Mon compte
    Sunset Song
    Note moyenne
    3,1
    126 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Sunset Song ?

    27 critiques spectateurs

    5
    2 critiques
    4
    11 critiques
    3
    4 critiques
    2
    3 critiques
    1
    5 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Padami N.
    Padami N.

    61 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 avril 2016
    le recit du début ressemble a du Hardy ,la présence de P. Mullan est reussie, les paysages magnifiques mais il manque du rythme ou de profondeur
    .la voix off littéraire est plus belle que l image à l écran , dommage .
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2016
    Le film comporte quelques longueurs et il manque parfois un souffle épique à la David Lean, mais qu’importe, la subtilité de l’observation des sentiments par Terence Davies a toujours quelque chose de bouleversant.

    LA SUITE :
    danna2509
    danna2509

    24 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 avril 2016
    Je suis allé voir ce film car j'ai adoré la bande annonce qui promettait un joli voyage. Et j'ai eu ce que j'attendais, ou presque. L'histoire retrace quelques années de la vie d'une femme avant, pendant et après la seconde guerre mondiale. Elle est écossaise, intelligente et rêve d'être institutrice. Mais peu à peu elle voit le monde s'effondrer autour d'elle.
    Une des premières choses qui apparaît lorsque le film commence, c'est la voix off qui s'installe et nous fait partager les pensées de Chris, l'héroïne interprétée par Agyness Deyn. Personnellement, je suis fan des voix off lorsqu'elles sont bien utilisées et ici c'est une réussite. La voix de l'actrice est chaude et pleine d'émotions contenues comme si elle avait peur de se laisser aller même dans ses pensées. C'est assez troublant et très maîtrisé. On constate aussi que Terence Davis a composé une mise en scène très élégante même si parfois elle s'avère un peu artificielle comme lors du sermon du prêtre encourageant les hommes à s'engager dans la bataille. Ce n'est pas Terence Malick mais il sait filmer les champs de blé qui parsèment le film, ce qui m'a invité très souvent à la rêverie. Face à cette rêverie qui parcourt toute l'oeuvre, il y a la retenue des personnages, très belle. Ainsi, lorsqu'ils se laissent un peu aller, je pense à certaines séquences où les individus se mettent à chanter par exemple, c'est chaque fois comme si le temps s'arrêtait rendant, de ce fait, ces moments encore plus précieux.
    Ce qui m'a surpris dans mes attentes, c'est qu'en voyant la bande annonce, je pensais voir un film sur les aventures d'un jeune couple embarqué dans la seconde guerre mondiale. Or, cette partie n'intervient qu'au dernier tiers du film.
    C'était finalement pas pour me déplaire puisque l'actrice principale est absolument parfaite. J'ai beaucoup aimé voir cette histoire de son point de vue, suivre sa vie, la voir ne pas réaliser ses rêves sans pleurer simplement parce que la vie lui a donné, le temps d'un moment, quelque chose d'au moins aussi beau. Le personnage est très bien écrit et très bien servi même si certains internautes ont noté quelques incohérences à juste titre.
    J'ai aussi beaucoup apprécié de voir un film qui montrait la guerre du point de vue de ceux qui ne la font pas et qui n'ont même pas l'occasion de la voir. Il n'y a aucun plan de champ de batailles excepté à la toute fin du film. Pour finir, s'il est vrai que certaines séquences, comme je l'ai écrit ont quelque chose d'artificielle, le projet dans son ensemble est de toute beauté. Les acteurs sont très convaincants même si par moment Terence Davis les dirige de façon déconcertante. En dehors de Agyness Deyn, on retrouve Peter Mullan, caché sous une barbe qui joue le rôle d'un père de famille brutal et Kevin Guthrie, qui tout en fragilité joue un époux lumineux que la guerre changera en brute à l'image du personnage de Peter Mullan, enfermant ainsi l'héroïne dans une forme de fatalité.
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 avril 2016
    J’avais beaucoup aimé The Deep Blue Sea du même Terence Davies. Là il s’est attaqué au roman de Lewis Grassic Gibbon, considéré comme l’un des romans écossais les plus ardus à lire, et il aura mis quinze ans avant que le projet n’aboutisse… Sunset Song est un long film (peut être un peu trop) d’un classicisme flamboyant, d’une beauté saisissante, promenade lyrique dans la lande écossaise, ces champs de blé qui ondulent sous le vent, ces scènes de la vie rurale fin du 19iem, tout début 20iem, ces intérieurs campagnards tout juste éclairés à la bougie, ces scènes d’enterrement avec ces paysans figés dans leur costumes noirs…bref un enchantement…que nous devons au directeur de la photographie, Mickael Mcdonough…mention aussi Andy Harris et Sylvia Casel pour les décors….et que dire de la bande son qui révèle plusieurs pépites, ces ballades écossaises qui s’invitent dans les grands moments de la vie…et l’histoire ?? C’est une chronique des jeunes années de Chris, interprétée par Agynesse Deyn, une révélation, lumineuse actrice toute en finesse et en rigueur…elle vit avec sa mère et ses frères, face à un père tyrannique, violent et d’un puritanisme rigoureux…la mère lasse d’être forcée par un mari brutal, se suicidera avec les jumeaux récemment nés…l’aîné finira par quitter cet ogre de père, les deux autres garçons seront confiés à la famille…Chris, élève brillante, fait le deuil de ses rêves d’avenir et reste à la ferme avec son père, incarné par Peter Mullan, partagé entre sa violence et son amour total pour sa femme et sa fille…lui aussi finira par mourir d’une attaque cérébrale, et Chris pourra enfin vivre sa vie….avant que la guerre, autre forme de monstruosité, ne vienne bouleverser cette société immuable…C’est un beau mélodrame, parfois un peu compassé, dont je retiens d’abord la photographie et la bande son….
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 avril 2016
    Pourquoi ce film? je ne comprend ni sa visée ni son montage, jeu d'acteur atroce, lumiere mal maitrisée, longueur et aucun sénario. es ce une critique ou un documentaire?
    2h10 larmoyantes d'une écosse rurale rabaissée. Je regrette chaque minute passée devant ce film approximatif.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2016
    Comme tous les films de Terence Davies, "Sunset Song" est une œuvre délibérément classique. L'histoire est simple, celle d'une famille de paysans en Ecosse, peu avant que n'éclate la première guerre mondiale, vue à travers les yeux de la seule fille de la maison, Chris. Le film démarre sur un jeu de lumière dans un champ de blés épais, pour s'arrêter vers le corps de l'héroïne, allongée, et surplombant la vallée. La patte du film est lancée à travers ce seul mouvement de caméra. Car tout le récit est ponctué d'arrêts sur image, sublimes, montrant la campagne, toujours très belle, comme des irruptions à travers l'âme même de ses personnages. Finalement, plus qu'un long-métrage, "Sunset Song" est un roman récité à la première personne. Le personnage de Chris, à la fois romantique, sévère et lettré, fait écho aux héroïnes des romans anglais ou français de l'époque romantique. Le réalisateur se moque de l'actualité contemporaine. Il regarde le monde amoureux par le biais de cette jeune-femme, qui est tout autant intemporelle que fermement ancrée dans la réalité de son temps. On pourrait craindre une forme de mièvrerie. Au contraire, le réalisateur imprime à son film, par petites touches, presque comme une peinture impressionniste, une gravité qui s'accélère jusque l'issue du film. Car la guerre habite le cœur de cette jeune-femme, qu'il s'agisse de son père qui maltraite les enfants, particulièrement le fils aîné, touchant et pleurnicheur, ou de la grande guerre elle-même qui arrache les hommes de leurs foyers. "Sunset Song" est une œuvre étonnante, profondément anachronique, mais qui donne l'illusion, une fois le générique de fin achevé, d'avoir dévoré des centaines de pages de littérature.
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 avril 2016
    Cela ressemble à s'y méprendre à un récit de Thomas Hardy (romancier dont les œuvres ont déjà été plusieurs fois adaptées au cinéma), mais non, c'est un roman de l'écossais Lewis Grassic Gibbon que le cinéaste britannique Terence Davies a porté à l'écran. Si l'erreur est permise cependant, c'est bien parce qu'on a affaire, dans ce récit comme dans tous ceux de l'auteur de « Tess d'Urberville », à une jeune femme dont tous les désirs se heurtent tôt ou tard au poids de la famille, aux conventions de la société ou aux faits qui les réduisent à néant. Si bonheur il y a, ce ne peut être que de façon passagère, car il se trouve toujours un obstacle, un personnage, un événement, pour le chasser comme feuille emportée par le vent et le remplacer aussitôt par son contraire.
    Pour Chris (Agyness Deyn), c'est la figure imposante du père qui contrecarre d'emblée toute velléité d'émancipation. La jeune fille, qui se passionne pour les études, se verrait bien échapper aux pesanteurs de la ferme familale afin d'entreprendre une carrière d'institutrice. Mais il n'est pas simple de prendre son envol dans l'Ecosse pétrie de traditions séculaires et de mœurs archaïques du début du XXème siècle et c'est encore plus difficile quand règne en maître chez soi un père violent et tyrannique. Certes, même dans ce coin reculé de l'Ecosse, l'on voit poindre timidement des idées nouvelles, venues du socialisme par exemple, mais on ne se défait pas si facilement de l'autorité patriarcale. Comme toujours chez le cinéaste Terence Davies, le père est un homme terrifiant qui fait régner sa loi, restant impertubable et sûr de son bon droit même lorsque ses actes provoquent des drames. Chris n'en est que le témoin affligé et impuissant et elle, dont le cœur déborde de compassion pour ceux qui sont victimes, reste de marbre quand c'est au tour du maître de quitter ce monde.
    Car le temps passe, lui aussi, inexorablement, emportant tout avec lui, la figure du père, mais aussi les rêves d'une autre vie (une vie d'institutrice par exemple). Et c'est sur sa terre proche de la petite ville de Blawearie, c'est dans la ferme dont elle a hérité que Chris devra mener sa vie. Quand, allant jusqu'à braver les interdits liés à la période de deuil, elle épouse l'homme qu'elle aime, lorsqu'ont lieu les noces, lorsqu'enfin elle est aimée, on peut imaginer que le bonheur est à portée de vie. Sans tarder, c'est vrai, viennent les souffrances d'un accouchement, mais c'est pour laisser place à la joie d'être mère. La vie de fermière ne manque pas de rudesse, mais on peut la mener avec un cœur apaisé.
    C'est sans compter cependant avec les événements qui bouleversent le monde, engendrant en l'année 1914 ce monstre que l'on nommera Grande Guerre. Même au fin fond de l'Ecosse, se pose rapidement pour les hommes en âge de combattre la question de s'enrôler ou non. Refuser de partir à la guerre, c'est être condamné à passer le reste de sa vie en portant le fardeau de la honte. Pas de pitié pour les lâches ! Le pasteur de Blawearie n'est pas en reste pour le rappeler, y compris dans ses sermons. En voyant cette scène, en l'écoutant, je ne pouvais pas ne pas songer au sermon d'un autre pasteur, autrichien celui-là, retranscrit dans « Les Derniers Jours de l'Humanité », la pièce que l'écrivain viennois Karl Kraus écrivit pour tendre comme un miroir à ses contemporains. Pasteur écossais, pasteur autrichien : les sermons des deux prédicateurs sont quasi interchangeables. « Sus à l'ennemi ! Mort au Kaiser qui n'est autre que l'Antéchrist ! », éructe l'écossais. «En temps de guerre, tuer n'est pas un péché, mais un service divin », déclare l'autrichien.
    Ce que les pasteurs ne disent pas, ce qu'ils omettent soigneusement de révéler, c'est ce que la guerre fait naître dans le cœur des hommes qui la font. Que peut donc engendrer la guerre monstrueuse sinon des cœurs broyés ? A quoi ressemble l'homme doux et bon, le père aimant, quand il revient en permission à son foyer ? Quel homme retrouve l'épouse ? Son mari, l'homme qu'elle aime, ou une sorte d'étranger qui n'a d'autre souhait que de la violer ? Et que devient-il, cet homme-là, quand il lui faut retourner au front, renouer avec l'horreur de la guerre ? Le pasteur, qui croyait de son devoir d'envoyer les hommes au casse-pipe, a-t-il eu un mot, une pensée pour Chris et pour toutes les autres femmes et épouses dont les vies seraient anéanties, les visages inondés de larmes et les cœurs hoquetant de souffrance ?
    Le cinéaste Terence Davies, cinéaste discret, plutôt rare, sensible et attachant, dont chaque film est marqué du sceau de l'excellence, signe là un grand et bouleversant mélodrame. Il a parfaitement su recréer à l'écran la vie rude des fermiers écossais du début du XXème siécle, l'attachement à la terre, la peine des hommes qui la travaille, les signes du temps qui passe, l'enchaînement des saisons, etc. Magnifié par une mise en scène intelligente et délicate sachant signifier les fluctuations des cœurs par de simples mouvements de caméra, le film ne laisse jamais indifférent. Le cinéaste sait parfaitement indiquer aussi bien l'irruption de la nuit dans un cœur que les lueurs de l'espoir qui se révèlent à nouveau. Il sait aussi ce qu'il ce qu'on peut montrer à l'écran et ce qu'il est préférable de laisser hors champ. Il donne habilement la place qu'il faut aux chansons locales ou à la musique ; et c'est fort justement un air de cornemuse qui rend hommage aux morts tombés à la guerre. Mais surtout, surtout, en racontant la rude destinée de Chris, son héroïne, c'est une ode à la femme, à son courage, à sa bravoure, à sa ténacité, à sa beauté, que propose le cinéaste et on l'en remercie. 9/10
    mem94mem
    mem94mem

    116 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2016
    Le film n'est pas un melo, ou si peu, mais un vrai drame. C'est noir, très noir. Terence Davies a des partis pris considérables, qui sortent le film du tout venant et qui lui donnent un vrai caractère. Ainsi, que deviennent les frères de notre héroïne Chris, aussi bien les jeunes, que le plus agé, nous ne le saurons jamais. Terence Davies ne s'intéresse qu'à Chris et multiplie les scènes dans les deux fermes. J'ai trouvé le portrait de femme magnifique et l'interprétation de son mari, par Kevin Guthrie assez bluffante. Il a d'ailleurs un jeu très proche de celui de Guillaume Gouix et il lui ressemble. Si on rajoute que l'image est magnifique, les champs de blé en été superbement filmés et que la musique est très discrète, on tient là un film d'auteur.
    gérard B.
    gérard B.

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 mars 2016
    De beaux paysages, une actrice qui a un charme certain mais on s'ennuie ferme. Cette description de la paysannerie pauvre écossaise manque de vraisemblance : scène de récolte étonnante, paysanne aux ongles manucurés, maison meublée de manière bourgeoise, ... On passe d'un événement à un autre sans transition et le spectateur doit faire preuve de beaucoup d'imagination pour reconstituer les passages du film figurant sur des bobines sans doute égarées au moment du montage. On a souvent l'impression que certaines scènes sont jouées dans le cadre d'une reconstitution soigneuse réalisée par le musée ethnographique local.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 mars 2016
    Un supplice... Aucune émotion. Je n'arrive pas à comprendre les critiques positives sur ce film. J'essaye...

    Bon public je suis, j'ai donné une chance à ce film pendant les premières 70 minutes avec pour espoir d'être témoin d'un retournement dans la vie des personnages. J'accepte et comprends pourquoi les personnages n'évoluent pas dans le sens espéré mais la construction du film, n'aide pas à accepter cette évolution (scène inutile, beaucoup trop longue, un jeu d'acteur médiocre sur la fin à la limite du ridicule et du théâtrale, etc.).

    Petite annonce au passage pour ce film : " Bon scénario à la recherche d'un bon chef d'orchestre".

    Agyness Deyn joue bien mais ça ne suffit pas pour sauver ce film. Kevin Guthrie, spoiler: la scène de la permission,
    je n'ai pas de mot pour d'écrire à quel point j'ai trouvé sa prestation si peu crédible.

    Pour conclusion, ma grande déception c'est qu'il n'y ait eu aucun fou rire (de désespoir) dans la salle...
    En sortant, j'ai compris le manque d'expression sur le visage et de réactions des spectateurs de la séance précédente.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 31 mars 2016
    On qs ennuie à mourir dans ce film qui ne laisse pas de place à l imagination et à la réflexion.... Certes c est beau mais du coup ça fait tout faux..
    Le film d'Ariane
    Le film d'Ariane

    77 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2016
    Vu cette saga familiale dans l’Écosse du début du XXe siècle, par le britannique Terence Davies dont j’avais adoré le film précédent « The Deep blue sea », une histoire de passion, racée et bouleversante. Le réalisateur semble aimer les portraits de femmes puisqu’il dresse encore ici celui d’une jeune paysanne au caractère bien trempé. Chris souhaite devenir institutrice mais les décès tragiques de sa mère puis, quelque temps plus tard, de son père tyrannique, la contraignent à reprendre la ferme dont elle vient d’hériter. Elle rencontre un jeune homme dont elle tombe éperdument amoureuse et accouche rapidement de leur premier enfant. Mais la 1e Guerre mondiale éclate et son mari part au combat… Contrairement à ce que le pitch pourrait laisser croire, on est très loin des feuilletons estivaux de TF1. Ce film très particulier et au charme suranné prend son temps pour raconter une histoire assez austère au son des cornemuses et des chants traditionnels. Exceptés quelques plans sur les champs de blé dorés d’avant moisson, l’image est très sombre, comme les drames qui rythment le film et la catastrophe historique qui s’annonce. Intérieurs à la bougie, ciels bas et lourds, nuits de tempête et pluies drues donnent le ton. C’est à la fois magnifique et angoissant. Agyness Deyn (ex top model dont le visage vous sera hyper familier) incarne l’héroïne avec beaucoup de conviction tout comme Peter Mullan (« The Magdelene sisters »), terrifiant en brute épaisse. Ce film radical, âpre et sévère n’obéit à aucune une mode et c’est principalement pour cela qu’il vaut le déplacement.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top