Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Forest Whitaker livre une performance brillante en Desmond Tutu, archevêque et prix Nobel de la paix, alors confronté à un meurtrier raciste dans le cadre d’une commission de réconciliation nationale.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Charlotte Marsal
"Forgiven" invite donc les spectateurs à s'interroger en ce début d'année 2019 sur la notion de pardon, ainsi que sur la tolérance ou le racisme qui sévit toujours dans ce pays et dans de nombreuses régions du monde.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Femme Actuelle
par La Rédaction
Malgré quelques scènes redondantes, difficile de ne pas être profondément remué par cette histoire tirée de faits réels.
L'Express
par Christophe Carrière
Mais les comédiens sont excellents. Leurs deux face-à-face, d'une dizaine de minutes chacun, valent à eux seuls le déplacement.
Le Figaro
par La Rédaction
(...) Forest Whitaker interprète de nouveau un personnage réel (...). Un rôle particulièrement significatif pour la star hollywoodienne, parce qu'il rejoint aussi son engagement personnel de fondateur de l'ONG Whitaker Peace and Developement Initiative (WPDI).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Portées par le talent de Forest Whitaker et d’Eric Bana, les scènes d’affrontement verbal et psychologique sont intenses et réussies. Dommage qu’elles soient noyées dans des séquences plus convenues et démonstratives.
Le Parisien
par La Rédaction
La confrontation entre les deux personnages - magistralement incarnés par Forest Whitaker, grimé pour le rôle, et Eric Bana - constitue la partie la plus fascinante de ce drame qui s’égare parfois dans des séquences inutiles, notamment dans la première partie. La suite est plus enthousiasmante, jusqu’à une séquence finale très émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Fiction s’inspirant de la vie de Desmond Tutu, ce nouveau film de Roland Joffé revient sur la difficile reconstruction de l’Afrique du Sud, déchirée par des années d’apartheid. Maladroit, en dépit de quelques duels verbaux de qualité entre Forest Whitaker et Eric Bana.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
On n’en retiendra donc au final uniquement les deux scènes de confrontation par le dialogue, interprétées avec une réelle intensité émotionnelle (...). La fadeur dont fait preuve le réalisateur malgré son sujet potentiellement explosif peut donc nous permettre d’affirmer qu’il a échoué son come back dans le genre de la fresque historique, qui avait pourtant autrefois fait sa gloire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Portrait intransigeant mais édifiant et un peu surjoué.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Tout est vrai dans ce film de Roland Joffé, tout entier animé de bons sentiments, classique sans éclat ni grands ressorts, là où il aurait fallu du souffle, du suspense et de la conviction pour nous emporter.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
L'Obs
par François Forestier
Tiré d'une pièce de Michael Ashton, le film de Roland Joffé ("Mission") est démonstratif, bavard, trop long, mais du moins nous fait-il réaliser la haine absolue que l'apartheid a voulu légitimer et donne-t-il à Forest Whitaker, dans le rôle de Tutu, l'occasion de déployer son talent. Voilà pourquoi tout n'est pas à jeter dans ce film vraiment raté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Camille Nevers
Tout s’égalise dans l’académisme pour rendre l’exceptionnel le plus conventionnel possible, parce qu’il faut que chaque choix de mise en scène soit à gros traits et sans amplitude, seulement attaché à faire passer le message œcuménique que «le Bien, c’est mieux».
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un scénario binaire, une mise en scène et des acteurs ronflants.
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
[...] "Forgiven" ne parvient jamais à se libérer de ses origines théâtrales, et hache le face-à-face de champs contre-champs mécaniques et sans inspiration, manifestes d'une certaine médiocrité satisfaite de ses excellentes intentions.
Première
par Thomas Baurez
On veut d’abord y croire (OK, le cinéma c’est l’artifice !) et puis, non, le scénario binaire et la mise en scène ronflante disqualifient toutes les bonnes intentions. Dès lors, la triste figure de Whitaker devient un masque de cire dépourvu d’expressivité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
En dépit du talent des deux acteurs, la confrontation ne réserve guère de surprises ou d’échappées, comme prisonnière, elle aussi, de ses origines dramatiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Forest Whitaker livre une performance brillante en Desmond Tutu, archevêque et prix Nobel de la paix, alors confronté à un meurtrier raciste dans le cadre d’une commission de réconciliation nationale.
CNews
"Forgiven" invite donc les spectateurs à s'interroger en ce début d'année 2019 sur la notion de pardon, ainsi que sur la tolérance ou le racisme qui sévit toujours dans ce pays et dans de nombreuses régions du monde.
Femme Actuelle
Malgré quelques scènes redondantes, difficile de ne pas être profondément remué par cette histoire tirée de faits réels.
L'Express
Mais les comédiens sont excellents. Leurs deux face-à-face, d'une dizaine de minutes chacun, valent à eux seuls le déplacement.
Le Figaro
(...) Forest Whitaker interprète de nouveau un personnage réel (...). Un rôle particulièrement significatif pour la star hollywoodienne, parce qu'il rejoint aussi son engagement personnel de fondateur de l'ONG Whitaker Peace and Developement Initiative (WPDI).
Le Journal du Dimanche
Portées par le talent de Forest Whitaker et d’Eric Bana, les scènes d’affrontement verbal et psychologique sont intenses et réussies. Dommage qu’elles soient noyées dans des séquences plus convenues et démonstratives.
Le Parisien
La confrontation entre les deux personnages - magistralement incarnés par Forest Whitaker, grimé pour le rôle, et Eric Bana - constitue la partie la plus fascinante de ce drame qui s’égare parfois dans des séquences inutiles, notamment dans la première partie. La suite est plus enthousiasmante, jusqu’à une séquence finale très émouvante.
Les Fiches du Cinéma
Fiction s’inspirant de la vie de Desmond Tutu, ce nouveau film de Roland Joffé revient sur la difficile reconstruction de l’Afrique du Sud, déchirée par des années d’apartheid. Maladroit, en dépit de quelques duels verbaux de qualité entre Forest Whitaker et Eric Bana.
aVoir-aLire.com
On n’en retiendra donc au final uniquement les deux scènes de confrontation par le dialogue, interprétées avec une réelle intensité émotionnelle (...). La fadeur dont fait preuve le réalisateur malgré son sujet potentiellement explosif peut donc nous permettre d’affirmer qu’il a échoué son come back dans le genre de la fresque historique, qui avait pourtant autrefois fait sa gloire.
La Voix du Nord
Portrait intransigeant mais édifiant et un peu surjoué.
Le Point
Tout est vrai dans ce film de Roland Joffé, tout entier animé de bons sentiments, classique sans éclat ni grands ressorts, là où il aurait fallu du souffle, du suspense et de la conviction pour nous emporter.
L'Obs
Tiré d'une pièce de Michael Ashton, le film de Roland Joffé ("Mission") est démonstratif, bavard, trop long, mais du moins nous fait-il réaliser la haine absolue que l'apartheid a voulu légitimer et donne-t-il à Forest Whitaker, dans le rôle de Tutu, l'occasion de déployer son talent. Voilà pourquoi tout n'est pas à jeter dans ce film vraiment raté.
Libération
Tout s’égalise dans l’académisme pour rendre l’exceptionnel le plus conventionnel possible, parce qu’il faut que chaque choix de mise en scène soit à gros traits et sans amplitude, seulement attaché à faire passer le message œcuménique que «le Bien, c’est mieux».
Ouest France
Un scénario binaire, une mise en scène et des acteurs ronflants.
Positif
[...] "Forgiven" ne parvient jamais à se libérer de ses origines théâtrales, et hache le face-à-face de champs contre-champs mécaniques et sans inspiration, manifestes d'une certaine médiocrité satisfaite de ses excellentes intentions.
Première
On veut d’abord y croire (OK, le cinéma c’est l’artifice !) et puis, non, le scénario binaire et la mise en scène ronflante disqualifient toutes les bonnes intentions. Dès lors, la triste figure de Whitaker devient un masque de cire dépourvu d’expressivité.
Télérama
En dépit du talent des deux acteurs, la confrontation ne réserve guère de surprises ou d’échappées, comme prisonnière, elle aussi, de ses origines dramatiques.