Derniers Avis : Conjuring : Les dossiers Warren - Page 17

"Conjuring" est un film d'horreur très classique, sans réelle surprise soit sans prendre vraiment de risque. On reste dans un cadre très conventionnel mais très bien assumé comme tel. Pour moi, "Conjuring" est un film qui impressionnera les novices mais qui manque d'originalité soit qui tourne plus au ridicule qu'à une atmosphère inquiétante surtout dans sa deuxième partie. La mention 'inspiré de faits réels" ne suffit pas pour faire un bon film d'horreur...

Si j'ai apprécie le travail de James Wan sur des films tels que Saw et Death Sentence par contre Conjuring : Les dossiers Warren est aussi décevant qu'Insidious. Si j'étais méchant je dirais que c'est du film d'épouvante pour amateur qui fait frissonner sans forcément faire dans son... du coup on a un film assez bancal à mater. Au niveau de la mise en scène Wan s'en sort bien encore mais son histoire n'est pas passionnante à suivre, les personnages que ce soit la famille ou les experts du surnaturel sont des personnages ultra vu et revu ; l'atmosphère de Conjuring élément essentiel dans ce type de cinéma est vraiment plat, les rebondissements et autres coup de théâtre tombent à l'eau, on n'est jamais choqué ni pris par des situations sensées nous inquiéter. Un film d'épouvante au mystère faiblement palpable avec un crescendo qui ne monte jamais, on s'ennuie malheureusement devant Conjuring : Les dossiers Warren.

Une vraie première pourJames Wan qui voit entrée dans son tableu de succés "The Conjuring". Un film d'horreur digne des plus grands, pas forcément angoissant mais assez pour faire sortir la peur en vous. Un scénario assez basique mais un style de tournage bien à lui (James Wan) qui rajoute un plus à l'horreur du film

Un des rares films d'horreur récent qui fasse peur, surtout inspiré de faits réels c'est encore plus terrifiant. On a pas le temps de s'ennuyer, même quand c'est calme, c'est encore plus haletant parce qu'on sait que ça ne va pas durer! S'il y a quelqu'un de partant pour jouer a un cache tape, ne comptez pas sur moi, bien évidemment, il faudrait être fou après avoir vu ce film pour y jouer ^^
Excellent film! 4,5/5

Un très bon film d'épouvante. Forts en intensité. J'ai fais quelques bonds, et il m'en faut beaucoup pourtant. De la classe de l'exorciste ! Moments intenses et angoissant. Je like et je relike. Fan de démons, sautez et sursautez sur ce film. A voir et à revoir. Le tripe ! Ce soir je me couche mais avec une légère petite angoisse. Vais-je éteindre la lumière?

Un film tiré d'une histoire vraie (décidément), comme Amityville, l'Exorciste ou encore King Kong (faut bien multiplier l'angoisse en disant que ce sont des faits réels), le film nous raconte l'histoire d'une médium et d'un démonologue (? )enquêtant sur plusieurs affaires, parfois certifiées surnaturelles, parfois non.
Au moment ou nos deux personnages comptent bien prendre un peu de repos après une enquête particulièrement "difficile" à digérer, une mère de famille demande l'aide de nos héros, en effet, sa nouvelle acquisition, une maison du 19ème siècle est supposée être hantée.
Voila pour le résumé.

Spoiler possible !!

Bon, déja dès le début ça ma fait rouler des yeux, la poupée creepy avec la tronche tellement malsaine, histoire d'en rajouter des caisses, et qui barbouille les murs et se déplace toute seule durant l'absence des locataires, bah c'est du vu et revu, la scène durant laquelle l'un des personnages jette la poupée dans la poubelle et qu'ensuite quelqu'un martel la porte en pleine nuit et tout d'un coup BOUUUU la poupée et de retour dans une des pièces de la maison, ok ..d'accord.. mais on connait ce genre de scène, y'en a à la pelle... (Chucky, Poltergeist) dès cet instant on sait que c'est un film ciblé "ado" et que pour l'originalité va falloir passer son chemin.
Suite à cela le film devient la foire au fantôme, un pendu qui cours...qui vole après un personnage, les apparitions de visages et de mains blêmes dans les placards et dans les miroirs ou à côté des personnages, la gamine et son ami invisible (bon sang depuis 1973 avec l'Exorciste on nous le sort celui la hahaha), sorcière, fantômes, Satan, porte qui grince ou qui claque, murmure et chuchotement, pendules qui s'arrêtent à une heure précise, pièce secrète, et enfin possession.
Aucune originalité, c'est du vu et revu et c'est pas crédible pour un rond.
Ha oui et le chien !!! ... le chien qui meurt dès la première nuit mais tout le monde à l'air de s'en foutre royalement lol, il meurt..bon bah on l'enterre, même pas un passage chez le véto pour savoir de quoi il en retourne.

Mais Il y a du positif : les acteurs sont bons, on ne s'ennuie pas, et il y a des moments ou j'ai ressenti ...pas de la peur, mais de l'inquiétude, c'était rare mais il y en a eu.

Mais le plus gros point positif pour ma part par rapport à ce film n'est pas dans le film....ce qui l'auront vu comprendrons...
J'ai vu le film hier soir, j'ai été me coucher vers une heure du mat', mais ce qui ma réveillé ce matin ma carrément mis mal à l'aise et j'ai fais les gros yeux plusieurs fois... la porte de ma chambre claquait...sincèrement, ça faisait des mois que ma porte n'avait pas claquée, même avec toutes les fenêtres ouvertes durant les mois de juin, juillet, aout, et à chaque claquement j'ouvrais les yeux et regardait en direction de la porte pour voir le mince filet de lumière sur ma droite en pensant que à un moment je verrais une forme de l'autre côté ... suite à cela, je pense que au final ce film à réussi son pari envers moi, sinon pourquoi aurais-je été inquiet ce matin ?

James Wan n'apporte au final pas grand chose au film d'horreur. Coincé entre la volonté de raconter une histoire (vraie!) et le souhait de faire peur au public le film ne fonctionne pas. On s'ennuie même, le comble pour un film sensé décupler nos émotions. Dommage!

Mine de rien, James Wan est en train de se construire une belle petite carrière à Hollywood. Alors qu’on aurait pu craindre qu’il reste seulement dans l’histoire du 7e art comme celui qui aura initié la série tornporn "Saw" (en signant le premier et incontestable meilleur chapitre), le réalisateur a su avancer et s’est distingué par de petits films plutôt bien foutus mais au succès confidentiel (voir, notamment, "Dead silence") avant de connaître à nouveau les honneurs du box-office grâce aux deux premiers volets de la surprenante saga "Insidious". L’homme a, ainsi, démontré qu’il savait jouer avec les codes et renouveler des genres souvent englués dans des références poussiéreuses. Il réutilise les mêmes recettes avec "Conjuring"… avec un nouveau succès à la clé. Pourtant, le projet n’apparaissait pas comme forcément novateur, surtout après "Insidious" qui traitait de thèmes assez semblables (un esprit démoniaque qui hante une maison et ses habitants, l’intervention de chasseurs de fantômes…). Wan parvient, néanmoins, à adopter un angle original, grâce au cachet "inspiré d’une histoire vraie" (avec toutes les réserves que cela suppose, bien sûr !) qui lui permet de placer les deux para-psychologues, Ed et Lorraine Warren (qui ont vraiment existé et qui sont, notamment, "intervenus" à Amityville) au centre de l’histoire, la famille Perron, victime des esprits hantant la maison, étant placée au même niveau… voire au second plan. Ce "recadrage" des intervenants suscite, non seulement, un véritable intérêt du spectateur concernant l’histoire personnelle des époux Warren et évite de se consacrer exclusivement aux malheurs de la famille (ce qu’on voit trop souvent dans ce genre de productions). "Conjuring" n’est, dès lors, pas qu’un simple film sur une maison hantée et aborde d’autres thèmes intéressants à travers les deux héros, tels que l’amour très fort les unissant, leur quotidien atypique (voir, notamment, la très évocatrice salle où ils conservent tous les objets possédés dont a poupée Annabelle) ou leurs conférences qui permettent de les voir intervenir sur d’autres cas. Comme toujours chez Wan, le casting est l’un des gros points forts du film puisqu’on retrouve le toujours parfait Patrick Wilson et l’excellente Vera Farmiga en couple en chasseurs de fantômes, ainsi que Lilly Taylor et Ron Livingston en parents dépassés, sans oublier une pléiade de gamines terrifiées dont on retiendra Mackenzie Foy et Joey King. Pour autant, j’avoue avoir été moins emballé par "Conjuring" que par "Insidious", avec lequel il est quasiment impossible de ne pas faite la comparaison. Tout d’abord, le film ne fait pas forcément l’économie de quelques passages obligés inhérent au genre (silence interminables, obscurité synonyme de danger, effets sonores outranciers…), voire – et c’est un peu plus gênant – d’effets de mise en scène trop grossiers qui font tâche avec le ton général plus subtil du film spoiler: (ah l’apparition monstrueuse au-dessus de l’armoire de la chambre)
. On a un peu l’impression que les producteurs ont exigé des rajouts de dernière minute censé faire flipper le spectateur… et ces rajouts ne paraissent pas toujours indispensables spoiler: (à titre d’exemple, l’évocation de l’assassinat d’un enfant par sa mère, le toc-toc-toc répété par l'esprit ou un plan sur les pieds d’un pendu apparaissant subitement derrière un personnage m’apparaissent bien plus effrayants et évocateurs qu’un monstre qui fait "bouh")
. La BO m’a paru, également, moins forte que celle de la saga "Insidious". De façon générale, "Conjuring" a peut-être pour principal défaut de rester un peu trop accroché à son pitch, et ce malgré ses efforts pour aérer le récit et changer le point de vue des personnages. On reste clairement devant un film de possession et il reste peut-être des choses à faire en la matière sur le plan de l’innovation. Le film reste une première pierre intéressante à cet édifice… et devrait engendrer des suites.

Avant Amityville, il y eût les Perron, l'une des premières enquêtes des Warren, célèbre couple de démonologues américains. Sorti en 2013, la réalisation de "Conjuring" est confiée à James Wan, auteur de "Saw" ou encore "Insidious". Le cinéaste est parvenu à orchestrer cela d'une main de fer, touchant peut-être les voies d'une maturité. Wan n'a en effet nullement cédé à la facilité horrifique des sursauts permanents, davantage agaçants qu'autre chose. À l'inverse, il opte pour une approche distanciée et originale, fruit d'un cinéma d'horreur intelligent. Au final, "Conjuring" constitue un exemple de maîtrise redoutablement flippant. Hormis un happy end mièvre, on peut dire que "L'exorciste" a décidément fait de beaux petits.

Enfin! Depuis le temps que j'en attendais un! Enfin un film d'horreur digne de ce nom! Épeurant, avec un timing parfait, en plus il est inspiré de faits réels. Que demander de mieux? La fin est un peu rocambolesque, mais n'enlève absolument rien au film. À voir pour les adeptes de films d'horreur!

Bon film, la mise en scène de James Wan est assez efficace car elle fait grimper l'intensité jusqu'au dénouement final. Alors c'est sûr ça ne révolutionne pas le genre mais les instants de terreur fonctionnent bien et cela a au moins le mérite de mous maintenir scotchés à notre fauteuil.

Pure chef d’œuvre.Un classique du film d'horreur .Efficace,ne tombe pas dans le gore et reste centré sur le paranormal plausible sans débordé sur des séquences "trop gros pour être imaginé". Ce film est vraiment le film d'horreur le plus terrifiant de tous les temps. A voir absolument

Dans un genre que je n'affectionne pas particulièrement à la base, un film d'horreur très réussi. Sans être une révolution scénaristique, un long-métrage qui prend littéralement aux tripes grâce à une mise en scène très sobre mais extrêmement efficace et une ambiance angoissante à souhait, presque insupportable de tension dès la scène d'ouverture pour atteindre un paroxysme final haletant. Beaucoup de scènes très marquantes, évidemment dans les passages fantastiques et une qualité d'interprétation impeccable. Simple mais mené de main de maitre, voilà qui va peut-être me réconcilier avec les jump-scares.

Plus terrifiant que Annabelle et c'est vrai que le film fait vraiment flippé par moment surtout la fin que je vous laisse découvrir si vous ne l'avez pas encore regardé et on ne s'en remet pas de suite alors soyez prêt.

A propos de "L’exorciste", je disais qu’il avait été souvent imité mais jamais égalé. Je me trompais : c’était sans connaître "Conjuring : les dossiers Warren", dont la trame générale rappelle celle du film de 1973, donnant une légère sensation de déjà-vu, tout du moins chez les spectateurs qui connaissent la réalisation de William Friedkin. A la différence près que cette fois, le scénario s’appuie sur des faits réels, et non d’un roman comme ce fut le cas 40 ans plus tôt. En effet, se nourrissant des conseils avisés de la vraie Lorraine Warren en ce qui concerne la psychologie des personnages, le scénario fait penser à un savant mélange du film "L’exorciste" et de la série "X-files : aux frontières du réel". Il ne restait alors plus qu’à le mettre en scène, et c’est la star montante de la réalisation qui s’y est collée, dont le nom James Wan est désormais connu de tous, ou presque. Instigateur de la saga "Saw", puis auteur du diptyque "Insidious", avec "Conjuring : les dossiers Warren" il confirme son statut de maître du genre horrifique. Il filme avec talent et avec envie, réalisant son rêve de gosse avec beaucoup de sérieux et de professionnalisme. Pour se démarquer des uns et des autres, il appose sa signature qui lui est propre, laquelle se résume en la multiplication des plans-séquences, technique qui consiste à faire un plan long pour y inclure l’intégralité d’une scène. Cela nécessite une grande mobilité, et pour ce faire, il n’y a rien de mieux que d’avoir la caméra à l’épaule. Mais ce n’est pas tout : si vous êtes attentifs, vous remarquerez que sur certaines séquences filmées de la sorte, James Wan a eu la lumineuse idée de prendre le point de vue des principaux protagonistes, et d’alterner les deux points de vue, celui de cette famille nombreuse et celui des Warren, parfois les deux en même temps. Cela fait gagner le propos en crédibilité, et efface toute sensation de ballotage entre les deux points de vue. Cette qualité de mise en scène qui se caractérise aussi par des jeux d’ombres travaillés, et la musique délicieusement inquiétante de Joseph Bishara, rendent le tout très immersif dans une ambiance épouvantable (dans le bon sens du terme). Pire : il est très probable que vous ayez quelques frissons, jusqu’à en être tellement possédés que vous ne saurez résister à aller voir le 2. Evidemment, impossible de ne pas citer les comédiens, tous très bons dans leur rôle respectif, qu’ils soient adultes ou enfants, y compris lorsqu’ils sont malmenés par des effets visuels confondants qui eux aussi contribuent à donner le frisson tant ils semblent bien réels, sans être impressionnants mais d’une telle sobriété qu’ils sont redoutables de réalisme. Il est seulement dommage que la fin arrive si rapidement et de façon plutôt convenue, bien que je vois mal comment il aurait pu en être autrement, au risque de perdre en crédibilité. Cette septième réalisation de James Wan reste une excellente surprise que je vous conseille de voir avant de passer à la gamme au-dessus qu’est "Conjuring 2 : le cas Enfield". Après, il est fort possible que vous démultipliiez les effets flippants de cette ambiance particulière si vous regardez ça au beau milieu de la nuit. Mais ne venez pas pleurez si ensuite vous n’arrivez pas à dormir, hantés par des… Brrrrr, je ne préfère pas y penser !