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Un visiteur
3,0
Publiée le 23 mars 2015
Gilles Lellouche et Valérie Lemercier forment un bon duo et celle ci signe un film correct avec quelques gags sympathiques. Gilles Lellouche est précis comme toujours est très bon dans son rôle de cadre sup' posé qui tente de calmer la tornade qui partage sa vie en essayant d'apprendre à être maman. Un bon moment.
je suis tombée complètement par hasard sur un extrait sur insta et du coup j'ai loué le film. je n'avais pas lu les critiques avant et c'est tant mieux car elles sont mitigées et je me serais laissée influencer. j'ai bien aimé ce film, j'ai trouvé les acteurs excellents ,de très jolies scènes de tendresse, d'humour parfois décalé à l'image de Valérie Lemercier en somme ! tout n'est pas réaliste mais il ne s'agit pas d'un documentaire sur l'adoption! je vous conseille de vous laisser tenter !
peut être qu' après avoir lu les critiques je m'attendais à moins ce n'est pas la comédie de l'année, je n'ai pas explosé de rire mais j'ai passé un bon moment même si certaine scène sont exagérées et font un peu clichés, la fin émouvante remet tout le monde d'aplomb.
L’originalité du cinéma de Valérie Lemercier dans le paysage désolé de la comédie française contemporaine tient certainement à ce goût pour le burlesque qui lui permet d’aborder des thèmes a priori sérieux – la vie princière, la solitude d’une vieille fille, la passion interdite d’une chanteuse pour son manager plus âgé –, ici l’adoption d’un jeune garçon russe par un couple qui ne peut procréer.
Le burlesque, comprenons le traitement comique et outrancier de sujets nobles, passe d’abord par des personnages caricaturaux : les parents incarnent cette frange de la bourgeoisie parisienne friquée et soucieuse d’être à la mode, à la fois traditionnelle et en rejet du traditionalisme catholique avec serre-tête et noms composés ; le fils constitue, lui, le stéréotype du Russe fermé qui jamais ne sourit et jamais ne parle. La confrontation de ces deux mondes occasionne des dérèglements jouissifs et révèle l’hypocrisie d’un microcosme parisien hanté par la frustration ; elle tourne en farce avec une aide à domicile qui voue un culte à Cyrille au point de humer ses caleçons, une mère juive étouffante qui souffre du départ de son époux, un propriétaire pénible qui menace d’appeler le syndic pour « des bruits de pas » toute l’après-midi.
S’il y a burlesque, il repose également sur le déguisement : les mannequins qu’Aleksandra bouscule en plein défilé, elle qui pourtant défendait que le rouge était le nouveau bleu (ou l’inverse) ; la cuillère de purée que lui écrase Alekseï sur le visage ; les costumes russes lors du rassemblement familial ; le tablier-statue de Cyrille… Sans hypocrisie, sans sentimentalisme forcé, le film choisit l’esthétique du carnaval pour mieux mélanger le vrai et le faux et dire la difficulté d’adopter, de faire nôtre un enfant qui n’est pas de nous, ainsi que la difficulté d’être parents, improvisation permanente qui porte ses fruits puisqu’à la stérilité initiale succède une grossesse symbolique.
Une comédie française qui accumule les erreurs pour un rendu inégal : si les séquences de réconciliation et de câlin avec l'enfant sont assez attendrissants, les autres gags comme la nounou qui fait n'importe quoi durant l'absence des parents ou les aventures extra-conjugales du couple sont tout simplement aberrants et non drôles. De même la nationalité russe du jeune Alexeï est trop caricaturée : musique traditionnelle, danse folklorique, caractère bourru, chapska... On s'en lasse rapidement. Valérie Lemercier est correcte sans plus, son partenaire par contre laisse à désirer : quand il devrait s'énerver face à l'assistante sociale, on a davantage l'impression qu'il s'ennuie et imite une pseudo colère... Le final en happy-end est assez farfelu et peu crédible, mais la réunion de famille reste sympathique. Parfois à la limite du vulgaire gratuit (séquence d'insultes dans le hall du musée, était-ce bien nécessaire un tel niveau de langage dans un film familial...). L'histoire est agréable à suivre, mais très mal mise en valeur par une technique inaboutie et qui ne fait pas dans la dentelle...
Un film étonnement drôle : Valérie Lemercier est hors de ses rôles ridicules et futiles, elle est au contraire très réaliste. Le couple original formé dans ce film sort de l'idéal du couple marié, fidèles.. La musique russe souligne a merveille l'humour. Au final un film convainquant et drôle : léger mais réussi.
Aimant l'humour de Valérie Lemercier, et en vue de la bande-annonce assez plaisante, je m'attendais à beaucoup plus d'humour et moins de niaiseries. Le film n'est pas mauvais, mais il manque de peps. Les insultes profanées par Valérie ou les situations embarrassantes comme celles que l'on peut voir dans la bande-annonce ne sont pas assez nombreuses. Pourtant, c'est ça qui la caractérise. Mis à part une ou deux scènes drôles, 100% cachemire apparaît comme un téléfilm divertissant que l'on peut passer sur TF1 le lundi soir... Trop simple et gentillet à mon goût, je suis ressortie du cinéma avec une pointe de déception. En dépit de cette histoire trop fade, je ne critique en rien le jeu des acteurs, en particulier Gilles Lellouche, qui change un peu de registre. Il incarne à merveille le rôle de papa attachant, mari aimant malgré quelques déviations, et homme touchant. 100% Cachemire, un film que j'oublierais assez vite, malheureusement.
Si Valérie Lemercier signe une comédie pleine de bonnes volontés, celle-ci reste inégale. 100% cachemire aurait pu être une très belle histoire sur l’adoption mais on finira par être gêné par ces blagues de mauvais goûts qui jouent sur la vie d’un gamin qui n’a rien demandé d’autre que de vivre une vie meilleure. Les personnages sont trop caricaturaux pour leur attribuer quelques uns de nos sentiments. Aucun ne rattrape l’autre au point que même Danny Boon fait mieux. 100% cachemire s’offre pourtant une belle ouverture mais finit par frôler le 100% navet. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Une petite comédie sympathique dans laquelle tout n'est pas parfait certes mais ça reste du Lemercier donc forcément intéressant au demeurant, le sujet est délicat et l'ambiance huppée laisse quelque peu en marge mais le rire est tout de même au rendez-vous et la jolie V. Lemercier s'amuse à mettre les pieds dans la plat comme à son habitude en plus de tenir parfaitement son personnage, d'ailleurs c'est plutôt bien joué dans l'ensemble malgré les clichés et le petit est vraiment amusant , maintenant c'est rythmiquement assez décousu et l'on ne se marre pas à chaque scène, c'est évident. On a également du mal à ressentir une quelconque empathie pour des personnages trop austères en général, à l'exception de G. Lellouche, excellent. Parfois ça choque, parfois c'est drôle, c'est également quelque fois long mais aussi touchant, notamment sur la fin, ce n'est donc pas un carton mais pas non plus un navet, ça peut clairement attendre une sortie DVD voire TV mais les pro Lemercier ne seront pas forcément déçus. A voir une fois.
bof bof bof . si valèrie Lemercier n' a plus rien a prouver dans ses talents de comédiennes . elle doit encore convaincre avec la casquette de réalisatrice sur la tète si Quadrille et le Derriere étaient deux excellents films, Palais royal montrait déjà des faiblesses . là bon le postulat de départ: l' adoption d' un enfant étranger par un couple de Bobos du 7 eme , elle rédactrice de Elle lui galeriste de succès déja sent le cliché et après ...ben c'est là le problème on ne sait pas ou ça va . c'est drôle par instant mais c'est monté avec deux mains gauches les acteurs sont bons avec de vrais fulgurances. mais c'est long les 1h30 passent comme 3h00 d' attente en préfecture ...c'est un peu chiant . chez nous le 25 décembre c'est tradition on se fait une toile avec les cousins une année sur trois on voit un bon film . autant l' année dernière les garçons avaient bien aimé Jack reacher les filles moins . cette année le consensus semblait etre trouvé autour de Don jon refusé à une voix ....bon ben je ne sais pas ce que vaut Don jon mais le film de repli n'est pas une déception car pas vraiment d' attente mais pas vraiment une réussite ... voilà la moyenne sans plus on peut s' abstenir ...
Partie d’un fait divers qui l’a choquée, la réalisatrice Valérie Lemercier a écrit et réalisé "100% cachemire". Le début est surprenant, car avec un titre pareil, le spectateur ne s’attend pas à être plongé au cœur de la rédaction du magazine "Elle". En fait, là où ailleurs n’a guère d’importance car ça ne sert que de contexte pour présenter un couple qui a tout, jusqu’au confort d’un grand duplex dans le VIIème arrondissement de Paris. Le même début m’a fait craindre le pire, avec un ton tourné vers la (grosse ?) caricature. Cependant il faut reconnaître que si on prend en compte le fait divers à partir duquel le scénario a été écrit, il y a de quoi être acerbe. Heureusement, la lourde caricature laisse la place assez rapidement à quelques clichés qui, malgré le fait qu’ils soient souvent avérés dans la vie réelle, prennent des allures de pamphlets. Ensuite cette comédie se suit agréablement jusqu’à environ la 80ème minute, au gré de ficelles plus ou moins grosses munies ici et là de rares répliques succulentes d’acidité. On a même droit à quelques situations bien trouvées, comme le coup de téléphone qui se termine dans une grande salle à l’effet de résonnance capable de décoiffer toute une assistance arrivée de façon impromptue. Cette scène, est la meilleure du film selon moi. De plus, elle ressemble tant à Valérie Lemercier qui, nous le savons tous, ne mâche pas ses mots quand il le faut. Au bout de 1h20, on note un net changement de cap dans le traitement. Tout le reste est survolé jusqu’à la fin, et heureusement que l’épilogue ne tarde pas à arriver parce que ça sent terriblement le bâclé. La faute à un manque de budget ? Ou alors une orientation du scénario qui s’est trouvé dans une impasse ? On ne le saura peut-être jamais. En attendant, outre l’apparition éphémère du sein gauche de Valérie Lemercier, on mesure la folie des chaussures d’une magnat de la mode à travers de nombreux modèles. L’actrice forme un bon duo avec Gilles Lellouche, et c’est bien lui qui s’en sort le mieux en étant le plus naturel dans toute cette histoire. "100% cachemire" est donc une comédie qui condamne par son procédé ridicule, mais n’est pas pour autant une comédie qui fait rire à gorge déployée. Tout au plus on sourit de bon gré de temps en temps, soufflés par la teneur de certains propos. Valérie Lemercier a confié qu’elle avait voulu transformer une horreur en comédie : eh bien je crois que c’est un peu raté.
Je dirais que dans l'ensemble le film est moyen. J'ai beaucoup aimé le jeu des acteurs avec Valérie Lemercier, Gilles Lellouche, Marina Foïs, Chantal Ladesou... L'humour du film n'est pas extraordinaire certains accrocherons d'autres pas, mais il y a néanmoins de bonnes trouvailles et de très bons passages. On notera parfois quelques petites incohérences où ça n'est pas toujours bien explicite. Le film traîne en longueur et c'est le plus gros reproche que je lui fais. Rien de plus à ajouter. Je lui mets 5.5/10 !!
J'avais pourtant envie d'aimer ce film. J'aime Valérie Lemercier. La bande annonce avait l'air sympa. Mais là je dois me rallier à la majorité. Ce film est plutôt raté. L'objectif n'est pas atteint. Il n'est parvenu ni à me faire rire ni à m'émouvoir. Dommage !
Un gros point d'interrogation sur ce film. Était-il nécessaire? Pour ma part, je m'en serai passer. Il y a tout (surtout des clichés) et rien à la fois, tanto léger tanto sérieux, Valérie Lemercier m'a littéralement perdu dans cette vente de garage. La seule note positive du film est la très drôle Nanou Garcia.