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AMCHI
5 956 abonnés
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2,0
Publiée le 6 juin 2016
D'après une idée de Jugnot, Lhermitte et Clavier (chacun font une apparition) C'est pas parce qu'on n'a rien a dire qu'il faut fermer sa gueule est une petite comédie française pas désagréable mais assez anecdotique et qui vaut essentiellement pour ses acteurs, un trio de pieds nickelés interprétés par les bons Blier, Serrault et Lefebvre. Une histoire de casse pas déplaisante à suivre mais une comédie un peu datée bien que gardant un certain charme avec notamment une sympathique musique typique de ce cinéma dans les années 70, cette comédie est inégale car si aucun instant n'est réellement hilarant certains passages comme la poursuite pour récupérer la valise sont pas mal par contre le film prend trop de temps avec la séquence des toilettes et déguisements (un peu lassant au bout d'un moment). A voir éventuellement par curiosité mais rien de spécial à par son titre à la Audiard d'ailleurs certains dialogues sont du même crus que les siens.
Je crois être tombé sur le seul film qui se passe dans les waters plouf! j'ai bien ri par moments de certains gags d'un autre temps, mais le film à quand même mal vieillit. Voir en apparition T. Lhermitte, G. Jugnot et C. Clavier m'a surpris. ----Février 2016----. ----Octobre 2019----
Pas mal. Le huis clos transformiste dans les toilettes hommes de la Gare de l'Est constitue une performance intemporelle. La poursuite de la valise à Paris est moins amusante. Puis intervient la dame-pipi, avec sa réplique éponyme - et une fin extrêmement moraliste et amusante. Si on devait remastériser le film, il faudrait juste couper la scène de la poursuite de valise dans Paris, et ce serait un chef-d'oeuvre à mes yeux.
Film extrêmement drôle. Le trio d'acteurs Blier/Serraut/Lefebvre marche très bien, et leurs déguisements sont à mourir de rire.spoiler: Quant à Tsilla Chelton, qui tient le rôle décisif du film, elle nous berne pendant tout le film. A voir et revoir!
On dirait un film de Michel Audiard sorti à la même période : un long titre, une brochette de comédiens à couper le souffle (et parmi les plus marrants) et un scénario incroyable. Bernard Blier en rajoute tant et plus pour notre plus grand plaisir, et l’épisode où les trois cambrioleurs changent d'accoutrement à chaque intervention est un régal ! Et pourtant ce film est de Jacques Besnard, récemment décédé en 2013 a frôlé le million de spectateurs sans le dépasser. Il l'eut mérité.Une histoireavec certes, cousue de grosses ficelles, mais on rit bien volontiers aux facéties de nos héros. Jean Lefebvre était dans son monde puisqu’il adorait les gares. De passage dans les villes, c’est dans celles-ci qu’il testait sa notoriété en y donnant des autographes. Quant à Tsilla Chelton dans le rôle de la dame pipi, c’est celle qui allait devenir l’épouvantable tatie Danièle. Encore un superbe film comique !willycopresto
Un titre à rallonge mémorable (plus mémorable que le film c'est sûr !!!) qui fleure bon le Audiard, la présence du génie comique, absolument imbattable quand il s'agissait de dire du Audiard, Bernard Blier, des acteurs assez habitués d'Audiard avec Michel Serrault et Jean Lefebvre, une situation de départ qui fleure bon le Audiard ; mais voilà ce n'est pas du Audiard... En fait le scénario et les dialogues ont été écrits par les moins prestigieux Jacques Besnard et Jean Halain sur une idée de Christian Clavier, Gérard Jugnot et Thierry Lhermitte (pas encore au sommet de leur talent !!!), et ça se voit et ça s'entend. Bon le scénario, qui pioche un peu sur "Le Pigeon", est un brin nanardesque, mais il y a une ou deux bonnes trouvailles (dans la limite nanardesque du terme tout de même !!!) comme la fin ironique ; et puis deux ou trois bonnes répliques se distinguent tout de même même si c'est très pioché sur le style Audiard sans être du Audiard du genre "Les conneries c'est comme les impôts, on finit toujours par les payer". Les acteurs rendent le tout digeste et pas ennuyeux à regarder à défaut d'être réussi et d'être autre chose qu'un ersatz du style Audiard.
Quand 3 acteurs en font des tonnes ( c'est un euphémisme ! ) dans leur registre préféré, on obtient un chef d'œuvre de rigolade . A voir et revoir avec des répliques dignes d'Audiard qui aurait pu participer à l'aventure. Du très bon cinéma populaire.
Tsilla Chelton en dame pipi, Gérard Jugnot en guichetier Sncf, Thierry Lhermitte en militaire, Christian Clavier en délégué du ministre de l'Intérieur (déjà!), ce n'est pas parce qu'on n'a rien à dire, qu'il n'y a rien à voir...
D' après une idee de Christian Clavier , Gérard Jugnot et Thierry Lhermitte , " C' est pas parce qu' on a rien a dire qu ' il faut fermer sa gueule " bénéficie d' un scénario qui amuse , de bons dialogues de Jean Halain et d' un trio Bernard Blier - Jean Lefebvre - Michel Serrault inspirés mais malheureusement l' ensemble manque de rythme et la réalisation de Jacques Besnard ( que je préféré dans " Le grand restaurant " avec Fufu " ) est bof ....A voir pour le trio d' acteurs .
Une comédie absurde et burlesque a l'idée de base très bonne qui offre son lot d'inventivité et de situations folles . Parfois même stressant et surtout rythmé, on retrouve aussi un casting vraiment sympa avec Bernard Blier, Jean Lefebvre et Michel Serrault . Une comédie qui ne sombre jamais dans la mollesse et qui offre un bon moment, absurde et loufoque mais très prenant et agréable . Je rajouterai que cette comédie offre vraiment pas mal de super réplique, injustement rabaissé et mal aimé . "Les conneries c'est comme les impôts, on finit toujours par les payer" .
Trois petits malfrats décident de creuser un trou dans le mur des toilettes d'une grande gare, pour accéder à une salle des coffres. Ils devront déjouer la méfiance de Mme Pipi, et celle des autres clients. Le titre à rallonge du film laisse présager le pire, pourtant "C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule" s'avère assez distrayant. Il est vrai que l'ensemble est relativement mou, et que mise à part dans le final, il y a assez peu de rebondissements. Mais l'humour absurde fonctionne bien, avec notamment nos héros qui portent des costumes complètement improbables pour ne pas éveiller les soupçons. Enfin, le film doit beaucoup à son trio principal, et surtout à un Bernard Blier désopilant, aux répliques qui font mouche. Signalons également une apparition de Christian Clavier et Gérard Jugnot, alors inconnus.
Une comédie poussive des années 70 qui a mal vieillit. Reste quelques petits gags amusants et le plaisir de revoir ces gueules du cinéma comique (Lefebvre, Serrault et Blier). Tout de même préférez le sympathique "La situation est grave mais pas désespéré" avec le même réalisateur sorti la même année que ce dernier nanar, toujours avec Lefebvre et Serrault.
Une comédie populaire française avec un titre à rallonge comme ça se faisait beaucoup à l'époque. D'ailleurs ce titre est une phrase d'Audiard dont on ressent énormément l'influence dans des dialogues, qui ne sont pourtant pas de lui (comme en témoigne la réplique « Le jour où on mettra les cons dans un panier, tu seras pas sur le couvercle »). Pas désagréable à suivre, pas un chef d'oeuvre de finesse non plus, on suit les frasques de 3 branquignoles qui décident de monter un coup en passant par les toilettes publiques d'une gare, tenues par une Dame Pipi peu commode (Tsilla Chelton). Le trio Blier-Serrault-Lefebvre fonctionne plutôt bien malgré quelques inévitables cabotinages et redondances. Une comédie sympathique, sans plus.
Une comédie poussive des années 70 qui a mal vieillit. Reste quelques petits gags amusants et le plaisir de revoir ces gueules du cinéma comique (Lefebvre, Serrault et Blier). Tout de même préférez le sympathique "La situation est grave mais pas désespéré" avec le même réalisateur sorti la même année que ce dernier nanar, toujours avec Lefebvre et Serrault.