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7eme critique
Quentin Dupieux propose son nouveau volet d’absurdité ! Toujours aussi décalé et surréaliste, le metteur en scène cherche le délire, et rattache ses scènes par le biais de son imagination qui en deviendrait presque le seul et unique fil conducteur du scénario. Un style original et propre au metteur en scène, mais pas vraiment savoureux pour autant, surtout lorsque l'on rajoute cette musique répétitive hautement agaçante. "Réalité" ressemble davantage à un recueil d’idées (parfois bonnes) autour d’une non-histoire sans grand intérêt. On a tout de même découvert bien pire de la part du cinéaste ("Wrong cops" & "Steak").
Vinz1
Il est pour moi impossible de résumer un film de Quentin Dupieux, pourtant ce dernier est beaucoup mieux que les deux précédents, mais moins bons que « Steak » et « Rubber », ses chefs-d’œuvre. Ici, tout se mélange : la réalité (à la fois la vraie et celle dont c’est le prénom dans le métrage !), la fiction, les cauchemars, les rêves mais tout ne semble qu’une mise en abyme gigantesque orchestrée par Mr Oizo. Cela étant, on aura la clé de tout ce fatras à la fin, enfin une partie des réponses seulement…mais est-ce finalement bien important ? A noter que, comme très souvent, Alain Chabat est formidable !
Je n'ai pas vraiment ri ...
Film sans aucun sens, nul nul nul..
Une horreur, un des pires films que j'ai vu.
Ça n'a aucun sens, et dans ce non sens, le scénariste rajoute du non sens..
Une critique des films à suspense américains ? En tout cas c'est nul
Film sans aucun sens, nul nul nul..
Une horreur, un des pires films que j'ai vu.
Ça n'a aucun sens, et dans ce non sens, le scénariste rajoute du non sens..
Une critique des films à suspense américains ? En tout cas c'est nul
Nyns
Je continues ma découverte de l'univers Dupieux par la fin (oui pas très logique comme sens de visionnage, tant pis). Et ben j'adore! Quelle audace, quel sens du non-sens si j'ose dire... Vraiment j'ai pris mon pied pendant les quelques 80 minutes de délire visuel et psycholo-cinématographique que nous offre l'ami Quentin. L'univers qu'il propose d’adhérer ici (n'ayant vu que Wrong Cops avant je ne peux pas affirmer si l'on peut se baser sur une autre référence), est de comprendre de A à Z les données que l'on a sans que leur imbrication les unes entre elles aient une quelconque logique fondée. L’absurde par l'absurde, quel culot! D'autant plus que ça passe tellement bien, toutes ses combinaisons judicieuses que l'on s'amuse presque autant que lui. Sans compter sur des passages vraiment tordants,
spoiler:
Chabat s'entrainant sur son gémissement, exquis...
, et qu'il parvient malgré tout à faire passer des messages assez claires spoiler: la télé abrutissante, l'arrogance du producteur facilement compréhensible quand on fait des films aussi perchés que Dupieux
. Tu m'étonnes que Chabat et Lambert n'ont pas hésité à signer. Après ça reste le problème de ce genre de film, est-ce que j'ai vraiment saisi le truc ou suis-je complétement passé à côté? Mais ce n'est pas si important, car à moins d'avoir un esprit très (trop) cartésien et n'osant pas s'aventurer dans ce que le cinéma peut offrir de plus extrême en concept, c'est une expérience inédite. D'ailleurs avec Réalité Dupieux rejoins presque son univers musical, répétitif, mais qui reste bien en tête... Un quasi moyen métrage certes, mais du lourd calibre quand même.
, et qu'il parvient malgré tout à faire passer des messages assez claires spoiler: la télé abrutissante, l'arrogance du producteur facilement compréhensible quand on fait des films aussi perchés que Dupieux
. Tu m'étonnes que Chabat et Lambert n'ont pas hésité à signer. Après ça reste le problème de ce genre de film, est-ce que j'ai vraiment saisi le truc ou suis-je complétement passé à côté? Mais ce n'est pas si important, car à moins d'avoir un esprit très (trop) cartésien et n'osant pas s'aventurer dans ce que le cinéma peut offrir de plus extrême en concept, c'est une expérience inédite. D'ailleurs avec Réalité Dupieux rejoins presque son univers musical, répétitif, mais qui reste bien en tête... Un quasi moyen métrage certes, mais du lourd calibre quand même.
Une comédie unique et décalée. Les acteurs se sortent à merveille de situations ubuesques alternant sans cesse rêve et réalité (?)... Tout est maitrisé et le film vous embarque pour peu que l'abstraction ne vous dérange pas trop. Ce film radicalement différent est un expérience unique. A voir pour ceux qui aiment le cinéma autrement.
Du 100% Quentin Dupieux. Pour un peu qu'on aime Alain Chabat, il nous ravira une fois de plus. C'est décidément l'un des meilleurs acteurs comiques français, ça ne s'explique pas vraiment, son jeu est parfait et pour faire rire ça marche notamment la scène où il est collé au siège de son fauteuil la nuit des Oscars. Le film en lui-même, c'est comme Wrong, Wrong Cops ou encore Rubber, l'esprit hollywoodien, le désert américain, la musique électronique, les acteurs récurrents comme Jonathan Lambert ou Eric Wareheim. Mais surtout, l'histoire encore incompréhensible, chacun sa version si-je puis dire ! Ici, A. Chabat a 48 heures pour trouver un gémissement parfait qu'on oscarisera.. Certains diront que c'est n'importe quoi, certes mais c'est la magie de l'imagination de Q. Dupieux et je trouve ça génial ! Après je n'en disserterais pas pendant des heures non plus mais bon, pour ma part, c'est du Dupieux et ça se regarde avec toujours le même étonnement !
Film bizarre mais film captivant. Il faut rentrer dans le délire et on passe un bon moment... le jeu d'acteur est bon. A voir, pour tenter de comprendre...
Ce film ne peut être apprécié par la majorité de la population, c'est certain. Enfin du scénario et des personnages qu'on retrouve nul part ailleurs. Enfin du cinema qui surprend. Ca me rassure.
Avec son scénario tortueux à souhait, au point d'en être complètement incompréhensible, qui permet au réalisateur de se livrer à de multiples excentricités au dépend d'un spectateur forcément déboussolé, Réalité est à la fois comique et déstabilisant. Une expérience qui vaut le coup d’œil, bien que j'avoue avoir un peu décroché sur la fin, en comprenant qu'il était probablement inutile de trop réfléchir. Le trait de génie du film est d'inclure des personnages qui ne parviennent pas plus que nous à comprendre l'univers hautement paradoxal dans lequel ils évoluent. Comprenne qui pourra !
Quentin Dupieux nous transporte dėlicieusement, magnifiquement et brillament entre film, rêve et rėalitė. Avec des mises en Abymes étonnantes, des acteurs parfait, des très bons dialogues (parfois tres droles, tout comme les situations) et une seule et même excellente musique, « Réalité » est une véritable expérience cinématographique jubilatoire, original, unique et barré.
Du grand spectacle !!! Bravo à Quentin Dupieux
en plus Johnatan Lambert et Alain Chabat sont vraiment tres très bon !!!
en plus Johnatan Lambert et Alain Chabat sont vraiment tres très bon !!!
Beaucoup ont essayé de mettre en image les rêves (et les cauchemars)... Beaucoup s'y sont pété les dents aussi.
Ce n'est pas le cas de Quentin Dupieux qui réussit de manière virtuose la mise en abyme (voire la mise en abyme de la mise en abyme de la...).
Le film raconte l'histoire de Reality, une petite fille, qui va chasser avec son papa (enfin disons qu'elle dort dans la voiture pendant que son père flingue du sanglier... A moins que...). Lorsque son père vide le gibier, elle voit une cassette VHS (de l'art de manier l'anachronisme technologique) sortir des entrailles de la bestiole. Elle la récupère et cherchera donc à la visionner...
Mais en fait, l'histoire de Reality est un film tourné par un réalisateur qui en projette des extraits à un producteur (Jonathan Lambert)...
Parallèlement, on suit l'histoire d'Alain Chabat, cameraman sur une émission de télé culinaire, qui rencontre ce même producteur légèrement cyclothymique (attention scène culte) afin de négocier le financement éventuel du film d'horreur qu'il souhaite réaliser (Waves, des télés qui font exploser le caisson des gens avec leurs ondes donc).
En résulte "Réalité" (du nom de la gamine en question), sorte d'Ovni ultra-référencé (avec du Kubrick et plein de Twin Peaks dedans, entre autres).
Et dans le genre qui ronge le cerveau, Quentin Dupieux (...
La suite ici :
Ce n'est pas le cas de Quentin Dupieux qui réussit de manière virtuose la mise en abyme (voire la mise en abyme de la mise en abyme de la...).
Le film raconte l'histoire de Reality, une petite fille, qui va chasser avec son papa (enfin disons qu'elle dort dans la voiture pendant que son père flingue du sanglier... A moins que...). Lorsque son père vide le gibier, elle voit une cassette VHS (de l'art de manier l'anachronisme technologique) sortir des entrailles de la bestiole. Elle la récupère et cherchera donc à la visionner...
Mais en fait, l'histoire de Reality est un film tourné par un réalisateur qui en projette des extraits à un producteur (Jonathan Lambert)...
Parallèlement, on suit l'histoire d'Alain Chabat, cameraman sur une émission de télé culinaire, qui rencontre ce même producteur légèrement cyclothymique (attention scène culte) afin de négocier le financement éventuel du film d'horreur qu'il souhaite réaliser (Waves, des télés qui font exploser le caisson des gens avec leurs ondes donc).
En résulte "Réalité" (du nom de la gamine en question), sorte d'Ovni ultra-référencé (avec du Kubrick et plein de Twin Peaks dedans, entre autres).
Et dans le genre qui ronge le cerveau, Quentin Dupieux (...
La suite ici :
Réalité, c'est du surréalisme, de l'absurde avec ce qu'il faut de réalité.
Une incroyable mise en image d'un horrible badtrip sous LSD.
spoiler: Celui dans lequel on reste coincé sans savoir faire la différence entre rêve et réalité.
Quentin Dupieux pourra t'il aller encore plus loin que ça ? Ca semble inimaginable.
Un film pour les amateurs d'expérience cinématographique complètement hors du commun.
Une incroyable mise en image d'un horrible badtrip sous LSD.
spoiler: Celui dans lequel on reste coincé sans savoir faire la différence entre rêve et réalité.
Quentin Dupieux pourra t'il aller encore plus loin que ça ? Ca semble inimaginable.
Un film pour les amateurs d'expérience cinématographique complètement hors du commun.
Mais qu'est ce qui a pris à Alain Chabat de jouer dans ce registre? Il a voulu essayer autre chose , je ne vois que ça car il n'y a pas plus loufoque que Réalité. Absurde, déjanté , ce scénario est acabradantesque et il faut le suivre pour ne pas décrocher et vite s'ennuyer. Un rêve dans un cauchemar , à moins que ce ne soit l'inverse, ou est la réalité ? Plusieurs rêves dans un seul ? qui est qui et pourquoi ? Autant de question que l'on se pose devant autant d'absurdités ! Pourtant j’aime l'absurde , les scénarios hors du commun, dérangeant, cela peut être de vraies bijoux parfois mais là c'est raté. Incompréhensible au possible. Ce film n'est pas nul non plus , il comporte quelques scènes qui font sourire..ouf , c'est déjà ça!
Ouahhh !!!
Voici un film très étonnant car il tient la gageure de se mordre la queue, un exercice réussi avec brio.
Une sorte de mise en abîme quasi permanente. La narration nous perd, nous reprend, une sensation de spectateur très surprenante, ce serait un peu comme être dans une machine à laver en mode essorage mais doux: 400 tours!
L’histoire se tient et si cela n’est pas le principal, cela tient tout de même de la prouesse vu la narration choisie.
Les acteurs sont bien et là encore cela n’est pas le principal, ils sont des marionnettes consentantes.
Tout se prête au Jeu. Un jeu qui bousculerait tout, nous spectateurs en premier lieu, le film et la façon de raconter.
Donc « Réalité » est un O.V.N.I. de cinéma et quel OVNI ! un Objet Visuel Néo Imaginaire.
J’avais entendu parlé de Quentin Dupieux, n’ayant rien vu avant cet opus; l’intense curiosité levée après la vision de « Réalité » me pousse à me rattraper.
Voici un film très étonnant car il tient la gageure de se mordre la queue, un exercice réussi avec brio.
Une sorte de mise en abîme quasi permanente. La narration nous perd, nous reprend, une sensation de spectateur très surprenante, ce serait un peu comme être dans une machine à laver en mode essorage mais doux: 400 tours!
L’histoire se tient et si cela n’est pas le principal, cela tient tout de même de la prouesse vu la narration choisie.
Les acteurs sont bien et là encore cela n’est pas le principal, ils sont des marionnettes consentantes.
Tout se prête au Jeu. Un jeu qui bousculerait tout, nous spectateurs en premier lieu, le film et la façon de raconter.
Donc « Réalité » est un O.V.N.I. de cinéma et quel OVNI ! un Objet Visuel Néo Imaginaire.
J’avais entendu parlé de Quentin Dupieux, n’ayant rien vu avant cet opus; l’intense curiosité levée après la vision de « Réalité » me pousse à me rattraper.
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