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Sosof l
19 abonnés
21 critiques
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0,5
Publiée le 2 juin 2014
Mais comment peut on raté un film à ce point! Rien le sauve, ni le scénario,ni le rythme, ni les paillettes, pas même "les belles filles" si bien castée. L'univers était pourtant alléchant, mais le réalisateur n'en fait rien. On a du mal à croire qu'il puisse avoir autant de films au compteur! Il se regarde filmer et il aime tellement ce qu'il fait qu'il nous balance les même images en boucle au cas où nous n'aurions pas compris. Il casse la narration volontairement et nous noie complètement en rendant la lecture impossible. Les effets de "cadre dans le cadre" se répètent à l'infini et n'apportent rien ni à la photo ni à la symbolique. On nous raconte l'histoire d'un pourri qui gâte sa fille jusqu’à se qu'elle en meurt. Si au moins les scènes de cabarets avaient permis d'en faire quelque chose de beau... mais rien à faire c'est d'une lourdeur assommante.
Biopic hélas assez monotone, sur la vie d'un personnage ayant lancé les premiers magazines et shows erotiques en Angleterre. Casting de choix et une belle prestation très sensuelle de Tamsin Egerton. Hélas, on s'ennuie un peu par la linéarité du traitement narratif. Les rapports entre le père et la fille auraient sans doute mérité d'être encore plus creusés et développés pour donner plus d'émotions aux personnages. Intéressant cependant sur le plan quasi historique du destin de ce personnage qu'était Raymond et qui devint l'homme le plus riche d'Angleterre.
Un Steve Coogan vieilli, moumouté et moustachu, aux rides artificielles, s’avance dans la pénombre et s’assoit à son bureau. Soudain, un téléviseur apparaît devant lui. Ainsi, il va pouvoir regarder le film de sa vie. Au sens propre. Telle est l’introduction de "A Very Englishman", pénible et poussif biopic qui tente, pendant 1h41, d’intérésser le... L'article complet sur Plog Magazine, les Critiques des Ours (lien ci-dessous)!
Le sexe et l'érotisme a toujours fais vendre et ce n'est pas Paul Raymond qui dira le contraire. Touche à tout et homme le plus riche du Royaume-Uni en 1992, "A very Englishman" est un biopic sur une personnalité peu connu du grand public, surtout en France. On découvre un homme d'affaire qui a fais du vice sexuel un business lucratif. Toujours à la limite du porno et jouant avec les limites, sa vie personnelle est plus trash que ces night-clubs et son magazine "Men Only". Une œuvre mineure et peu intéressante, Michael Winterbottom réalise un film à l’image de son inspirateur, très, parfois trop, nudisme et volage à tous les niveaux. Les moments qui semblent être crucial dans la vie de Paul Raymond sont survolés pour s'attardés sur les fêtes et les shooting photos. Le topless omniprésent du long métrage n'est pas choquant car il représente le monde de la nuit londonienne mais le film joue se repose sur cette aspect et oublie de raconter une histoire d'un homme qui a bouleversé les codes de la pudeur dans les années 60. A déconseiller !!
steve Coogan est impressionnant dans ce biopic de cet homme d'affaire dans le milieu érotique. L'acteur est émouvant et dur à la fois . Quand au film : rempli de scènes "dénudées",de personnages complexes et controversés, il peut se classer sans honte dans les biopic réussis. Toutefois la mise en scène est un peu sobre pour l'ambiance de l'époque décrite ainsi que pour les drames exposés. Plus d'audace dans la musique et le montage aurait été appréciable.Cependant A very englishman, reste un bon film sur un homme, un père, et un homme d'affaires controversé.
Un biopic doit illustrer un personnage intéressant ou à défaut le rendre intéressant. Il y avait donc une bonne façon d'aborder le sujet, celle de privilégier la vision hédoniste et de montrer comment Paul Raymond a bâti son empire en se moquant du puritanisme ambiant et cela aurait rapproché le film de l'excellent "Larry Flynt "de Milos Forman. Force est de constater que le film ne persiste pas dans cette direction malgré la brillante performance de Steve Cogan et la présence de fort émoustillantes images (dont il serait hypocrite de se plaindre). Hélas, il vient mélanger tout ça avec les mésaventures (dont une dramatique) de sa vie personnelle semblant conclure en filigrane par une morale aussi naïve que sinistre genre : l'argent ne fait pas le bonheur, le sexe non plus. C'est-ce qui s'appelle passer à côté de son sujet.
Un biopic qui m a bien plu car il essaie de comprendre le personnage au lieu de procéder à une succession d événements. On a donc un film sex drogue et rock n roll dans une ambiance pop, ou la liberté de penser et d agir d un libertin se confond avec son sens aigu des affaires. L acteur Steve Coogan est vraiment brillant dans son rôle et ce à toute les étapes de la vie du personnage. Un film Ni glorifiant ni moralisateur sur un personnage qui m était totalement inconnu.
Un biopic n'a de sens que lorsqu'il nous montre la vie d'un homme digne d’intérêt. Ici, on est loin du compte, c'est un homme médiocre et avide qui n'a aucun message ni aucune compassion. Fera -t-on bientôt des biopics de vie de banquiers en goguette? Un film long et profondément ennuyeux, avec un style cinématographique tellement vieillot et poussiéreux qu'on s'endormirait presque.
guère passionnant même si le sujet laisser à penser le contraire. une interdiction au moins de 16 ans ridicule car c'est vraiment pas torride. l'histoire d'un gars qui s'est bien enrichi avec le corps des autres.
Difficile de trouver beaucoup d'intérêt dans ce film qui raconte la réussite au Royaume Uni d'un magnat de la presse "cul" et d'un empire tournant autour du même thème. Ce type, Paul Raymond, finira (paraît-il) par devenir l'homme le plus riche de son pays. Le film est lent, peu passionnant et manque de profondeur quant à l'étude des personnages. Bref c'est très quelconque. La présence un peu lourdingue de filles très dévêtues ne vient même pas réveiller le mateur qui sommeille en chacun de nous. C'est dire ! Dans le même genre, "About Cherry" était cent fois mieux... Bref encore, allez voir autre chose !
Voilà le biopic de trop, le racolage sans intérêt. Un homme, Paul Reymond, que l'on peut qualifier d"Hugh Hefner", (le fondateur de Playboy), anglais, réussit merveilleusement bien dans le business du sexe dans les années 50 à 80 à Londres. En dehors du constat qu'il peut coucher avec plusieurs femmes à la fois, dans un penthouse décoré par Ringo Star, avec toit ouvrant, l'intrigue entière tourne autour de l'amour qu'il porte à sa fille et les quelques chiffonnements conjugaux qui ont parsemés sa vie. Aucune profondeur psychologique, aucun début d'explication sur son succès et son parcours. Un film familialement correct qui ne devait certainement pas froisser les descendants du héros... Ont-ils participer au financement ?