qu'un artiste. Toutes ces allégations s'appuient sans doute sur une part de vérité mais rien n'effacera la magie et la poésie naïve que ressent le spectateur devant l'imaginaire foisonnant de Walt Disney. A travers cet épisode relatant les efforts de Disney pour convaincre l'écrivaine australienne Pamela Lyndon Travers de lui laisser adapter selon ses principes les aventures de Mary Poppins, c'est à coup sûr une volonté mémorielle et de réhabilitation qui anime les studios Disney. C'est bien parce qu'il avait une vision très précise de la transposition du roman que Disney mit près de vingt ans pour convaincre l'auteure de lui céder ses droits. Le film est bien sûr dans l'esprit des productions du studio, on ne pouvait en attendre moins sur cet exercice. Certains verront dans "Saving Mr Banks" un mélo dégoulinant de bons sentiments offrant un portrait ripoliné du bon Walt transformé en papy gâteau par un Tom Hanks fort à son aise dans un registre qu'il maîtrise parfaitement. Mais il ne faut sans doute pas s'arrêter à tout cela si l'on ne veut pas passer à côté de ce qui fait l'intérêt majeur du film, l'apprivoisement progressif d'une femme acariâtre (magnifique Emma Thompson), jalouse de son œuvre qui finit par rendre les armes devant la ruse magnanime du producteur et sa force de conviction qui transparait dans toute son œuvre. Le cinéma doit se nourrir de tout ce qui fait notre humanité et à côté des cinéastes engagés il faut aussi des Walt Disney pour nous faire croire un moment que la forêt proche de chez nous est peuplée d'animaux qui nous ressemblent.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    288 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mai 2014
    Mary Poppins, sorti en 1964, est le meilleur film en live-action de l’écurie Disney. Parti de l’envie inébranlable de Walt Disney d’adapter les romans de P.L. Travers, le film passa par de nombreux obstacles pour sortir.

    C’est le thème de Saving Mr. Banks, le dernier film de John Lee Hancock, célébré pour son exceptionnel The Blind Side en 2009. Se postant du côté de l’écrivaine australienne Pamela Travers, qui refusait totalement de voir son œuvre adaptée à la manière des productions Disney, le film accepte clairement sa condition de propagande pro-Disney, tout en se gardant le droit à quelques réflexions un peu critique envers la firme aux grandes oreilles. On ne trouvera pas de réelles critiques très recherchées bien évidemment, mais juste des remarques bien senties. Les scénaristes sont d’ailleurs bien plus intéressées par l’histoire personnelle de P.L. Travers et des similitudes entre son œuvre et sa vie plus que par la création du film en elle-même, ce qui rend la deuxième heure encore plus forte. Emma Thompson est absolument géniale et s’est clairement fait voler l’Oscar de la Meilleure Actrice, mais les autres ne sont pas en reste, Tom Hanks évidemment et surtout Colin Farrell, parfait en père alcoolique mais aimant. Le tout est magnifié par un score de Thomas Newman, parfait comme à son habitude.

    Saving Mr. Banks n’est pas seulement un film sympathique et touchant, mais aussi un drame poignant et passionnant sur l’industrie du cinéma et sur l’enfance. Et un deuxième film dans l’Histoire du Cinéma où l’on peut entendre Chim-Chimney. Un nouveau grand film pour John Lee Hancock.
    danleboss
    danleboss

    1 abonné 62 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2014
    J'ai voulu mettre - car c'est trop long et l'histoire est trop lente mas je et plus car l'histoire est atypique
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 mai 2014
    Film magnifique fort en emotion, les acteurs sont formidable. Emma thompson et excellente dans ce rôle, et tom hanks et comme toujours formidable. J'adore.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    66 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2014
    Très bonne surprise. On pouvait craindre que les studios Disney sombrent dans l'auto-célébration: il n'en est rien. Le film est intelligemment construit, sur la base d'un chassé-croisé entre l'enfance australienne de Pamela Travers et sa virée hollywoodienne lors de l'adaptation de "Mary Poppins" par l'équipe Disney. La dimension autobiographique du livre ressort ainsi nettement, de même que sa fonction d'hommage à un père tragiquement disparu - une vraie valeur ajoutée par rapport au film "Mary Poppins", qui est clairement un film pour enfants. Les acteurs assument parfaitement. Emma Thompson, ce n'est pas une surprise: elle est chez elle dans ce rôle de vieille fille anglaise excentrique et maniaque. Tom Hanks, c'est plus inattendu. Son Walt Disney est roublard, imposant, avec une épaisseur et une dimension émotionnelle qu'on n'attendait pas forcément. Reconstitution très crédible de l'univers du studio des années 50 ET de l'Australie du début du siècle, seconds rôles parfaits (les frères Sherman!)... Délectable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 mai 2014
    Je pense qu'il faut avoir vu Mary Poppins pour apprécier le film à sa juste valeur...les autres risquent de s'ennuyer ...
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    112 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mai 2014
    Disney s’offre un Making Of de luxe, un film en hommage non seulement du grand homme, Walt, mais aussi un retour sur la création dudit chef d’œuvre que fût Mary Poppins. Sur ce, Dans l’ombre de Mary n’est pas pour autant un film maladroit, comme l’était en partie le Hitchcock de Sacha Gervasi. Ici, non seulement l’on revient sur une création célèbre dans l’histoire de la firme, mais l’on disserte également, façon mélodrame, sur l’amenée du mythe, sur la création de la célèbre nounou en rapport avec la propre histoire de la romancière, à la base de tout. Alors que depuis 20 ans déjà, Walt Disney tente d’obtenir les droits pour l’adaptation de l’œuvre de Pamela Travers, leur rencontre, alors que la mise en chantier du film semble pouvoir enfin se concrétiser, permet à l’auteure un retour douloureux sur sa jeunesse, celle ayant inspiré son œuvre. Le pitch est donc simple. Pour autant, le travail de John Lee Hancock, à la mise en scène est grâcieux, la narration d’une réelle et étonnante fluidité.

    Le succès critique de Dans l’ombre de Mary tient aussi, en grande partie, à son casting, de l’excellent Tom Hanks, un Walt Disney sincèrement touchant, dont quelques réparties sont de hautes volées, à la sublime Emma Thompson, aussi névrosée qu’attachante. Par ailleurs, les seconds rôles, eux aussi, sont admirables, qu’il s’agisse de Colin Farrell, étonnant, ou de Paul Giamatti, toujours très juste. Bref, la solidité des interprétations permet de tenir le large face aux quelques faiblesses qui pointent le bout de leurs nez. La première étant que malgré toute les bonnes intentions, ne film n’est somme toute qu’un hommage, un auto-hommage, d’une firme toujours très active. Walt Disney Pictures a certes drôlement évolué depuis le début des années soixante, pour autant, il semble s’agir là d’un autoportrait, d’un film, aussi bon soit-il, censuré, d’une certaine manière, si bien que nulle fumée de sort de la gueule du magnat, il était pourtant un grand fumeur, que nulle mauvaise intention ne peut être imputée à une industrie cinématographique, pourtant fleuron du capitalisme dans les années en question.

    Oui, soyons franc, si John Lee Hancock, sur commande, réalise un film chaleureux, gracieux dans sa forme, très bien écrit, il n’en reste pas moins un page publicitaire à laquelle l’on ajoute une brève visite de Disney Land, à laquelle l’on ajoute des peluches à l’emblème de toutes les mascottes de la firme, de Mickey Mouse à Winnie l’ourson, en passant par Donald et Pluto. Quoiqu’il en soit, même si l’on aurait apprécié une vue extérieure de ce que fît Walt Disney de son Mary Poppins, à son époque, il est pourtant incontestable que la succession est la plus à même de narrer cette histoire. Si bien que Dans l’ombre de Mary s’affiche, selon moi, comme le meilleur film live du studio depuis bien des années. Pour ce qui est de la destinée de Pamela Travers, c’est d’abord à elle qu’est dédié le film, c’est un sans faute narratif. Certes nimbé d’une certaine dose de guimauve, certes académique, ce pendant de l’histoire est captivant tout comme touchant.

    Au final, le film de Disney est une réussite, tant commerciale que critique, dans sa majorité. Le travail effectué semble respectueux de l’histoire et du public et les choix, aussi bien des acteurs que du cinéaste à la barre, auront été judicieux. Comme biopic, c’est bien de ça dont il s’agit, l’on aura vu bien pire. Notons que la BO est elle aussi très belle et que les quelques références au film dont on parle, Mary Poppins, sont légions, d’où une certaine crédibilité. Excellent morceau de film qui n’éblouit pas mais qui charme juste ce qu’il faut pour que beaucoup fassent l’impasse sur ses défauts. 14/20
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 mai 2014
    Une véritable bonne surprise avec ce film que je redoutais beaucoup, me méfiant de la tendance des Studios Disney à « infantiliser » leurs longs métrages et le risque qu’ils déforment la réalité des personnages (parce qu’il paraît que l’oncle Walt, au quotidien, c’était pas une franche partie de rigolade).

    Mais au final, j’ai beaucoup aimé ce film. Les personnages sont attachants, aussi bien celui de Pamela Travers, psychorigide et butée, que celui de Walt Disney, éternel optimiste dont la chaleur contraste avec la froideur de Travers, qui insistera tout le long du film pour qu’on l’appelle « Mrs Travers » et au grand jamais « Pamela » (quand on pense que ce bon Walt l’appelle « Pam » dès son arrivée à Los Angeles, on s’étonne qu’elle ne soit pas repartie tout de suite). Autour de ce duo principal, d’excellents seconds rôles se succèdent, aussi bien dans la partie « présent » du film que dans celle de la jeunesse de Pamela. La scène où les compositeurs présentent à Pamela Travers la chanson du cerf volant est pour moi la plus belle du film.

    Le film amène très bien les deux histoires qu’il traite en alternance avec d’un côté le bras de fer de Disney et Travers concernant la réalisation du film, et de l’autre le passé de Pamela Travers qui révèle progressivement pourquoi elle tient tant à certains détails insignifiants, et surtout pourquoi elle tient autant à son roman et à ses personnages. L’alternance est faite sans lasser le spectateur, et permet de comprendre de mieux en mieux le personnage de l’auteure, avec laquelle on finit par compatir.

    La prestation des acteurs est excellente. Le duo de Tom Hanks et d’Emma Thompson fonctionne très bien, sans qu’aucun des deux ne tombe dans le caricature de son personnage : Tom Hanks reste relativement sobre tout en jouant un homme plutôt expansif (tout le monde l’appelle « Walt » ou « Walter »), et Emma Thompson est amusante dans son personnage de femme renfermée, courtoise mais se souciant peu d’être désagréable pourvu que tout marche à sa manière (on va refaire ça. Et ça. Oh et puis ça, aussi.).

    En revanche, la grande surprise de ce film, pour moi, reste Colin Farrell, dans le rôle du père de la jeune Helen Goff, qui deviendra plus tard Pamela Travers. Son rôle est, je pense, le plus difficile du film : spoiler: il joue un homme très épris de sa famille mais malmené par la vie qu’il mène, un doux farfelu qui sombre progressivement dans l’alcool parce qu’il n’a sans doute pas trouvé de meilleur échappatoire à cette vie difficile qu’il n’a pas choisi.
    C’était à mon sens un vrai tour de force que d’interpréter un tel personnage sans tomber dans l’absurde ou la caricature, mais Colin Farrell s’en sort brillamment, et heureusement, puisque l’intrigue entière du film repose finalement sur l’amour et l’admiration que Pamela avait pour son père.

    Les décors et les couleurs sont également à souligner : l’étonnante reconstitution du bush australien dans lequel vivent les Goff ainsi que le parc Disney des années 60. Je me suis laissée emporter avec bonheur dans ce joli film qui explore la genèse méconnue d’un des plus grands films de Disney. Bon, bien sûr, renseignements pris, il y a beaucoup de « faux » dans ce film (qui finit bien, alors qu’apparemment Pamela Travers a été si déçue du film de Disney qu’elle a toujours refusé par la suite de céder les droits pour en tourner un autre, et ce malgré les nombreuses aventures de sa nourrice magicienne).

    Mais finalement, ce qui compte peut être plus que la véracité complète de l’histoire, c’est l’appréciation du spectateur. Ce film m’a fait sourire, pleurer (ce qui ne veux rien dire, je vous l’accorde, puisque je pleure très régulièrement comme une madeleine au cinéma, mais je le souligne quand même) et rire, et j’ai passé un très bon moment.

    Un seul bémol cependant : je regrette la traduction française du titre. A ce compte-là, j’aurais autant aimé qu’on garde l’originale, à savoir « Saving Mr Banks », puisqu’à priori, même les truffes en anglais savent que « to save » signifie « sauver ». Le titre original reflète davantage l’intrigue du film spoiler: qui révèle progressivement que Pamela Travers, ayant le sentiment de n’avoir pas pu sauver son père, a créé le personnage de Mr Banks pour lui donner en roman la rédemption qu’il n’a pas eu dans la vie.


    Bilan : je vous recommande vivement ce film (et je vais de ce pas regarder le Mary Poppins de 1964, que j’ai abandonné il y a de nombreuses années parce que j’avais une sainte peur des banquiers de la Fidelity Fiduciary Bank).
    Tony L'Ambassadeur
    Tony L'Ambassadeur

    35 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2014
    On savait déjà que Mary Poppins cachait bien des choses dans son sac de voyage. Les origines de la nurse la plus célèbre de Disney sont surprenantes. On retourne en enfance le temps de quelques heures et on en apprend plus sur ce fameux personnage et sa créatrice qui est, elle-même, tout un personnage. John Lee Hancock nous propose un film émouvant dans lequel Emma Thompson et Tom Hanks excellent véritablement. Le seul regret, pour ma part, est le manque d'espace et de visibilité de la Tante Ellie, interprétée par la charmante Rachel Griffiths.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 mai 2014
    Dans l'ombre de Mary, véritable chef-d'oeuvre émouvant de la première à la dernière image. Nous connaissons enfin la vraie histoire de Mary Poppins, qui l'eût cru ? Le décor de ce film, les lieux, les acteurs sont en parfait accord avec la vieille époque. On a même la chance de voyager au parc d'attraction Walt Disney. Voici l'histoire d'une petite fille qui a souffert avec une âme remplie de nostalgie, qui a connu le succès au nom de l'amour pour son père ...!
    jfayet
    jfayet

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mai 2014
    La bonne surprise ! Heureusement que la rumeur a fait son boulot. Et pourtant avec Walt Disney, je m'attendait au pire. Et bien oublions nos préjugés et laissons nous aller à la découverte de ce personnage inconnu qu'est la scénariste de Mary Poppins. Excellent
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