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    A very Englishman
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    67 critiques spectateurs

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    officiel76
    officiel76

    46 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2013
    Sans grand intérêt. je ne critiquerai pas le biopic, je ne connaissais pas ce monsieur, sa vie sulfureuse, son "oeuvre" et d'ailleurs, je m'en fiche un peu. mais le scénario est pauvre et surtout pas sauvé par une description de l'époque : le héros est coiffé de la même façon, habillé de la même façon, roule dans les mêmes voitures et vit dans le même décor de 1965 à 1992 ! qui peut croire que l'homme le plus riche d'angleterre ait conservé un décor typiquement sixties alors qu'il pouvait faire travailler tous les décorateurs de la terre ? une suite de saynètes qui ont beaucoup de mal à trouver un équilibre...le personnage n'est pas antipathique, loin de là...mais tout est traité d''une manière tellement superficielle qu'on ne voit pas trop l'intérêt de ce film...rien n'est construit, il n'y a pas de scénario, on ne voit pas l'évolution de sa carrière ni de sa fortune. Seule l'histoire entre le père et la fille présente un embryon de construction...
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 juin 2013
    Quand on voit le biopic d’un nabab de l’art érotique, il est impossible de ne pas faire un parallèle avec Larry Flynt, mais contrairement à Milos Forman, Michael Winterbottom, que l’on connait surtout pour ses œuvres très politiquement engagées (tel que le splendide road-movie In this world), n’a pas centré la biographie de son personnage sur son caractère provocateur et ses démêlées avec la justice, qui ne sont ici que brièvement survolés, mais sur ses relations les femmes. Tout le paradoxe de Paul Raymond vient justement de la différences entre les rapports qu’entretenait avec sa première femme, ses conquêtes ou même son égérie, qui sont peu agréables car à peine les considèrent-ils comme des objets sexuels, et celle qu'il avait avec sa bien-aimée fille Debbie, pour qui il était prêt à tout sacrifier,un caractère de père poule qui le mena justement à sa perte. Le charme "so british" que l’on n’attendait pas de la part de Steeve Coogan est la principale bonne surprise de ce film finalement très académique dans sa construction dramaturgique. Quelques inexactitudes historiques ont été accordés pour faire de cet homme d’affaires séducteur un personnage plus iconographique qu’il ne fut en réalité mais sa carrière atypique et sa personnalité excentrique méritaient pleinement d’être sujets à une telle reconstitution cinématographique.
    cylon86
    cylon86

    2 515 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juin 2013
    Suivant la vie de Paul Raymond, l'un des hommes qui fut parmi les plus riche d'Angleterre et connu pour ses revues coquines et son magazine "Men Only", "A very Englishman" se révèle être un biopic comme les autres, étriqué dans le parcours de son personnage, entre femmes à gogo et sa relation avec sa fille accro à la cocaïne. Le problème du film c'est qu'au-delà de sa fidèle reconstitution et de la performance remarquable de Steve Coogan (qui trouve sûrement là l'un de ses meilleurs rôles), c'est qu'il n'a rien d'original. La vie de Raymond est fascinante mais tombe rapidement dans le cliché et la mise en scène de Michael Winterbottom ne dépasse jamais son sujet et n'arrive pas à le transcender. Alors après la découverte des débuts du film, on commence par savoir où il va nous mener et on perd de l'intérêt. Le seul qui nous reste est bel et bien pour Coogan, qui offre à un personnage difficile à aborder tout son talent.
    tixou0
    tixou0

    700 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juin 2013
    Ce "biopic" du "porn tycoon" (clubs "de charme" à Soho et presse pour adultes) Paul Raymond est d'un bel académisme formel (par le prolifique et chevronné Michael Winterbottom), mais le matériau est beaucoup moins passionnant, à occupation comparable, que dans le cas de l'Américain Larry Flint (voir le film homonyme de Milos Forman, en 1996). Le titre original ("The Face of Love") renseigne d'emblée sur le seul ressort dramaturgique du film britannique : l'amour paternel majuscule du milliardaire pour sa fille "Debbie", prématurément disparue (frisant la complaisance et le glauque quand il l'initie à la cocaïne, et l'entretient dans ce vice) - c'est dire si le spectateur a souvent l'impression de faire du sur-place dans cette biographie d'un Rastignac pornocrate, né misérable et "Geoffrey Anthony Quinn" à Liverpool - son "alias" devait faire "français" quand il commença en 1958 sa fulgurante carrière de roi de l'érotisme (devenu aussi un considérable propriétaire immobilier, il laissa à sa mort en 2008 un patrimoine de 650 millions de livres sterling). L'attrait principal de ce "A very Englishman" vient de Steve Coogan, époustouflant dans le rôle-titre (selon distribution française). Beaucoup plus étincelant que le vrai Raymond, couvert de femmes et buvant force Champagne "maison" comme son double cinématographique, mais aussi bègue, et au discours beaucoup moins délié sur le fond que celui tenu par le brillantissime Mancunien Coogan (qui jouait son propre rôle dans l'hilarant "The Trip" de Winterbottom en 2010).
    sophie p.
    sophie p.

    2 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2013
    Un film très sympa et agréable a regarder.
    Les images sont attrayantes, beaucoup de rebondissement, des personnages attachant avec une personnalité du tonnerre, quelques brins d'humour, avec des touches dramatiques, bref un succulent cocktail.
    On pourrait critiquer l'esprit un peu bling bling du film et le côté trop mégalo du personnage principal, mais selon moi, c'est ce qui fait le charme du film et arrive à nous plonger dans l'univers. Il y a quelques longueurs, mais elles permettent de nous montrer l'homme sous ses différentes casquettes : mari, amant, homme d'affaire, artiste, et père.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 juin 2013
    Une plongée agréable dans le swinging London; Un film globalement réussi et jamais moralisateur malgré le sujet.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 juin 2013
    Tout cinéphile averti s'attendra à un Larry Flynt au rabais, version UK. Si Coogan n'a pas le charisme de Woody Harrelson, il a l'avantage ne pas se poser en héros auquel s'identifier. Dès le début, son égocentrisme un peu idiot met une barrière, d'où nous verrons passer une jolie galerie de personnages. Le professionnalisme anglais huile parfaitement les rouages du scénario, des décors cohérents jusqu'aux seconds rôles crédibles. Contrairement à Larry F. ce film ne nous laisse pas avec le fantasme d'un monde libéré sexuellement, pétri d'amour provocateur et d'humour tendre, en lutte contre tous les esprits étriqués formant le nouveau fascisme... Heureusement, car ça ne tient pas la route très longtemps, passé le charme de la propagande... Ici, une bande de malins se fait un fric fou, en étant les premiers à faire fructifier l'argent de l'érotisme porno médiatique naissant. Si cela n'avait pas été eux, cela aurait été d'autres, why not? Au milieu la fille de notre "héros"gentil foufou, pourrie gâtée mais sensible à fleur de peau, leur rappelle qu'ils ne sont que des profiteurs talentueux, et là où leur reste, par défaut et illusion, l'immense nostalgie d'une époque bénie, le film nous dévoile, subrepticement, par infusion, comme un bon thé anglais, une autre nostalgie, plus âpre, du temps qui passe, si cruellement que c'est sans regrets. Winterbottom, pas Kubrick, mais toujours un bon cinéaste, comme S. Frears. Ah ! Cette Angleterre que tous les L. Besson n'atteindront jamais, même en ouvrant des portes à Hollywood. Et Coogan qui nous offre une imitation jubilatoire de M. Brando dans Dernier tango à Paris; cette petite scène justifie à elle seule le déplacement. Ouais! A vous de jouer les gars !
    traversay1
    traversay1

    3 575 abonnés 4 862 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2013
    En 1992, Paul Raymond est déclaré l'homme le plus riche du Royaume-Uni. "Pas mal pour un type arrivé sans le sou de Liverpool", selon la formule que ce dandy sulfureux aimait à répéter. Sauf que, un mois plus tôt, sa fille chérie, héritière de l'empire qu'il a bâti depuis la fin des années 50, est morte d'une overdose. A very Englishman est un biopic qui néglige sérieusement l'aspect psychologique du roi de l'érotisme British au profit de l'ambiance du Swinging London, sans d'ailleurs réussir à en capter la véritable essence. Vie publique, tout dans la provocation, vie privée, très libérée et en fin de compte tristounette, Michael Winterbottom ne fait que survoler son sujet avec cette nonchalance qu'on lui connait bien. Evidemment, il y a Steve Coogan, acteur émérite, aussi à l'aise dans l'extravagance que subtil dans le pathé il finit par phagocyter le film de par son talent éclaboussant. On ressort frustré de ce portrait trop lacunaire de ce personnage pour lequel on n'éprouve guère d'empathie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 juin 2013
    On en prend plein les yeux et les acteurs sont bons ce qui sauve le film de son histoire pas vraiment passionante.
    Flore A.
    Flore A.

    34 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 juin 2013
    Steve Coogan donne un charme certain à ce personnage complexe et sulfureux, et porte réellement le film sur ses épaules. Malgré tout, on est face à un film gentillet qui manque de relief et de profondeur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 juin 2013
    Biopic, un genre que je chéris tant. Connaître sur grand écran la vie de celles ou ceux qui se firent connaître en dégainant un talent ou un charisme particulier, tremplin vers une postérité quelquefois méritée.
    Celui-ci est des plus colorés. L'Angleterre des années soixante voit évoluer le truculent Paul Raymond, pape du magazine pour adultes, pour devenir à la fin du vingtième siècle, l'homme le plus riche de la Perfide Albion.
    Le surprenant Steeve Cogan, campant le rôle du magnat du charme, n'est pas sans rappeler quelquefois Edouard Baer et joue avec élégance les meneurs de revue que rien n'effraye. Attachant, séducteur, forcément mégalo, il n'a d'ailleurs de cesse d'expliquer à ses visiteurs que la décoration sucrée de son appartement a été imaginée par Ringo Starr, himself. La répartie du personnage vaut le détour, celui-ci se justifiant souvent d'être dans un créneau professionnel n'ayant rien d'immoral avec un flegme évidemment tout britannique.
    Délaissant soudainement son épouse et ses enfants pour une danseuse qu'il exhibera dans le tout Londres, il fait croître doucement mais sûrement son empire, en incluant sa fille dans son évolution licencieuse, pour s'arroger le titre de roi de Soho.
    La musique, pop au possible, Le Londres de nuit, les gonzesses ondulant sur des rythmes que Paul Raymond choisit, contribuent à rendre ce biopic aux allures de comédie, charmant et sensible à la fois.
    Car malgré un compte en banque lourdement réapprovisionné, les vies sentimentales et familiales de ce businessman hédoniste ne sont pas de tout repos; certains excès terniront un peu l'éclat de cette vie bling bling et sa Rolls bleue, estampillée PR II, ne l'emmenera pas systématiquement vers les joies que l'existence ouatée qu'il a bâtie pourrait lui offrir.
    Comment avec un nom aussi ubuesque, Michael cul d'hiver, un réalisateur peut-il faire un si bon film ?
    laurrent-m
    laurrent-m

    20 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 juin 2013
    Film tiré en longueur. Une histoire peu intéressante dans la manière dont elle est racontée. La scène du lit est repassée a outrance.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 20 juin 2013
    Un biopic n'a de sens que lorsqu'il nous montre la vie d'un homme digne d’intérêt. Ici, on est loin du compte, c'est un homme médiocre et avide qui n'a aucun message ni aucune compassion. Fera -t-on bientôt des biopics de vie de banquiers en goguette? Un film long et profondément ennuyeux, avec un style cinématographique tellement vieillot et poussiéreux qu'on s'endormirait presque.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 juin 2013
    J'ai adoré a very englishman. Je suis fan des films de Michael Winterbottom.
    Les images sont toujours d'un esthétisme rare.
    Le charme so British désinvolte et superficiel!
    Steve Coogan interprète parfaitement le rôle du roi de Soho "Paul Raymond".
    L’homme le plus riche du Royaume et en même temps homme au destin si fragile.
    Witerbottom nous livre un film gracieux qui nous transporte dans un univers d'érotisme haut de gamme.
    Une comédie UK très sympa, légère et sans prétention !
    Je vous conseille vivement d'aller voir le film !
    kristin75
    kristin75

    11 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2013
    Un très bon divertissement. Le film parfait pour se détendre après une journée de boulot.
    Steve Coogan en fait beaucoup, mais ça colle parfaitement au personnage.
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