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Un visiteur
3,0
Publiée le 17 septembre 2013
Pas de fil conducteur mais plein de petites histoires sympa, se laisse bien regarder ! Quelques passages mou mais le film en lui même a un faux rythme qui ne m'a pas déplu.
Il est des films sans de gros budgets qui surprennent par leur ingéniosité et le talents de ceux qui les font. VHS est de ceux-là. Une idée qui réinvente le found footage (et ça lui fait pas de mal!) et une multiplicité des codes de l'horreur car VHS est avant tout un film à sketch comme à la grande époque. Certes tout n'est pas du même niveau, mais dès le début la surprise est de mise pour deux heures de gore sans concession et de jolis moments de frayeur...
De la balle! J'adore, un film de taré: sans queue ni tête, du délire mais une super réalisation, des effets spéciaux plus que nickel, vraiment un des meilleur, voir le meilleur des film du genre.
-V/H/S respecteras toutes les règles d'un film d'horreur coupé en plusieurs séquences qui reprendras de nombreux classique de notre époque. Malgré une impression de déjà vue, il se laisse regardé facilement avec une atmosphère où tout peut apparaître à l’écran. En effet se concept fait interagir des personnages qui regarderons tour à tour des K7 vidéos, ce qui le différencie d'avec les found-footage habituels où l'action se passe en live, et comme vous l'aurez compris, vous ne serez pas à l'abri d'images subliminales ou autres sursauts. Bien sur c'est un film amateur donc pas de malaise pendant le film, l’équipe de ce long-métrage se cherche et tâte différents aspects ce qui nous donne droit à quelques maladresses de mise en scène et de rythme, qui ne généra pas l'ambiance et restera bonne enfant. En bref, film d'horreur en found-footage ambitieux à regarder entres potes dans le noir comme des ados (chips, coca et surtout M&M's).. ou pas.
Format tombé en désuétude au fil du temps, le film d'horreur à sketchs retrouve ici ses lettres de noblesse par l'entremise de ce V/H/S, dont le concept de base, particulièrement bon, se voit ici malheureusement desservi par des histoires de qualités plutôt faibles.
Plutôt bien foutu dans la forme (pas évident avec du "found footage") et distillant une réelle sensation de malaise, le film ne transforme jamais vraiment l'essai, se contentant de jouer sur une mise en abime savamment entretenue mais qui au final ne procure pas la "vraie frousse" qu'elle aurait dû provoquer.
Reste malgré tout de très bonnes idées (particulièrement la dernière histoire), un vrai sens de la mise en scène et un petit goût de "pas assez" ne demandant qu'à être satisfait par un deuxième opus que l'on espère plus abouti en matière de scénario.
Ce qui est bien avec les films de ce genre (caméra sur l'épaule) c'est que si les acteurs jouent mal, on ne s'en rend pas compte. Attention, je ne dis pas que le film est nul parce que les acteurs jouent mal, je dis simplement que ce film est nul parce qu'il n'est qu'une suite de mauvaises idées. La première à été cité, c'est la première qui saute aux yeux, ensuite passons au scénario... Qu'elle misère !! pendant tout le long (vraiment long d'ailleurs) de l'histoire ce n'est qu'une suite de personnes malsaines (du genre à vous violer un samedi soir dans le métro, quand vous vous retrouvez seule au fond de la rame), qui croise le regard d'autres personnes malsaine (celle qui sortent leur téléphone pour vous filmer pendant que les autre vous violes, à la place d'appeler la police). Enfin tout ceci n'est que le prétexte pour faire couler des litre d'hémoglobines entre deux scène de beuveries dans le noir et de course à pied caméra sur l'épaule. Le rôle principale est attribué à la caméra, et les seconds rôle se débattent et gesticulent autour (en criant et jurant des insanités) dans l’espoir d'être filmé. Bref un film à éviter qui ne restera pas dans les anales (et pourtant moi j'adore quand on passe par là)
"V/H/S" avait sur le papier de quoi allécher : film omnibus + found footage + fantastique/horreur. En plus, beaucoup de festivals et de revues spécialisées en parlèrent en bons termes. Son succès aux USA fut tel qu’une suite fut mise directement en chantier !! Malheureusement je ne comprends pas un tel engouement tant l’objet apparaît à mes yeux comme un pétard mouillé. Il est totalement irrégulier et comporte plus de médiocrité que de fulgurance. Passons sur le film conducteur entre tous les sketchs, "Tape 56", qui est sympa dans l’ensemble mais dont le montage et les transitions très très très approximatifs font grincer des dents. Le 1er sketch, "Amateur Night" de David Bruckner, demeure très sympa : sorte de "American Pie" virant au cauchemar, il nous met en bouche (avec un peu de gore même : vive le "sexe" ! ^^) pour la suite. Malheureusement, la suite est moins réjouissante : "Second Honeymoon" de Ti West est d’autant plus frustrant que c’était celui que j’attendais le plus tant Ti West m’avait enchanté avec ses "House Of The Devil" et "The Innkeepers". Mais Ti West n’est pas à la hauteur : son segment est totalement insignifiant et vide d’intérêt. Il est même moins intéressant que son modeste "Cabin Fever 2". Passons au 3ème sketch, "Tuesday The 17th" de Glenn McQuaid, qui rattrape le précédent : on y suit une bande de 4 jeunes se rendant en forêt (trop cliché ?), forêt cachant un sombre secret. Agréable surprise, ce segment aurait tout de même mérité d’être mieux développé. Le 4ème sketch, "The Sick Thing That Happened To Emily When She Was Younger" (un peu long comme titre n’est-il pas ?!) de Joe Swanberg, est lui aussi intéressant mais uniquement pour son scénario que pour ses effets spéciaux plus que modestes. Ce segment a le mérite de nous réveiller en nous proposant deux demoiselles nous montrant leur jolis seins (Helen Rogers qui joue le rôle d’Emily est d’ailleurs LA bonne surprise du casting : j’ai hâte de la revoir dans un vrai rôle). Enfin le film se termine sur son meilleur segment, le sketch qui vaut à lui seul la vision de V/H/S : "10/31/98" de Radio Silence (collectif de 4 réals) qui est tout bonnement excellent : on suit une bande de potes qui doivent rejoindre un des leurs et ils tombent dans une maison où a lieu un drôle de rituel. Véritable bombe du film, ce segment est fort par son ambiance, son revirement de situation bourrin et surtout des effets spéciaux à couper le souffle !! Cela mériterait une vraie transposition en long-métrage (en oubliant le côté found footage qui nuit à la lisibilité). Voilà, "V/H/S" est plutôt une déception et, si il est une bonne idée à la base, le concept du found footage en qualité VHS est un soufflet retombant très vite tant la qualité VHS fout en l’air la visibilité. Je suis d’ores et déjà assez refroidit à l’idée de voir "V/H/S 2"…Par contre j’ai vraiment hâte de revoir Helen Rogers ainsi que le collectif Radio Silence qui a un sacré potentiel !!
Excellent. On est a la fin de chaque cassette impatient de voir la suivante. Les petites mises en scènes sont toutes d'aspect différents ce qui donne un intérêt et empêche la lassitude.
Euh... comment vous dire que le found footage me brise les ovaires puissance 100?!? Blair Witch a commencé, c'était bien flippant, efficace à l'époque puisque nouveau mais là c'est devenu permanent. Et c'est insupportable. Clairement un mauvais point dés le départ. Quant aux différents visionnages...Je me suis ennuyée .J'aurais aimé voir en premier une vidéo plutôt légère dans l'horreur et que ça aille crescendo au fur et à mesure. Qu'à chaque fin de visionnage ça se répercute étrangement sur les cambrioleurs, un peu comme dans Ring: une fois que tu mates il t'arrive des malheurs...c'est pas demain la veille que j'aurais les jetons avec un nouveau film d'horreur!
concept de plus en plus courant faux reportage, plan fait caméra au poing...là c'est plusieurs histoire en fait avec un fil conducteur, ça fait un peu mal au crâne c'est enchainement de séquence volontairement saccadé mais bon...ça se laisse voir facilement on se prend au jeu...
"V/H/S" est un film d'horreur "Found Footage" (Filmé façon amateur) Américain à "Sketchs" à la manière d'un "Creepshow" assez original dans son concept. Quand un groupe de petits criminels est embauché pour récupérer une vidéo à l'intérieur d'une maison délabrée au milieu de nulle part, ils réalisent vite que le travail ne va pas être aussi facile qu'ils le pensaient. Dans le salon, un corps sans vie se tient devant une assemblage de plusieurs téléviseurs, entouré de piles de cassettes "VHS". Alors qu'ils les visionnent une à une pour chercher la bonne, les brigands vont assister à d'effrayants spectacles. Segmenté en 5 mini épisodes, le métrage a le mérite de s’attaquer à divers sous-genres de l’horreur, faisant même parfois preuve d’inventivité. Malgré une certaine inégalité (Notamment l'épisode 2, sans saveur) certain chapitres se révèlent plutôt sympathiques (Les épisodes 1, 3) ou encore assez originaux (Les épisodes 4 et 5). Pas de quoi crier au génie certes, mais "V/H/S" reste largement supérieur aux nombreux "Ersatz" ratés de "Paranormal Activity" ou encore "Le Projet Blair Witch" !
Bien que l’on puisse saluer l’audace de ces six réalisateurs, ayant plus ou moins réussi leur pari d’instaurer la peur sous différentes formes, le résultat global s’avère être beaucoup trop hétérogène, et malheureusement pas assez convaincant pour rendre cette oeuvre crédible. Les mauvais segments ont tendance à prendre le pas sur les bons, et quand bien même les bons fonctionnent correctement, ils restent facilement dispensables. V/H/S est donc un divertissement moyen qui saura ravir les spectateurs les moins difficiles. Quant aux autres, il vous faudra soit passer votre chemin, soit se tourner vers V/H/S 2, récemment sorti, pour espérer voir des rendus de meilleure qualité.
Allez voir le détail des différents segments sur notre blog ci-dessous !)