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Votre avis sur Un Château en Italie ?
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c'est vraiment le sujet du film qui le rend si insupportable. les problemes des gros riches, leurs pleurnicheries, leur mepris des autres, leur egoisme.... tout cela VBT le montre l'assume et semble en etre fière. Je pense que le cinema a mieux à montrer.
trente minute d'un grand navet , une vision d'une débile et une carla bruni en vieille eh oui maman n'a pas fait refaire son nez très jeune comme sa fille et un film à oublier rapidement , trente minutes et retour à la maison voir quelque chose de mieux !
Film pénible, copie de ses deux films précédents... je me demande si il n'y a pas des scènes qui sont des copier-coller, tellement j'avais l'impression de les avoir déjà vues !!! Mention spéciale pour CELINE SALLETTE qui arrive imprimer la magie de sa présence à chaque fois qu'elle apparaît... incroyable !
Un film réussi. Bravo aux auteurs et acteurs pour ce film de qualité.
J'espére qu'il aura plein de succés tant en France et qu'en Italie. Cet équilibre entre les deux cultures translpines est trés réussi, surtout bien équilibré. On sent que la réalisatrice a mis beaucoup d'elle même au risque de tranmettre au spectateur une certaine gêne à entrer aussi loin dans l'intimité de cette famille.
Et que dire de la mére qui est étonnante. Une grande actrice se révélant sur le tard... Les jurés du Festival de Cannes étaient ils en pleine sieste post prandiale pour les avoir oubliées .
J'espére que les Césars répareront cela, notamment pour Mme Bruni mére
J'espére qu'il aura plein de succés tant en France et qu'en Italie. Cet équilibre entre les deux cultures translpines est trés réussi, surtout bien équilibré. On sent que la réalisatrice a mis beaucoup d'elle même au risque de tranmettre au spectateur une certaine gêne à entrer aussi loin dans l'intimité de cette famille.
Et que dire de la mére qui est étonnante. Une grande actrice se révélant sur le tard... Les jurés du Festival de Cannes étaient ils en pleine sieste post prandiale pour les avoir oubliées .
J'espére que les Césars répareront cela, notamment pour Mme Bruni mére
C'est un bon film, on garde le sourire du début a la fin, on s'attache a chaque personnage. On peut d'abord penser que l'univers de l'actrice peut être très star/riche/cinéma enfin vous voyez ce que je veux dire mais en fait on s'identifie très vite au personnages, certains nous font penser a des connaissances/amis/famille. Un film très proche de nos vies, on sent que la réalisatrice est sincère.
Très beau film de Valéria Tedeschi et son équipe! un film sur la vie, émouvant,qui nous fait passer du rire aux larmes avec habilité et finesse... les acteurs sont très bons. Merci
Fritz L
Comment peut-on en 2013 sortir un pareil film ? Hystérique, bobo à souhait, d’une indécence et d’une indigence à la limite de la provocation on ne peut y trouver quelque contentement que ce soit. Valeria Bruni-Tedeschi évolue dans des sphères qui ne sont plus de ce monde… Ses petites histoires de famille malsaines font penser à Marie-Antoinette qui devant le peuple affamé et courroucé déclarait : « s’ils n’ont pas de pain qu’ils mangent donc de la brioche » ! La réalisatrice ne perdra pas la tête, pire elle perd mon respect !
FaRem
Un film nominé au festival de cannes l'an dernier et apparemment un peu autobiographique puisqu'elle fait jouer des gens de son entourage je doute pas que Valerie Bruni Tedeschi a fait de son mieux et qu'elle a du mettre beaucoup de cœur dans son film mais franchement ça ne fonctionne pas du tout. Je me suis ennuyé du début à la fin, le personnage principal est insupportable on a aucune empathie pour elle, le film aborde des thèmes importants comme la mort mais franchement on s'en tamponne de ce qui peut leur arriver il n'y aucune émotion on attend juste que le film se termine avec impatience. Un film pour les fans du genre ou pour les proches de la réalisatrice.
“Un château en Italie” est un film écrit et réalisé par Valéria Bruni-Tedeschi dans lequel elle joue une actrice franco-italienne (comme dans la réalité) qui traverse une crise personnelle au moment où son frère malade du SIDA (comme malheureusement dans la réalité) est au plus mal. Elle le soutient du mieux qu’elle peut avec l’aide de sa mère (qui également sa mère dans la réalité), alors que des difficultés financières et une rencontre amoureuse avec un acteur (Louis Garrel, ex de l’actrice dans la réalité) en plein crise lui aussi viennent tout compliquer. Alors, je ne suis pas de ceux qui ont tendance à juger le cinéma français comme trop souvent élitiste, destiné à des bobos parisiens coupés de la réalité et fait par des réalisateurs/acteurs nombrilistes, considérant que ces jugements de café du commerce sont un brin démago, mais là il faut bien admettre que ce film répond en tous points à ces clichés. Tout ce long-métrage se regarde beaucoup (trop) le nombril pour emporter l’adhésion d’un public qui est à mille lieux du cadre de vie de ces gens (riches héritiers et milieu du cinéma parisien). Du coup on a du mal à plonger dans une histoire qui en plus ne vole pas très haut avec des personnages beaucoup trop perché pour être sympathiques (voire crédible parfois) et qui même en arrivent à devenir (particulièrement le personnage de Louise) proprement insupportables. Les péripéties sont à la limite cocasses, mais la répétition de ces scènes burlesques ne rend pas l’histoire, assez plate, beaucoup plus prenante. Alors, on finit par s’intéresser de temps en temps à ce qui se passe devant nous, mais uniquement pour tromper notre ennui devant une psychothérapie de la réalisatrice qui se complaît à nous infliger tous ces problèmes familiaux et professionnels sans qu’on ne lui ait rien demandé! Bref un film affreusement autocentré qui ne s’intéresse pas au public pour fournir un spectacle où l’actrice/scénariste/réalisatrice se complaît à nous étaler sa petite vie, persuadée que cela vaut le coup d’oeil. Hélas, c’est inintéressant et assez irritant de médiocrité. Un film insignifiant et égotiste qui prend le spectateur en otage des états d’âmes de Valéria Bruni-Tedeschi. À fuir
J'aime beaucoup Valéria Bruni-Tedeshi. Je suis donc d'autant plus attristée de ne pas avoir aimé ce film. A aucun moment, je n'ai été touchée ou émue. Certes, j'ai esquissé pas mal de sourires, mais, à la sortie, la note reste négative...
Les introspections familiales de Valéria Bruni Tedeschi sont des objets cinématographiques nombrilistes et précieux (pas dans le sens estimables mais plutôt pompeusement coquets) qui éblouissent apparemment certains critiques mais qui ont le don de me barber comme rarement des films ont pu parvenir à le faire.
Bravo à elle et à toute sa famille par conséquent !
Bravo à elle et à toute sa famille par conséquent !
« Un Château en Italie » recèle ça et là de moments réussis – principalement tout ce qui se rapporte au frère malade – mais la sensation générale que l’on éprouve à la vision du film est un sentiment mitigé et on éprouve bien souvent une certaine gêne face à cette complaisance immuable dont se nourrit Valeria Bruni-Tedeschi dans ses réalisations. Les acteurs sont bons, c’est plutôt bien filmé, il y a des idées de mise en scène intéressantes mais tout cela ne rend pas le film très séduisant et le spectateur se sent un peu comme un intrus voire un voyeur.
Un point de vue rare et dur sur cette dynastie déchue. Valéria, dans une position schizophrénique (réalisatrice, personnage, actrice), arrive à nous toucher profondément alors que tout est fait pour que l'on déteste et son univers, et ses choix, et sa personne. Sacré tour de force ! De plus, certains second rôle témoigne d'une sensibilité aiguë de la nature humaine et des relations complexes qui peuvent se nouer ce milieu bourgeois.
Que je suis déçu... Moi qui affectionne tant l'actrice et réalisatrice Valeria Bruni Tedeschi. Ce film est d'une froideur déconcertante. Il y a bien trois ou quatre scènes orphelines qui sont sublimes comme
la scène où elle tombe de douleur alors qu'elle perd son fœtus ou bien le moment où elle explique à sa mère, sa décision d'arrêter le métier d'actrice dans le taxi à Londres. Malgré cela, l'alchimie ne prend pas, ça ne fonctionne pas du tout. La télécommande, quel soulagement!
la scène où elle tombe de douleur alors qu'elle perd son fœtus ou bien le moment où elle explique à sa mère, sa décision d'arrêter le métier d'actrice dans le taxi à Londres. Malgré cela, l'alchimie ne prend pas, ça ne fonctionne pas du tout. La télécommande, quel soulagement!
Film égoïste sans intérêt ! Le spectateur est tenu a l'écart de ce monde a part. C'est grotesque.
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