Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Ouest France
par Pierre Fornerod
La mise en scène de Lucas Belvaux se laisse prendre avec finesse au plaisir de jouer avec les sentiments d'un mélodrame alerte et tonique.
20 Minutes
par Caroline Vié
La tendresse que le réalisateur de "38 témoins" (2012) porte à ses personnages est l’un des atouts majeurs de cette fausse comédie romantique. Ses acteurs, éblouissants, se laissent emporter dans cette histoire d’un amour qu’on sait condamné mais qu’on se plaît à croire possible le temps d’une projection…
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L'Express
par Eric Libiot
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L'Obs
par Pascal Mérigeau
Lucas Belvaux filme amoureusement Jennifer qui bientôt se donne toute entière, les lumières se reflètent dans les yeux d'Emilie Dequenne, qui éclate de rire, rayonne, éblouit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Lucas Belvaux signe ici une superbe histoire d'amour, une comédie qui a du coeur et des larmes, qui parle du racisme des sentiments et des préjugés. Emilie Dequenne mène la danse, exceptionnelle, bluffante, l'émotion à fleur de peau, elle nous embarque. Et on reste sous le charme.
Le Monde
par Thomas Sotinel
L'intellectuel et la coiffeuse, on devine la fable qui s'annonce. Certes, "Pas son genre" se présente comme un film plutôt sage, dont les péripéties sont loin d'être toutes imprévisibles. Mais l'important du film est ailleurs (...) il tient au parti pris de Lucas Belvaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
(...) De façon presque clinique, mais avec délicatesse, on est pris dans leur histoire d'amour qui hésite entre un bel avenir commun et l'échec en raison des barrières sociales.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Lucas Belvaux orchestre le bal des antagonismes dans un récit peu avare en archétypes, avant de rendre hommage et mystères à ses protagonistes dans un final poignant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
La relation amoureuse entre un homme et une femme d’univers culturels différents. Une étude de mœurs à la fois patiente et sous tension.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Marilyne Letertre
Lumineuse, Emilie Dequenne transcende cette love story impossible avec Loïc Corbery, jolie révélation de ce feel good movie qui sort des sentiers battus.
Positif
par Vincent Thabourey
Ce serait une erreur de réduire le nouveau film de Lucas Belvaux à une succession de clichés déterministes (...). Grâce à Emilie Dequenne, le film dépasse le stade de l'adaptation pour devenir le portrait vivifiant de l'une de nos plus grandes actrices du cinéma contemporain.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
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TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Le film n'est pas exempt de clichés mais il a pour atout majeur l'intelligence de jeu d'une comédienne : Emilie Dequenne.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Pas son genre montre des personnages jetés dans un labyrinthe où, malgré leur envie de se connaître, ils courent sans cesse le danger de se méconnaître.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
On allait au devant de Pas son genre avec une crise sévère de chair de poule. Mais le film, heureusement, vaut mieux que ça. Et, s'il est en partie raté, précisons d'emblée que la lutte des classes y est dépeinte avec un peu plus de doigté que dans cette triste promotion.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Reste que Belvaux a le mérite de chercher constamment la position la plus honnête, la moins condescendante, vis-à-vis de ses personnages, assumant d'être culturellement du côté du bourgeois, mais réservant son empathie à la coiffeuse
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Tout le mérite revient à Emilie Dequenne, dont le parcours culmine en un climax phénoménal, qui prend à la gorge en étant pourtant d'une simplicité redoutable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Anne Diatkine
On pense à "La Dentellière". Et on se demande ce que donnerait un film où ce serait l'homme qui ne se sentirait pas à la hauteur.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Lucas Belvaux filme avec délicatesse et au plus près les hésitations, les attentes, les impatiences des deux amants, l'émotion des premières fois (...) pointant, par touches ce qui les sépare et ne sera jamais comblé. Cinéaste étonnant (...) il montre que la culture ne sauve de rien, pas même de soi.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
En transposant au cinéma le livre de Philippe Vilain, Lucas Belvaux renoue avec le registre sentimental. Il traduit fidèlement le propos de l'écrivain : peut-on aimer quelqu'un issu d'un autre milieu social et d'une autre culture que soi ?
Libération
par Olivier Séguret
Le problème du film est que le déséquilibre, amoureux, ou le malentendu, qu’il tente de décrire se double, à l’image, d’une autre forme de disproportion : à mesure que l’astre Dequenne impose son rayonnement, le corps de Clément s’efface, se dilue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Là où le roman adopte un point de vue unique, non dénué d'un certain cynisme, le film glisse habilement d'un personnage à l'autre, opérant un subtil jeu de substitution. Il n'y a aucun mépris dans le regard de Lucas Belvaux, bien au contraire.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Cumulant des scènes légères avec d’autres d’une rare profondeur, Pas son genre marque sa différence avec d’autres comédies romantiques en s’écartant de l’image rose bonbon de la romance traditionnelle sur grand écran.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Clémentine Gallot
Cette sortie de route osée du cinéaste belge qui s’amuse à flirter avec le téléfilm laisse songeur. Pas forcément notre genre non plus.
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Le film est sclérosé dans une certaine prévisibilité difficile à contourner, tant Lucas Belvaux fige d’entrée de jeu ses personnages dans une perspective d’évolution inégale, comme pour nous convaincre que la petite {Rosetta} ne pourra jamais devenir une grande dame.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Isabelle Danel
Lucas Belvaux déclare avoir voulu traiter cette histoire du point de vue des deux protagonistes. Il met pourtant plus souvent en évidence le regard de Clément [...].
Ouest France
La mise en scène de Lucas Belvaux se laisse prendre avec finesse au plaisir de jouer avec les sentiments d'un mélodrame alerte et tonique.
20 Minutes
La tendresse que le réalisateur de "38 témoins" (2012) porte à ses personnages est l’un des atouts majeurs de cette fausse comédie romantique. Ses acteurs, éblouissants, se laissent emporter dans cette histoire d’un amour qu’on sait condamné mais qu’on se plaît à croire possible le temps d’une projection…
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Obs
Lucas Belvaux filme amoureusement Jennifer qui bientôt se donne toute entière, les lumières se reflètent dans les yeux d'Emilie Dequenne, qui éclate de rire, rayonne, éblouit.
Le Journal du Dimanche
Lucas Belvaux signe ici une superbe histoire d'amour, une comédie qui a du coeur et des larmes, qui parle du racisme des sentiments et des préjugés. Emilie Dequenne mène la danse, exceptionnelle, bluffante, l'émotion à fleur de peau, elle nous embarque. Et on reste sous le charme.
Le Monde
L'intellectuel et la coiffeuse, on devine la fable qui s'annonce. Certes, "Pas son genre" se présente comme un film plutôt sage, dont les péripéties sont loin d'être toutes imprévisibles. Mais l'important du film est ailleurs (...) il tient au parti pris de Lucas Belvaux.
Le Parisien
(...) De façon presque clinique, mais avec délicatesse, on est pris dans leur histoire d'amour qui hésite entre un bel avenir commun et l'échec en raison des barrières sociales.
Les Fiches du Cinéma
Lucas Belvaux orchestre le bal des antagonismes dans un récit peu avare en archétypes, avant de rendre hommage et mystères à ses protagonistes dans un final poignant.
Les Inrockuptibles
La relation amoureuse entre un homme et une femme d’univers culturels différents. Une étude de mœurs à la fois patiente et sous tension.
Metro
Lumineuse, Emilie Dequenne transcende cette love story impossible avec Loïc Corbery, jolie révélation de ce feel good movie qui sort des sentiers battus.
Positif
Ce serait une erreur de réduire le nouveau film de Lucas Belvaux à une succession de clichés déterministes (...). Grâce à Emilie Dequenne, le film dépasse le stade de l'adaptation pour devenir le portrait vivifiant de l'une de nos plus grandes actrices du cinéma contemporain.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le film n'est pas exempt de clichés mais il a pour atout majeur l'intelligence de jeu d'une comédienne : Emilie Dequenne.
Télérama
Pas son genre montre des personnages jetés dans un labyrinthe où, malgré leur envie de se connaître, ils courent sans cesse le danger de se méconnaître.
Chronic'art.com
On allait au devant de Pas son genre avec une crise sévère de chair de poule. Mais le film, heureusement, vaut mieux que ça. Et, s'il est en partie raté, précisons d'emblée que la lutte des classes y est dépeinte avec un peu plus de doigté que dans cette triste promotion.
Chronic'art.com
Reste que Belvaux a le mérite de chercher constamment la position la plus honnête, la moins condescendante, vis-à-vis de ses personnages, assumant d'être culturellement du côté du bourgeois, mais réservant son empathie à la coiffeuse
Ecran Large
Tout le mérite revient à Emilie Dequenne, dont le parcours culmine en un climax phénoménal, qui prend à la gorge en étant pourtant d'une simplicité redoutable.
Elle
On pense à "La Dentellière". Et on se demande ce que donnerait un film où ce serait l'homme qui ne se sentirait pas à la hauteur.
La Croix
Lucas Belvaux filme avec délicatesse et au plus près les hésitations, les attentes, les impatiences des deux amants, l'émotion des premières fois (...) pointant, par touches ce qui les sépare et ne sera jamais comblé. Cinéaste étonnant (...) il montre que la culture ne sauve de rien, pas même de soi.
Le Figaroscope
En transposant au cinéma le livre de Philippe Vilain, Lucas Belvaux renoue avec le registre sentimental. Il traduit fidèlement le propos de l'écrivain : peut-on aimer quelqu'un issu d'un autre milieu social et d'une autre culture que soi ?
Libération
Le problème du film est que le déséquilibre, amoureux, ou le malentendu, qu’il tente de décrire se double, à l’image, d’une autre forme de disproportion : à mesure que l’astre Dequenne impose son rayonnement, le corps de Clément s’efface, se dilue.
Paris Match
Là où le roman adopte un point de vue unique, non dénué d'un certain cynisme, le film glisse habilement d'un personnage à l'autre, opérant un subtil jeu de substitution. Il n'y a aucun mépris dans le regard de Lucas Belvaux, bien au contraire.
aVoir-aLire.com
Cumulant des scènes légères avec d’autres d’une rare profondeur, Pas son genre marque sa différence avec d’autres comédies romantiques en s’écartant de l’image rose bonbon de la romance traditionnelle sur grand écran.
Cahiers du Cinéma
Cette sortie de route osée du cinéaste belge qui s’amuse à flirter avec le téléfilm laisse songeur. Pas forcément notre genre non plus.
Critikat.com
Le film est sclérosé dans une certaine prévisibilité difficile à contourner, tant Lucas Belvaux fige d’entrée de jeu ses personnages dans une perspective d’évolution inégale, comme pour nous convaincre que la petite {Rosetta} ne pourra jamais devenir une grande dame.
Première
Lucas Belvaux déclare avoir voulu traiter cette histoire du point de vue des deux protagonistes. Il met pourtant plus souvent en évidence le regard de Clément [...].