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    Pas son genre
    Note moyenne
    3,4
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    401 critiques spectateurs

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    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    184 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mai 2014
    Un film, excellemment interprété qui aurait pu être beau mais qui est gâché par une fin incompréhensible.
    Une critique plus détaillée et d'autres sur
    framboise32
    framboise32

    154 abonnés 1 290 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2014
    Pas son genre est une belle rencontre amoureuse. Clément jeune prof de philo arrive à Arras. Il rencontre Jennifer mère célibataire coiffeuse. Le décalage culturel, le décalage social sont au centre de l’histoire. Plus l’histoire d’amour évolue, plus le décalage dérange le couple, une histoire entre avenir et échec… Le film oscille entre scènes légères et scènes profondes.

    Le réalisateur pose un regard plein de tendresse sur ses personnages. On se laisse facilement emporter par cette histoire que l’on sent tout de même vouée à l’échec. Emilie Dequenne est pleine de fraicheur et de spontanéité. Son personnage croit au grand amour, au prince charmant. Tout comme le jeune philosophe, elle nous charme. On se prend d’affection pour cette jeune femme heureuse de vivre. Loïc Corbery, sociétaire de la comédie française, est parfait en philosophe, parisien, intello, sûr de lui , de son charme, sûr de ses convictions, un peu désarmé face à cette jeune femme spontanée.

    Pas son genre est une très belle histoire d’amour, simple et complexe à la fois. Un joli moment !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 mai 2014
    Magnifique ! Deux acteurs superbes au jeu tout en subtilité et en intensité. Merci pour ce moment de grâce.
    pierrepp
    pierrepp

    14 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mai 2014
    film trés interessant sur les rapports entre 2 êtres avec des cultures diffé effectivement Emilie Dequenne est exceptionnelle et poignante, loic corbery exprime avec une grande intelligence ses blocages .Bravo à Lucas Belvaux !
    plp56
    plp56

    2 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2014
    oh quel joli film ! avec 2 acteurs absolument à couper le souffle, Corbery le prof de philo dans un rôle difficile car plus en retrait, et Emilie Dequene éblouissante. Après on pourra toujours mégoter sur ceci ou cela, mais j'ai trouvé que le réalisateur évitait le 1er piège, à savoir le méchant prof de philo et la gentille coiffeuse... Dans l'ensemble le film m'a paru assez subtil. Même s'il aurait pu continuer sur une fibre plus humoristique. Un très agréable moment, merci Lucas Belvaux.
    ed69
    ed69

    9 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2014
    Le film vous emporte, les personnages sont touchant et juste , les acteurs sont beaux et lumineux , avec beaucoup de philosophie allez y ... Bonne séance édouard
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 mai 2014
    Le charme d'Emilie Dequenne sauve le film. Romance pas si bleue que ça, où deux personnages que rien ne rapproche apprennent doucement à se laisser emporter et changer par le monde de l'autre.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 mai 2014
    Fable de l’amour impossible, Pas son genre hésite longtemps entre beaucoup de choses, maladroitement coincé quelque part entre La vie d’Adèle, pour la lutte de classes, et Bienvenue chez les Ch’tis, pour la farce provinciale. Visiblement mal à l’aise avec son sujet, qui est pourtant la principale force de son film, Lucas Belvaux semble longtemps faire étrangement tout pour ne pas être pris au sérieux, au risque d’un flou artistique à peu près total. S’il n’y réussit heureusement pas complètement, cela ne suffit pas à vraiment sauver un film qui ne fait rien pour être aimé.

    Si Pas son genre ne mérite sans doute pas d’être excessivement encensé ou démoli, peu de films m’ont au final laissé aussi perplexe une fois le clap de fin tombé. Au-delà de sa qualité intrinsèque, loin d’être exceptionnelle, il me semble en effet que le dernier film de Lucas Belvaux est l’exemple parfait d’un quiproquo artistique total, dialogue raté entre l’auteur et son public. Explications.

    Pendant une bonne heure, Pas son genre semble être un film d’une stupidité presque totale, caricature à peu près complète du bon peuple et de la province. Flirtant sans cesse avec un mépris social assez insupportable, notamment grâce à l’interprétation quasi grotesque d’une Émilie Dequenne qui nous a pourtant habitués à mieux question crédibilité, le film de Lucas Belvaux débite tous les clichés possibles et imaginables sur le petit peuple de province, forcément naïf et sympathique, et le parisien type, forcément hautain et spirituel. Dans cet exercice de style franchement affligeant, étant en plus mis en scène avec autant de doigté qu’un épisode de Joséphine ange gardien, tout semble alors prêter à sourire et les signaux sont au vert pour pouvoir gentiment se foutre de la gueule de cette pauvre gourde d’Émilie Dequenne, bien gentille mais un peu coconne, et la salle ne s’en prive alors pas (bah oui puisque qu’à Paris on est du bon côté de la farce…). Malaise de mon côté, mais certains ont alors l’air de beaucoup s’amuser. C’est vrai que c’est marrant de tirer sur des ambulances.

    Et c’est là que Lucas Belvaux perd à mon sens ses spectateurs, qui l’ont certes bien mérité parce que le panneau est franchement gros, et se perd finalement en partie avec son film. Car Lucas Belvaux n’a bien sûr pas voulu seulement réaliser qu’une farce de boulevards sur les amourettes provinciales d’un jeune et brillant philosophe parisien (difficile au passage pour les « provinciaux » de ne pas encore plus détester Paris avec des films de ce genre), et le tournant dramatique arrive finalement quand on ne l’attend presque plus, gavé de scènes plus pénibles les unes que les autres. Et là plus personne ne dit rien dans la salle, parce qu’on s’est bien foutu de la gueule de cette pauvre petite et on se rend maintenant compte qu’on ne vaut pas mieux que ce cher philosophe. Magie du cinéma, qui n’est finalement qu’un grand miroir.

    Si les choses ne s’arrangent pas complètement, le regard de Lucas Belvaux sur son héroïne restant très condescendant, ce ton résolument dramatique donne à son film un peu de la profondeur qu’il fuyait jusque-là désespéramment. En mettant régulièrement en scène le malaise social s’installant entre les deux amants, il offre également la possibilité à Émilie Dequenne d’enfin sortir de la caricature dans laquelle elle était enfermée pour entrer dans un registre de la détresse qu’elle maîtrise au contraire sur le bout des doigts, ce qui permet en grande partie au film d’échapper au complet raté vers lequel il semblait se diriger. Si tout cela reste précaire et que cette dernière partie n’a rien non plus d’un chef d’œuvre, ce retournement de style a au moins le mérite de rétablir l’équilibre entre ses deux héros, et surtout de réhabiliter son héroïne durement traitée jusque-là.

    Il ne répond en revanche pas à la question de savoir si Lucas Belvaux a intentionnellement massacré la première partie de son film juste pour que le style colle au caractère de son héroïne, alors dépeinte comme la dernière des idiotes. Que ce soit volontaire ou pas, Pas son genre nous laisse donc au final avec cet étrange paradoxe : bien que très largement raté, il n’en est pas moins un véritable objet de réflexion, et ça n’est déjà pas si mal. Reste toutefois l’impression d’une forme de gâchis, et d’avoir raté quelque chose de plus beau et de plus grand. Tant pis.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 mai 2014
    Le réalisateur veut faire croire qu'il fait un film d'art et d'essai en mettant des longueurs de 10 minutes toutes les 2 minutes....
    Surement un des films les plus ennuyeux de l'année 2014, il ne se passe rien, les acteurs ne jouent pas.
    Je pense que le réalisateur a voulu faire un film du type " La vie d'Adéle" en nous mettant deux ou trois scènes érotiques mais cela ne cache pas du tout l'absence totale de scénario, du début à la fin.
    Au mieux un téléfilm qui passe à 15 heures le mardi sur M6.
    Une perte de temps.
    jmjbest2
    jmjbest2

    30 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2014
    J'ai adoré -pourtant ce genre de film..n'est pas en général mon genre-(!) , surtout le jeu stupéfiant des acteurs Emilie en tête. Mon épouse emballée aussi mais génée par cette ressemblance, copie quasi conforme de la trame de La Dentellière .
    Vincent C.
    Vincent C.

    30 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mai 2014
    Un film tout à fait sympathique. L'histoire n'est pas très originale mais la manière de la raconter est touchante. Les acteurs sont bons, le réalisateur aussi. C'est un bon film sur la rencontre entre deux personnes venant de milieux opposés. Un obstacle ou une force ? A vous de juger. Mais allez y.
    virg2312
    virg2312

    19 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2014
    Ce film aurait pu rapidement tourné en caricature ou en comédie à l'eau de rose, il n'en est rien !
    nathaliedansparis
    nathaliedansparis

    5 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mai 2014
    Je suis allée voir ce film hier soir au Bijou à Noisy le Grand, un incident technique a interrompu la projection très peu de temps après qu'elle lui ai jeté son livre à la figure après l'avoir découvert dans une librairie...JE SOUHAITERAI CONNAÎTRE LA SUITE! Un grand merci à celle ou celui qui aura pitié de moi et me contactera sur nathaliedansparis@ pour m'en informer.
    François A.
    François A.

    28 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mai 2014
    Il y a longtemps que je n'avais pas ressenti un tel choc à la vision d'un film. L'interprétation est magnifique tant de la part d'Emilie Dequenne, que de Loic Corbery, le scenario est très crédible, le thriller psychologique est intense, et la fin nous cloue à notre siège. Bravo, c'est du grand Cinéma.
    allegrion
    allegrion

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 mai 2014
    J'attends la fin de l'année 2014 avant de trancher définitivement, mais ce film est peut-être le pire de l'année. L'intrigue, que je trouve pour ma part charmante, est mise en pièce par une Émilie Dequenne candide et ingénue à outrance, comme si, sous prétexte qu'elle a grandi et vécu à Arras, son horizon intellectuel et émotionnel s'en trouvait réduit. En face, Loïc Corbery (DE LA COMÉDIE-FRANÇAISE, s'il vous plaît) joue une partition monochrome pour dissimuler la profonde hypocrisie de son personnage.

    Ce film, qui se veut une critique à l'encontre d'un élitisme parisien, ne fait que ressasser des clichés éculés avec des comédiens aux intentions peu justes, voire totalement farfelues. Avec en guest star spoiler: les larmes de Kathy, la collègue de Jennifer, qui interviennent dans un final à pleurer (de rire, j'étais vraiment plié en deux)
    .

    Le personnage de Clément a fichtrement raison quand il explique pourquoi il ne peut vivre qu'à Paris, celui de Jennifer est plus juste encore sur le fait que les femmes savent mieux que les hommes décrire ce que vivent les femmes. Lucas Belvaux, si vous lisez ces lignes, apprenez spoiler: qu'aucune femme ayant lu les romans d'Anna Gavalda ne s'aventurera à appeler « chaton » et à dire « je t'aime » et « tu es l'homme de ma vie » à un homme qui n'en a cure ou n'a pas daigné répondre à son premier « je t'aime ». Et comment une femme qui cherche un père pour son fils pourrait-elle se contenter de se faire sauter dans une miteuse chambre d'hôtel ?


    J'ai beaucoup ri pendant ce film, toujours au détriment des personnages et des comédiens. C'était à la fois épouvantable et hilarant. Mais plus jamais ça, s'il vous plaît.
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