Bird People est un film franchement pas évident à résumer, tant on y pense, même plusieurs jours après l'avoir vu, c'est sans doute là la force de la réalisatrice.
Le picth : un américain à l'hôtel Hilton de l'aéroport Charles de Gaulle fait un burn out tandis qu'au même moment, une jeune femme de chambre va vivre un événement surnaturel, à savoir se transformer en oiseau (le voilà le rapport avec le titre du film !).
Au-delà de ce pitch réducteur, le film de Pascale Ferran, à qui on doit il y a 8 ans Lady Chatterlet, va plus loin, en proposant une vision poétique et émouvante de la vie actuelle.
Deux étoiles peut-être parce que je n'ai pas l'esprit assez poétique pour comprendre l'intérêt de ce film... Ennuyeux la plupart du temps, il ne se passe pratiquement rien. Quand je lis les critiques presse, je ne vois pas où est-ce qu'ils arrivent à trouver un si grand nombre de qualificatifs... Sûrement trop spirituel pour moi. Il y a de belles images par-ci par-là (spoiler: lorsque l'on vole avec l'oiseau ça peut être grisant, même si à force l'ennui revient... ), mais sinon c'est plat. Ce n'est pas un film pour les terre-à-terre !
Je viens de voir :industrie du tabac ,la grande manipulation est ce la suite ?20 cigarettes en 2 heures c´est 6 paquets par jour C´est ennuyeux et irritant pour un non fumeur de compter les cigarettes comme ci s´etait des bouffés de vie j´ai pas besoin d´aller au cinema pour voir ca paris metro c´est du quotidien Je crois que j´´aurais aderé si j´avais vu les acteurs vapoter cela aurait eu un coté fantastique.J´ai vu beaucoup de marques filmés est ce un hasard ? La fin est plus romantique ou le personnage principal n´a pas une cervelle de piaf Je donnerais un prix á l´oiseau remarquable pour le reste je reste sur ma faim et une fin ouverte . spoiler: La je suis resté correct sans trop manié l´ironie ,j´aurais pu dire qu´il y a peu d´acteur (trice)
heureux (se) :J´en ai connu quelque uns dont certains tres manipulateurs .Le fait qu´ils fument
montre leur mal etre ,,sorry mon ordinateur est etranger
Ce film est vraiment étrange et très lent. Il est divisé en deux parties. Dans la première, le personnage principal est Gary, un Américain qui décide de rompre avec sa vie d'avant (longue scène de rupture avec sa femme par webcams interposées). Dans la seconde, on suit Audrey qui est femme de chambre dans l'hôtel où se trouve l'Américain, à Roissy. Elle s'ennuie dans son job de femme de ménage et se transforme en moineau. On a alors droit à des scènes cocasses (espionnages) ou poétiques (le Japonais peintre, joué par un Chinois, logique!) mais aussi ridicules (avec des monologues très poussés du type "C'est qui?!" ou "C'est quoi?! Oh, c'est un homme!"...). En fait, on s'ennuie pas mal et on ne comprend pas trop le message caché derrière tout ca (à part, on vit tous dans notre bulle et on aspire à la liberté). Celui qui aura été le plus fasciné par ce film OVNI, c'est mon chat! Le moineau joue très bien, en fait.
une bien jolie intention en somme, mais que de clichés bien pensants, que de longueurs étirées, de moralisme étriqué, que de banalités, que de pseudo poésie à deux balles...mais enfin puisque tout le monde trouve ça très bien, j'ai du loupé quelque chose, c'est sûr c'est un film qui ne risque de choquer personne , ça plait à Télérama = méfiance...!. Dans la salle, beaucoup de retraitées, de jeunes filles célibataires en fleurs (fanées), un bon somnifère pour vivacités endormies.
Bird People est de ces films qui nous mettent dans un état de contemplation vide. La réalisatrice a dû pondre une page de texte en tant que scénario pour ensuite filmer tantôt des tapis roulant, des gens qui marchent, des bouteilles de javel et j'en passe. Dire que le film est totalement vide serait malhonnête car il y a vraiment du fond dans ce qui est montré, mais il nous fait parvenir un message en 2h là où 1h20 aurait largement suffi. Et encore il resterait des séquences planplan pour montrer combien on est un grand artiste... La réalisation est finalement de celle qu'on voit beaucoup trop, quelque chose d'extrêmement conditionné et uniformisé, de codifié pour se sentir grand cinéaste, alors qu'il ne fait qu'ennuyer le grand public, moins habitué à se prendre la tête pour analyser et comprendre où se trouve la quintessence de la subtilité artistique dans l'élément de la vie de tous les jours, le banal, le monotone. Cette bouteille de javel filmé en coin, c'est la monotonie de la vie de la jeune fille, pardi ! c'est sa vie de tous les jours, son rôle dans l’hôtel, résumés en une image ! Ouais, enfin si on avait encore besoin de ça pour comprendre. Reste que le film aura au moins une légère touche fantaisiste appréciable - dont la survenue restera une énigme vis à vis du reste du scénario - mais qui traînera malheureusement en longueur au travers de toujours autant de contemplation vide..
EXTRAORDINAIRE ET DOMMAGE. D'excellents moments de cinéma, de grâce, subtils (une atmosphère très réussie aussi) dans lesquels j'ai été embarquée et d'autres qui ne fonctionnent pas du tout pour moi, malheureusement.
Un propos, et parfois des situations dans lesquelles on se reconnait, certes mais traitée de façon un peu simpliste, manichéenne et convenue voire caricaturale.
C'est parfois comme trop calculé et en décalage. Je ne sais pas si ça vient de moi, spoiler: mais à titre d'exemple les longues minutes où l'on voit le travail répétitif d'Audrey, l'heure qui tourne, la femme de chambre je trouvais l'angoisse qu'un drame arrive comme dans un film d'horreur. Pour moi, ça n'a pas franchement de rapport avec l'angoisse que l'on ressent quand on est écrasé et emprisonné par sa vie et que l'on désire s'envoler. C'est sûr, ainsi ça n'est pas cousu de fil blanc mais au prix d'être complètement déconnecté? Parfois la lourdeur de la situation est assez juste, le problème est que j'ai décroché entre temps.
Film mauvais, très décevant. Un début qui pourrait se révéler intéressant, mais l'inspiration tourne court et le film se perd dans une divagation pseudo-poétique.
Un voyage immobile de 2 heures (quand même), qui a un peu de mal à décoller pendant les 15 premières minutes, mais cela vaut vraiment, mais alors vraiment, le coup de s'embarquer. Comme pour un Wenders en fait... Version "Les ailes de la délicatesse ". Un film rare, innovant, actuel, touchant, profond et qui vous prendra au dépourvu. Dans cet îlot de CDG...quelque chose de joli comme une petite boulebouille de plumes, qui donne des fourmis à l'estomac et vous caresse la joue en passant. A tenter et vous serez conquis.
Oui mais mais non, soyons clair, bird people est un film raté, pas définitivement mauvais, il y a de très jolies choses, de la poésie, la faute a un scénario fainéant, qui traîne, et n'arrive jamais a captiver. Certes les plans sont beaux, mais dans ce film on retrouve, du sous "lost in translation" un peu de Benoit jacquot "la fille seule", un peu de tout, mais rien de concret. Les excellentes critiques ne sauveront pas, ce naufrage, qui pourtant avait tout pour séduire..... Mais ce n'est pas si grave, tous les grands réalisateurs trébuchent, quant aux journalistes, ce ne sera pas la première fois qu'ils font appel a leur relationnel plus qu'a leur emotiel,
Que d'ennui, de longueurs, de scènes inutiles et de manque d'action... Pour une sieste ou une séance de torture à votre pire ennemi... Les domédiens sont pourtant pas mals, mais ne sauvent en rien cette daube... Dommage...