Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 28 avril 2014
Allez d'urgence voir ce film... C'est un film émouvant et drôle, même très drôle à certains moments et touchant... Bref, il n'y a pas assez d'adjectif pour le décrire. Tout ce que je sais c'est que c'est un chef-d’œuvre et que vous ne serez pas déçu! Bon film!
On tombe dans des fossés de clichés à trop vouloir les éviter. Du Harlequin au cinéma: On prend son temps, ça se regarde facilement, mais on n'y croit pas. Dommage.
Je ne suis pas sûre que ce film mérite 4, en fait si je m'écoutais je mettrais plus, mais je ne serais pas objective. Je me suis beaucoup reconnue dans ce film, un peu trop. C'est pour cela que je l'ai vraiment aimé, sinon ça reste un film d'amour à la française gentillet mais l'actrice y met vraiment de la fraîcheur.
Enflammez-vous pour une romance Kantienne ! Portrait de deux êtres qui aiment chacun à leur manière, Pas son genre est porté par un duo époustouflant, qui nous émeut et nous touche par leur sincérité. Ce film vous donne l'envie de prendre Clément et Jennifer par la main, flâner dans les rues pavées de la ville d'Arras, manger des frites, boire de la bière dans le pub du quartier, ou même s'endormir au son des Arrageois qui poussent la chansonnette sous vos fenêtres... Faites-vos bagages et prenez le TGV pour une histoire qui vous transportera ! Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !
film vu en avant -première à Massy en présence du réalisateur : une histoire d'amour superbement jouée par les deux principaux acteurs, film avec beaucoup de rythme, d'une grande intensité émotionnelle. Jamais Emilie Duquenne n'a été si lumineuse, A voir absolument !
Lucas Belvaux signe donc avec Pas son genre une comédie sentimentale passionnante grâce à un scénario bien ficelé alternant judicieusement humour et émotion, où la touchante authenticité et la dimension réflexive empêche cette relation amoureuse de paraître niaise. Un agréable moment porté par deux comédiens savoureux.
L'une, pétillante et rayonnante, vit et exprime pleinement ses émotions; l'autre les réprime à force d'intellectualiser la relation amoureuse. Au-delà du fossé social qui les sépare, c'est la différence de leur rapports respectifs à la relation amoureuse qui fragilise et magnifie ce couple. Cette ambivalence est d'autant plus intéressante qu'elle peut se manifester à l'intérieur de chacun de nous. Aimer l'autre nous donne tantôt envie de nous protéger (c'est plutôt la posture de Clément, qui présente la philosophie comme "un sport de combat", ce qu'on pourrait traduire ici par "un sport de défense" et une volonté de maîtrise) tantôt de nous abandonner et de nous livrer pleinement, quitte à risquer la souffrance. Si, de prime abord, Clément semble "dominer", Jennifer affirme de plus en plus sa personnalité. Moins cultivée, elle n'en est pas pour autant moins intelligente. Elle saisit parfaitement les ambivalences et les obstacles de la relation qu'elle vit et ce n'est pas le fait d'avoir laissé libre cours à ses sentiments pour Clément qui l'empêche de prendre la décision de le quitter. Le rayonnement d'Emilie Dequenne (une magnifique performance d'actrice qu'il faut saluer au passage !) dont émane vie, tendresse et authenticité questionne également, à lui seul, le rapport de domination qui semblait s'imposer dans un tel contexte. Soulignons, enfin, la magnifique interprétation d'"I will survive" à la fin et la qualité et la pertinence du choix des musiques en général... Ce film est un petit bijou, délicieux à regarder.
Pas son genre : ON Y VA parce que une simple histoire d’amour, ça peut aussi faire un bon film. Dans « Pas son genre », un professeur de philo muté à Arras rencontre une charmante coiffeuse, interprétée de manière pétillante et naturelle par la très mignonne Emilie Dequenne. Une histoire d’amour nait presque fortuitement entre ces deux personnages que tout semble éloigner. Elle, y croit avec légèreté et enthousiasme, lui, bien que moins expansif, s’implique vraiment. Cependant, il doute, leur relation lui semble merveilleuse, mais désespérément provisoire. Il se protège, s’enferme dans une fausse indifférence. Le scénario a l’intelligence de se concentrer sur les personnages, de ne pas chercher à dessiner une fresque sociale sur fond de remake raté de Roméo et Juliette. Lucas Belvaux nous épargne ainsi la rencontre entre les parents bourgeois et la coiffeuse provinciale ; il n’ira pas non plus à jouer le rôle d’un beau-père de rencontre. Au long de cette romance filmée avec délicatesse sans violons ni tambours, se sont les sentiments qui triomphent, pas nécessairement pour le meilleur, et on comprendra qu’en amour il faut savoir prendre des risques, déposer son armure et être prêt à l’impensable.
Ce n’est vraiment pas son genre !! Lucas Belvaux nous a habitué à mieux. Ce film a beaucoup de longueurs et une fin très …. décevante ! L’histoire est plutôt originale : deux personnes de milieux et de cultures différentes qui se rencontre, c’est sympa mais il n’y a rien d’extraordinaire tout au long de l’histoire, on s’ennuie. Je trouve également que Loïc Corbery n’a pas l’allure d’un prof de philo. Un prof de philo est toujours original, je n’en ai jamais vu des communs, tout raide dans leur costard comme l’acteur.
Un petit bijou! Certes, pas conventionnel, mais Lucas Belvaux utilise les clichés que l'on peut avoir des uns et des autres pour mieux les bousculer! Je suis sorti de ce film heureux et bouleversé. Je vous recommande vivement.
Un scénario faisant espérer tellement mieux! On pouvait s'attendre à une une critique social d'une grande délicatesse. Les acteurs pourtant très bons n'arrivent pas à faire sortir cette histoire d'une banalité triste et poisseuse. Déprimant et finalement caricatural.