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    Bird People
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    2,8
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    194 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 juillet 2014
    Un très beau film, servi par un excellent casting ! La réalisation est prenante, même si certaines scènes sont parfois longues... L'histoire nous berce, nous apaise, et on ressort de la salle en étant "transformés" ! Petit point négatif : la musique, beaucoup trop convenue. Mais, finalement, avec la réalisation, l'histoire et le casting exceptionnel, ce film est un petit coup de coeur ! 16/20.
    Flore A.
    Flore A.

    34 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2014
    Quelques longueurs mais de très belles images et beaucoup de poésie dans ce film original et qui mérite le détour.
    Georges Salines
    Georges Salines

    20 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juin 2014
    Marre du cinéma français qui pue la clope ! 100% des personnages de Bird People ayant plus de trois répliques fument. Ceux pour lesquels le tabagisme est plausible (les femmes de ménages/étudiantes, le veilleur de nuit) fument. Ceux pour lesquels le tabagisme est hautement improbable (un couple de californiens éduqués et friqués) fument aussi. Ils fument avec délectation, pour se détendre, lorsqu'ils sont énervés, et même lorsqu'ils ne se sentent pas bien et qu'ils ont envie de prendre l'air. On nous précise qu'ils fument des Marlboro lights. On filme le paquet sous divers prétexte (un moineau qui s'en approche..) en prenant soin toutefois de ne pas montrer l'avertissement sanitaire qui doit y figurer. Bref, ça s'appelle du placement produit, en termes publicitaires. Le film nous fourgue d'ailleurs aussi au passage une banque (HSBC), du chocolat (Toblerone), des chips (Pringles), une chaîne d’hôtels (Hilton) et j'en passe. J'ai lu les propos de Pascale Ferrand sur les difficultés de financement de son film mais flûte ! Ce n'est pas une raison pour dealer un produit addictif cancérigène, avec une telle lourdeur. Bird people n'est sans doute pas un mauvais film (pas un chef d'oeuvre non plus : il faudrait dire aux réalisateurs d'arrêter de mettre Space Oddity en fond sonore sur toute séquence d'envol physique ou spirituel. J'aime beaucoup cette chanson, mais c'est devenu un cliché) et j'aurais pu pousser mon coup de gueule à propos de bien d'autres qui l'ont précédé, mais désolé, c'est en voyant celui-là que j'ai atteint les limites de ma patience.
    Robert L.
    Robert L.

    3 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juin 2014
    "Bird People" est un film très audacieux qui risque un peu de dérouter, avec sa narration assez libre, composée de deux grands blocs, enchâssés l'un dans l'autre. L'un est consacré à Gary, un ingénieur américain en transit international, qui décide brusquement de changer de vie, et l'autre à Audrey, une jeune femme de chambre, qui travaille dans un hôtel de Roissy, où Gary séjourne. Il y est d'abord question du monde contemporain, de télécommunications, de déplacements et de stress. Au fond, à quoi riment ces modes de vie ? Gary sent qu'il perd pied et Audrey rêve les vies de ces "oiseaux de passage" qu'elle ne rencontre pas, jouant d'une soupape imaginaire pour mieux endurer son labeur de nettoyage. L'un et l'autre se sentent engoncés et c'est le lien, tacite, qui relie ces deux destins, en dehors de leurs nomadismes, plus ou moins imagés : l'un vole de capitale en capitale via des hôtels aéroportuaires, l'autre furète de chambre en chambre, pour y picorer des traces de vie. Il faudra donc se laisser aller à cette narration croisée, un peu insaisissable, jusqu'à ce que le film prenne des détours imprévisibles et bascule dans la métaphore, le fantastique... Pas de crainte pour autant, ce n'est pas quelque chose d'abstrait ou de conceptuel. Au contraire, "Bird People" est d'une narration très ludique, très accessible, c'est une sorte de conte pour adultes, plein d'enchantement malgré son point de départ, malaisé et existentiel. Pas de grand discours à l'horizon sur l'hyperactivité contemporaine (le propos du film est à ce titre assez attendu) mais davantage, un fascinant travail de mise en scène, qui tisse du rêve et de l'échappée, ou quelques issues de secours.
    gerard l
    gerard l

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 juin 2014
    Des longueurs. De très très longues longueurs. Toutefois il pourra être recyclé en documentaire sur Roissy 2. Il suffira d'y ajouter une voix off avec les commentaires.
    Christophe L
    Christophe L

    8 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juin 2014
    Curieux film que propose la réalisatrice Pascale Ferran, à qui on doit également l'étrange Lady Chatterley (plusieurs prix prestigieux dont César du Meilleur film français en 2007). De la partie intéressante (quoique très longue à se mettre en place) sur le Burn-out d'un américain (interprété par l'acteur américain Josh Charles, inconnu mais très convainquant) à l'hôtel Hilton de l'aéroport de Charles de Gaulle, on passe à celle de la transformation en un moineau (séquence "vie des animaux" complètement insensée) d'une femme de ménage du même hôtel. Le lien sur la liberté (Bird People "hommes-oiseau") est vraiment tiré par les cheveux. L'idée est à la base originale mais totalement mal exploitée. Que font les acteurs Anaïs Demoustier et Roschdy Zem dans ce projet scabreux ?...
    BeatJunky
    BeatJunky

    154 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2015
    Il y a quelque chose qui m a captive dans ce film mais quoi : ??? Peut être cette ambiance de couloirs d hôtel, ou son scénario original avec sa mise en scène de deux histoires bien différentes ou encore l interprétation des personnages de ces deux histoires justement. Malheureusement, je n ai pas vraiment saisi la relation entre ces deux histoires: Celle de cet homme au bord du burn-out dont la confrontation très moderne avec sa femme m marque car très actuelle ! On règle ses soucis par Skype aujourd'hui! L autre histoire, celle d' Anaïs Démoustier est également touchante mais plus difficile à analyser... Je n ai pas bien saisi ce que la "transformation" de cette innocente femme de chambre voulait dénoncer. La liberté ??? Plusieurs façons d interpréter et je n en ai trouvé aucune vraiment convaincante en lisant les critiques de spectateurs ici,.. Peut être est-ce justement le but du metteur en scène: Faire que le spectateur laisse libre court à son interprétation de cette envolée.... Toujours est il que le film m aura laissé une bonne impression malgré cette partie pas vraiment claire sur les intentions de Pascal Ferran.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    72 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2015
    Un film fin et délicat qui prend son temps et ose la poésie et la réflexion. Pascale Ferran écrit une double histoire ravissante au travers de deux personnages qui traversent la vie sans vraiment être maître de leur destin. Ceux-ci choisissent donc de prendre leur envol et leur liberté, l'un en plaquant tout, l'autre en profitant d'une opportunité magnifique et dangereuse qui lui est offerte. La première histoire est peut-être moins passionnante que la deuxième, mais le tout se tient parfaitement, avec des scènes superbes et très originales. La cinéaste fait preuve d'une grande créativité et nous amène dans un monde dont elle éclate les parois grâce à des plans de toute beauté,parfois grandioses, parfois intimistes et très touchants. Les acteurs sont au diapason : touchants et justes.
    Romain Z
    Romain Z

    13 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mai 2016
    Qu'est-il arrivé au Cinéma de Pascale Ferran ? Une poignée de platitudes sur l'ultramoderne solitude, accompagnée de truismes sur les Flux à l'heure de la mondialisation aggravée d'une incursion Lelouchienne dans le Fantastique. Embarrassant...
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    67 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2016
    Un scénario léger et poétique, empreint de vérité

    Pascale Ferran, revient après 8 ans d’absence, avec ce film très poétique qui nous fait réfléchir sur notre problème de communication et nous amène à profiter de l’instant présent à travers la métaphore filée de l’oiseau. On commence dès la première scène, dans le quotidien des transports, qui nous est tous familier. La foule du lundi matin qui se presse aux machines à tickets, les escalators qui se croisent, les gens qui se bousculent, les horaires qui nous dictent notre vitesse, la sonnerie des portes qui se ferment. Bref, on nous représente déjà les cages qui nous rendent solitaires et coupent nos ailes.
    Emanuel D.
    Emanuel D.

    3 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 juin 2014
    franchement, on ne peut pas appeler ça du cinéma ! on dirait une pub pour Novotel ou Air France des années 80 sous lsd éventé...terne, faussement poétique, se voulant lyriquement proche d'un film contemplatif asiatique mais au final digne d'un film de CM2 d'une école de Poitou-Charente...les comédiens sont vraiment pas terribles et on a du mal à croire à cette resucée de Lost In Translation...la partie "oiseau" est risquée mais ne prend pas, ne faisant qu'appuyer maladroitement la carence scénaristique...pour dormir quand il fait chaud dehors et pour savourer la clim d'une salle obscure...sinon, autant voir Les Bronzés ou Les Chtis (au moins il y a de l'action)...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 juin 2014
    ce "film" est un documentaire sur Marlboro. En tout état de cause , au moins financé en partie par la marque.2h08 de cigarettes allumées,de paquets vides ou pleins, de cendriers . On sort de la salle intoxiqué mais soulagé en se demandant pourquoi l'on s'est infligé la punition de rester jusqu'à la voyant ces deux excellents comédiens Molière aurait pu dire " Mais qu'allaient-ils faire dans cette galère?"
    Roger O.
    Roger O.

    13 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2014
    Chacun dans sa case, chacun dans ses problèmes: même dans le RER bondé, pas la moindre solidarité, pas la moindre communauté humaine, tant les voyageurs sont englués dans leurs soucis individuels de travail, de famille.

    Chacun fuit ses responsabilités: pour rompre, l'Américain choisit la visio-conférence. Il n'a jamais eu le courage de s'expliquer clairement avec sa femme et il ne peut le faire que par l'intermédiaire d'un écran d'ordinateur à des milliers de kilomètres de chez lui. Il n'a que faire de la vie de son épouse totalement anéantie par sa décision soudaine et égoïste

    Chacun ment: le concierge du luxueux hôtel, dont les fenêtres donnent sur l'aéroport Charles-de-Gaulle, fait croire à sa collègue de travail qu'il dort chez un copain, en attendant de trouver un logement décent. En réalité, il couche dans sa voiture. Même la vieille cliente bien mise et si respectable raconte au téléphone qu'elle est dans le couloir de son immeuble alors qu'elle regagne sa chambre.

    La petite bonne du Hilton de Roissy, à qui personne ne parle, dont le travail n'est reconnu par personne, en a assez de nettoyer la saleté des autres, ces autres qui restent dans leurs cases toutes identiques. Elle décide de fuir, elle aussi: elle devient oiseau, comme dans un conte de fées, un simple moineau qui survole l'aéroport, de nuit, pendant que David Bowie chante Space oddity. C'est beau un aéroport vu d'oiseau, mais quand on est un petit oiseau, on court le risque d'être dévoré par un chat ou un hibou. Humain ou animal, on n'est jamais tranquille...sauf quand un artiste vous prend pour modèle, et qu'on devient tout fier qu'il vous dessine. Vous êtes enfin devenu quelqu'un.

    Quelqu'un, une personne, pourtant identique à d'autres personnes. Une parmi d'autres, avec un nom et un prénom. Et non plus personne, le néant. Nobody.

    Pascale Ferran sait filmer, nous amuser et même philosopher.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 24 mai 2015
    pendant la première moitié du film, il ne se passe pas grand chose, des gens qui prennent des moyens de locomotion , des gens qui voyagent, vont et viennent, presque pas de dialogues cohérents, on s'intèresse plus particulièrement à un américain en transit et à une jeune femme qui travaille dans un hôtel comme femme d'entretien; rien de plus banal; la réalisatrice se focalise sur ces deux personnages, l'un refuse de continuer cette vie, quant à l'autre,elle rêve d'évasion, sortir de cet hôtel en ayant des ailes, comme un oiseau aller partout et nulle part en même temps, s'évader à tout prix de cette vie, soit par le rêve, soit par le refus, on se demande pendant toute la durée du film "que va-t-il se passer? " en fait rien ou presque, ce n'est ni une romance, ni un drame et encore moins une comédie, un genre nouveau?
    bird people ou les peuple des oiseaux,comme ces volatiles qui se déplacent tout le temps et dans tous les sens, ivres de liberté que n'ont pas tous ces gens qui voyagent ou sont attachés à leur vie quotidienne
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 juin 2014
    Entre un film de présentation du Sheraton ou d'Adp, il y a une démonstration d'animation 3D avec un moineau et des histoires multiples qui n'ont pas de fin, comme la fin du film qui tarde à venir ! Un exercice de style technique mais certainement pas un film !
    Payer 14 € pour cela c'est de l'arnaque...
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