Avis : Mad Max - Page 5

Un film de motard mouvementé par une terrible vengeance.Pas mal.

Un classic. Un univers déjanté avec un Mel Gibson tout jeune et au top. De la violence gratuite, de l'action et de la vengeance. On reste scotché.

Western futuriste ou les chevaux ont été remplacé par des bolides Mad Max est un film froid avec des couleurs chaudes. Un film fauché mais qui avec inventivité et débrouillardise surpasse le cadre de la série B auquel il aurait pu se cantonner. Mel Gibson au tout début de sa carrière trouve un rôle qui symbolise parfaitement l ensemble de cette dernière. A savoir un héros déterminé et jusqu'au boutiste prêt a tout pour obtenir ce qu il veut même à souffrir dans sa chaire.

Produit avec un budget dérisoire, « Mad Max » est un road movie d’anticipation plein de fureur où s’affronte des guerriers de la route hors-la-lois et les flics de la brigade spécialisée. L’un deux – Max – meurtri par la mort de son co-équipier mais surtout de sa famille, va alors arpenter le bitume au volant de son bolide en cherchant à se venger. Véhicules rutilants, poursuites nerveuses et cascades impressionnantes, ce petit film australien, réalisé par George Miller, permit à Mel Gibson d’y acquérir sa notoriété. Souvent copié, rarement égalé et surclassé par sa suite, il souffre cependant du poids des années.

Mad Max : Quand l'Australie devient un terrain de jeu pour les cinglés motorisés

Avant que Mel Gibson ne devienne un vieux sage du cinéma (ou un fou furieux selon les jours), il était Mad Max, un flic à la recherche de vengeance dans un monde qui a décidé de partir en vrille. Dans un futur pas si éloigné, où l’Australie ressemble plus à un décor de Fallout qu’à une carte postale de Sydney, Max arpente des routes désertiques à la poursuite de motards qui ont plus de boulons dans la tête que sur leurs bécanes. Ce film, c’est un peu la réponse australienne à Star Wars, sauf qu’ici, pas de sabres laser, juste des bagnoles survitaminées et des flics en blousons noirs.

L’autre star de Mad Max, c’est bien sûr la Interceptor, une caisse tellement mythique qu’elle pourrait avoir son propre film. C’est le genre de voiture qui fait passer la Batmobile pour une vulgaire Twingo. Avec son moteur qui gronde comme une bête en colère, la Interceptor est l’extension de Max, son moyen de donner une bonne leçon à tous les tarés qui osent croiser sa route. Et quand Max est derrière le volant, c’est pas une course, c’est une exécution à grande vitesse.

Les bad guys de Mad Max, ce sont des motards qui auraient bien leur place dans un épisode de The Walking Dead, sauf qu’ici, ils ne sont pas morts (pas encore). Ils sont fous à lier, violents à souhait, et totalement imprévisibles. On sent que George Miller s’est bien éclaté à créer des antagonistes aussi déjantés, avec un côté anarchique qui rappelle les meilleures heures des seventies. Ce sont eux qui font de ce film une véritable course à la survie, où chaque virage peut être le dernier.

Faut pas se mentir, le scénario de Mad Max tient sur un ticket de péage, mais c’est pas pour ça qu’on est là. L’histoire est aussi décousue qu’un vieux jean, mais elle est servie avec une telle intensité qu’on ne peut pas décrocher. Ce qui compte, c’est l’ambiance, cette sensation de plonger dans un monde où plus rien n’a de sens, où la vengeance est le seul moteur qui pousse les personnages à avancer. Et même si certaines questions restent en suspens, c’est justement ce qui contribue à l’aura mystique de ce premier volet.

Mad Max, c’est avant tout une course contre la montre à travers des paysages arides, où la civilisation a laissé place à la loi du plus fort. Les scènes d’action sont encore plus efficaces qu’une injection de nitro, avec une réalisation qui a gardé toute sa fraîcheur malgré les décennies qui passent. Les cascades, les explosions, les poursuites : tout est là pour te rappeler que, même avec peu de moyens, on peut créer des séquences qui déchirent l’écran.

Ce premier Mad Max, c’est le coup d’envoi d’une saga légendaire qui a marqué l’histoire du cinéma. Malgré son scénario un peu bancal, il reste un film culte pour son style unique, ses personnages inoubliables, et cette atmosphère de fin du monde qui n’a jamais cessé de fasciner. Alors, si t’as jamais vu Max faire rugir son Interceptor, il est temps de prendre la route avec lui. Prépare-toi à un voyage sauvage et sans retour.

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Tous simplement Mythique ! Un film culte pour toutes une génération, Mel Gibson fait ici l'un de ces grands début au cinéma, il le fait de la plus grande des manières. Un grand film, violent, renversant, spectaculaire. Du cinéma comme je voudrais en voir plus souvent.

Vive Max !!!!

Film culte et mythique de George Miller, réalisé avec trois francs six sous dans le désert australien à la fin des 70’s. Qui lança aussi la carrière de Mel Gibson.

Un OVNI totalement décalé, décousu où le spectateur navigue entre film policier et film de science-fiction anticipatif. Mel Gibson est ici une véritable révélation. C'est mis en scène nerveusement, sans temps mort. Une perle.

Tourné pour un budget bien dérisoire de 350 000 dollars, mais trente ans après sa sortie, «Mad Max» s’avère toujours aussi marquant et fun à visionner, malgré un scénario bien mince. Il faut dire que pour l’époque les scènes d’actions – notamment en ce qui concerne les séquences de poursuites de voitures – étaient d’une rare violence et que le rythme de la mise en scène de George Miller est vraiment épatante, car sans temps mort. C’est aussi grâce à ce film que Mel Gibson possèdera une certaine notoriété et il faut reconnaître qu’il interprète avec force et une grande conviction le rôle d'un justicier avide de vengeance. Une excellente réussite qui lui vaudra une récompense au Festival fantastique d’Avoriaz ainsi que plusieurs suites, dont un second opus en tout point exceptionnel.

Première apparition internationale de Mel Gibsons. Une étape dans le cinéma de science-fiction pré-apocalyptique. A voir comme une référence. Particulièrement le basculement du héros en "Punisher"¨!

Très très bon, un film d'action spectaculaire, violent, sombre et sans espoir. Culte

"Mad Max", réalisé par George Miller en 1979, est un film d'action dystopique qui a marqué le début d'une franchise emblématique. Il met en scène Mel Gibson dans le rôle de Max Rockatansky, un policier devenu justicier dans une société australienne en plein effondrement sociétal. Le film combine des éléments de western, de vengeance et de survie, offrant une vision sombre et violente d'un futur proche.

L'intrigue suit Max, un membre de la Main Force Patrol (MFP), qui se retrouve confronté à un gang de motards violent dirigé par Toecutter (Hugh Keays-Byrne). Après le meurtre brutal de son collègue et ami, Jim Goose (Steve Bisley), et l'assassinat de sa famille, Max entreprend une quête de vengeance implacable. Le film est marqué par des scènes de poursuites automobiles intenses et des moments de violence crue, le tout accentué par une atmosphère oppressante.

La performance de Mel Gibson est centrale au succès du film. Il incarne avec brio un personnage torturé, oscillant entre la justice et la folie. Le casting secondaire, bien que moins mémorable, soutient efficacement l'histoire, avec des personnages secondaires tels que Jessie Rockatansky (Joanne Samuel) et Fifi (Roger Ward) qui apportent une profondeur émotionnelle à l'intrigue.

Visuellement, "Mad Max" est un tour de force. George Miller utilise les paysages désolés de l'Australie pour créer une ambiance post-apocalyptique convaincante. Les séquences de poursuites sont filmées avec une énergie brute, capturant l'essence de la vitesse et du danger. La Ford Falcon modifiée, surnommée la Pursuit Special, devient un symbole iconique du film, représentant à la fois la puissance et la destruction.

Cependant, malgré ses nombreux atouts, "Mad Max" n'est pas sans défauts. Le scénario, bien que captivant, souffre parfois de sa simplicité et de son manque de profondeur narrative. Les motivations des personnages secondaires sont souvent sous-développées, ce qui peut laisser le spectateur sur sa faim. De plus, la violence omniprésente, bien que justifiée dans le contexte du film, peut sembler excessive et gratuite à certains moments.

La bande sonore, composée par Brian May, accompagne parfaitement l'action à l'écran, ajoutant une dimension supplémentaire de tension et de drame. Toutefois, elle peut paraître datée pour les spectateurs modernes, manquant parfois de subtilité.

En termes de production, le film a surmonté de nombreux défis liés à son budget limité. Les effets spéciaux, bien que rudimentaires, sont utilisés de manière inventive, et le choix d'utiliser de véritables gangs de motards pour les scènes d'action ajoute une authenticité indéniable. Néanmoins, ces contraintes budgétaires se ressentent parfois dans la qualité visuelle du film, avec des décors et des costumes qui paraissent parfois cheap.

"Mad Max" a également eu un impact culturel considérable, influençant de nombreux films et œuvres de fiction post-apocalyptiques. Son succès commercial inattendu a ouvert la voie à une série de suites, chacune explorant et développant davantage l'univers dystopique initié par ce premier opus.

En conclusion, "Mad Max" est un film pionnier qui a redéfini le genre de l'action post-apocalyptique. Malgré ses imperfections, il reste un classique grâce à sa vision audacieuse, ses performances marquantes et ses séquences de poursuites inoubliables. Pour les amateurs de cinéma d'action et de dystopies, c'est un incontournable qui mérite d'être vu et apprécié pour son innovation et son impact durable sur le paysage cinématographique.

Un film unique en son genre, bien décalé, qui propose un univers post-apocalyptique crédible visuellement malgré son petit budget. Et un excellent Mel Gibson !

Les moteurs qui grondent, les fous qui hurlent dans la rue... Tout ces éléments font de Mad Max un film culte et passionnant. Mel Gibson est une vrai révélation et les autres acteurs pètent le feu.

Film au budget dérsoire qui a fait un carton, Mad Max le film qui à révélé Gibson n'en reste pas moins un très bon film de SF.