Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
La réussite du parcours est due pour beaucoup à la hauteur des enjeux et des comportements quand l'action est circonscrite à une cour, quelques bureaux, un couloir, une fenêtre aux barreaux muets.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Voici un documentaire qui mérite le détour. (...) Un film qui invite à se battre et à espérer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Filmée au jour le jour dans la chaleur de l'été 2009, cette occupation de leur entreprise par un groupe de travailleurs africains sans-papiers, aux droits bafoués, est révélatrice de l'hypocrisie généralisée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Luc Decaster suit la lutte de sans papiers africains contre de la société de nettoyage qui les emploie. Sans sensationnalisme, le cinéaste montre patiemment la complexité du conflit et de ses conséquences.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
L'ensemble manque de recul mais pas de précaution, privilégiant une approche humaniste plutôt qu'idéologique, sans jamais confondre empathie et apitoiement.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Entre les débats sur une nécessaire solidarité, les tractations et l'épuisante occupation des bureaux, les images produisent un véritable effet d'immersion. Elles nous racontent de l'intérieur une véritable et vivifiante reconquête de la dignité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Dominique Martinez
Bien sûr, certaines séquences percutent par leur charge émotive, mais sous prétexte de faire du cinéma documentaire libre, la caméra tourne, sans point de vue, des séquences interminables qui laissent le spectateur en marge.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Bernard Achour
Le documentaire fait de sa compassion l'instrument d'une prise d'otages politico-émotionnelle difficilement acceptable, et son refus de tailler dans la masse de ses images débouche sur de terribles temps morts où l'ennui le dispute à la confusion.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
La réussite du parcours est due pour beaucoup à la hauteur des enjeux et des comportements quand l'action est circonscrite à une cour, quelques bureaux, un couloir, une fenêtre aux barreaux muets.
Le Monde
Voici un documentaire qui mérite le détour. (...) Un film qui invite à se battre et à espérer.
Les Fiches du Cinéma
Filmée au jour le jour dans la chaleur de l'été 2009, cette occupation de leur entreprise par un groupe de travailleurs africains sans-papiers, aux droits bafoués, est révélatrice de l'hypocrisie généralisée.
Critikat.com
Luc Decaster suit la lutte de sans papiers africains contre de la société de nettoyage qui les emploie. Sans sensationnalisme, le cinéaste montre patiemment la complexité du conflit et de ses conséquences.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
L'ensemble manque de recul mais pas de précaution, privilégiant une approche humaniste plutôt qu'idéologique, sans jamais confondre empathie et apitoiement.
Télérama
Entre les débats sur une nécessaire solidarité, les tractations et l'épuisante occupation des bureaux, les images produisent un véritable effet d'immersion. Elles nous racontent de l'intérieur une véritable et vivifiante reconquête de la dignité.
Positif
Bien sûr, certaines séquences percutent par leur charge émotive, mais sous prétexte de faire du cinéma documentaire libre, la caméra tourne, sans point de vue, des séquences interminables qui laissent le spectateur en marge.
Première
Le documentaire fait de sa compassion l'instrument d'une prise d'otages politico-émotionnelle difficilement acceptable, et son refus de tailler dans la masse de ses images débouche sur de terribles temps morts où l'ennui le dispute à la confusion.