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Le film reste trop inégal (…) mais lorsque Marina De Van sait s’attarder sur le visage poupin et vidé de sa jeune actrice, elle emporte une émotion amère qui excède amplement le genre où elle s’est mal réfugiée.
Marina de Van s'aventure dans l'horreur façon "Carrie", de Brian de Palma, pour aborder la maltraitance et l'inceste. On est captivé par l'atmosphère glauque de ce film qui bouleverse par son nihilisme absolu.
(...) Marina de Van ne connaît d'autre chemin que la fréquentation des extrêmes. Son incursion dans le film d'horreur, portée par une spectaculaire interprétation de préadolescente incarnée par l'Irlandaise Missy Keating, est un vrai travail de cinéma quoique un peu tortueux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) on croirait presque que De Van (...) laisse les interprètes plus âgés jouer si fadement dans un ultime geste de vindicte contre le monde adulte. Elle excelle, en revanche, dans ces scènes de fureur enfantine (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
(...) Marina De Van semble plus que jamais chercher le juste équilibre entre respect des codes du cinéma d'horreur et obsessions d'auteur - le film poursuivant la réflexion des deux autres sur la mutation corporelle, le mal, le masochisme. D'où l'impression pas très agréable d'un film claudiquant et clivé, tour à tour prometteur et décevant, prétentieux et académique.
"Dark touch" était jusqu’alors une série B à l’ambiance implacable et avait tout pour devenir un nouveau jalon du genre. Le film s’achève de façon anecdotique au risque de laisser l’empreinte d’un divertissement futile.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Devant ce vigilante pédophile un peu douteux, on est surtout déçu de comprendre ce qui, sous le narcissisme d’écorché vif, démange vraiment le cinéma de la réalisatrice : la sociologie scabreuse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Après des films assez personnels, Marina De Van s’essaie au genre horrifique, en s’inspirant vaguement du Carrie de De Palma. Mais ses séquences de télékinésie tombent comme des cheveux sur la soupe et elle s’embourbe en voulant rationaliser son sujet avec une lourde histoire de pédophilie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Après "Dans ma peau" et "Ne te retourne pas", Marina De Van refait le coup du film fantastique d'auteur. Malgré de bonnes idées et une jeune actrice formidable, l'histoire sombre dans le grand guignol.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Sans la moindre implication, elle (Marina de Van) exécute donc une série B ni troublante ni viscérale, desservie de surcroît par une interprétation calamiteuse.
Avec cette relecture de "Carrie" réalisée en Irlande, la réalisatrice tente d'instiller une tension horrifique, de privilégier l'atmosphère à l'action. Mais elle raconte cette histoire effroyable avec pléthore d'effets grand-guignolesques, sans célérité ni conviction.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Repassant sur le motif éprouvé de l'enfant malfaisant, ce film choisit l'horreur comme genre pour métaphoriser les dégâts de la maltraitance. Une idée sans doute pertinente, mais dont le risque est d'ajouter l'horreur à l'horreur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On a surtout le sentiment que la réalisatrice s'est invitée dans un genre, le film d'horreur, en tentant d'en respecter les codes, mais sans s'y intéresser vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Une horreur mélancolique, froide, défaitiste, et beaucoup plus personnelle que ce à quoi les films du genre nous ont habitués.
L'Ecran Fantastique
La mise en scène est un modèle du genre (...). Les effets spéciaux très réussis (...).
Les Inrockuptibles
Sous le voile du film (très) horrifique, un réquisitoire implacable et déchirant contre les parents maltraitants.
Positif
Film inclassable, dont les scènes fortes nourrissent un haletant crescendo. Jusqu'au final inoubliable, aussi grotesque que choquant.
Cahiers du Cinéma
Le film reste trop inégal (…) mais lorsque Marina De Van sait s’attarder sur le visage poupin et vidé de sa jeune actrice, elle emporte une émotion amère qui excède amplement le genre où elle s’est mal réfugiée.
Ecran Large
Le film bute sur des difficultés aussi regrettables que la barrière de la langue ou un manque d'audace narrative.
Le Journal du Dimanche
Marina de Van s'aventure dans l'horreur façon "Carrie", de Brian de Palma, pour aborder la maltraitance et l'inceste. On est captivé par l'atmosphère glauque de ce film qui bouleverse par son nihilisme absolu.
Le Parisien
(...) Marina de Van ne connaît d'autre chemin que la fréquentation des extrêmes. Son incursion dans le film d'horreur, portée par une spectaculaire interprétation de préadolescente incarnée par l'Irlandaise Missy Keating, est un vrai travail de cinéma quoique un peu tortueux.
Les Fiches du Cinéma
Marina de Van s'attaque avec intelligence au fantastique, et signe une œuvre et tragique.
Libération
(...) on croirait presque que De Van (...) laisse les interprètes plus âgés jouer si fadement dans un ultime geste de vindicte contre le monde adulte. Elle excelle, en revanche, dans ces scènes de fureur enfantine (...).
Mad Movies
Si le découpage reste parfaitement fluide, et la photo presque soyeuse, tout nous est livré en vrac, sans autre forme de procès.
Ouest France
(...) une série B qui fonctionne pour les amateurs de frissons. A défaut de renouveler le genre.
Paris Match
Dommage que le dernier tiers grand-guignolesque vienne ensanglanter le tableau, même si la puissance du plan final ne finira pas de nous questionner.
TéléCinéObs
(...) Marina De Van semble plus que jamais chercher le juste équilibre entre respect des codes du cinéma d'horreur et obsessions d'auteur - le film poursuivant la réflexion des deux autres sur la mutation corporelle, le mal, le masochisme. D'où l'impression pas très agréable d'un film claudiquant et clivé, tour à tour prometteur et décevant, prétentieux et académique.
aVoir-aLire.com
"Dark touch" était jusqu’alors une série B à l’ambiance implacable et avait tout pour devenir un nouveau jalon du genre. Le film s’achève de façon anecdotique au risque de laisser l’empreinte d’un divertissement futile.
Chronic'art.com
Devant ce vigilante pédophile un peu douteux, on est surtout déçu de comprendre ce qui, sous le narcissisme d’écorché vif, démange vraiment le cinéma de la réalisatrice : la sociologie scabreuse.
CinemaTeaser
Plus accessible que ses précédents films, le dernier Marina De Van n’en continue pas moins de souffler le chaud et le froid.
L'Humanité
Après des films assez personnels, Marina De Van s’essaie au genre horrifique, en s’inspirant vaguement du Carrie de De Palma. Mais ses séquences de télékinésie tombent comme des cheveux sur la soupe et elle s’embourbe en voulant rationaliser son sujet avec une lourde histoire de pédophilie.
Le Figaroscope
Après "Dans ma peau" et "Ne te retourne pas", Marina De Van refait le coup du film fantastique d'auteur. Malgré de bonnes idées et une jeune actrice formidable, l'histoire sombre dans le grand guignol.
Première
Sans la moindre implication, elle (Marina de Van) exécute donc une série B ni troublante ni viscérale, desservie de surcroît par une interprétation calamiteuse.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Avec cette relecture de "Carrie" réalisée en Irlande, la réalisatrice tente d'instiller une tension horrifique, de privilégier l'atmosphère à l'action. Mais elle raconte cette histoire effroyable avec pléthore d'effets grand-guignolesques, sans célérité ni conviction.
Le Monde
Repassant sur le motif éprouvé de l'enfant malfaisant, ce film choisit l'horreur comme genre pour métaphoriser les dégâts de la maltraitance. Une idée sans doute pertinente, mais dont le risque est d'ajouter l'horreur à l'horreur.
Télérama
On a surtout le sentiment que la réalisatrice s'est invitée dans un genre, le film d'horreur, en tentant d'en respecter les codes, mais sans s'y intéresser vraiment.