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90
16 abonnés
777 critiques
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3,0
Publiée le 25 août 2012
J'ai vraiment eu du mal a acrocher au debut, mais au bout d'un moment j'ai reussi a rentrer dans le film et la j'ai trouver que c'etait pas mal, l'histoire est tres bonne, un peu pompé sur d'autre films mais c'est pas grave sa reste agreable a suivre. A voir.
Sur fond de Science-fiction, ce thriller s’appuie sur une histoire inventive et originale malgré quelques petites incompréhensions et défauts de scénario. Convenable.
Un vieux savant (trop typique pour être sympathique) créateur d'un monde virtuel copié sur les années 30 est assassiné dans d'étranges circonstances. Sur ce, un jeune premier insipide au menton carré mène l'enquête tandis que la frontière entre réalité et virtualité se brouille. Sur son chemin, il ne manquera pas de croiser une blondasse insignifiante et un méchant à la frange impeccable et au menton tout aussi carré. Le scénario comporte des éléments intéressants, mais mises à part des bribes d'ambiance thirties, tout cela est illustré d'assez laide façon, au moyen d'un automatisme répulsif. Les personnages sont caricaturaux et interprétés par des acteurs médiocres. Bref, tout cela a été formaté de façon à plaire au plus grand nombre. Vous oublierez vite ce film sans personnalité.
Dur de dire ce qui ne me plait pas dans ce film sans dévoiler l'intrigue...
Mais disons que je trouve tout cela REPETITIF, la fin est totalement prévisible à mes yeux, et l'actrice me fait l'effet d'un poisson pas frais (j'ai du mal avec un personnage qui ne sourit jamais ! genre Bella dans Twilight... même les gens tristes sourient parfois !
Bref, rien de nouveau... et de grosses incohérences dont je ne peux parler sans gâcher l'intérêt (on ne sait jamais...) qu'il peut avoir...
Un nième film sur le thême de la matrice et des mondes virtuels. Ma seule surprise a été de voir Vincent D'Onofrio, alias "Baleine" dans "full metal jacket" de Kubrick.
Franchement sans surprises . Les décors années 30 sont soignés et les acteurs sont bons (sauf peu être Craig Bierko , un peu decevant sur certaines prises) mais cela ne sauve pas le film ! Mediocre
Vu vingt ans après sa sortie, ce film de science-fiction de 1999 s’avère convenu et ne parvient pas à surprendre. Il est difficile à remettre dans le contextes de sa sortie après que les Wachowski ou Proyas aient abordé les mêmes thèmes de bien meilleures façons.
Adaptation du roman Simulacron 3 de Daniel F. Galouye, Passé Virtuel est un film possédant quelques qualités intéressantes. L'histoire nous fait suivre un homme qui va se retrouver accusé du meurtre de son ami et collègue avec lequel ils ont crées un programme leur permettant de retourner virtuellement dans le passé, qu'il va utiliser afin d'essayer de prouver son innocence. Ce scénario est intéressant à suivre de bout en bout grâce aux sujets traités à travers celui-ci et son ambiance mélangeant polar et science-fiction pour un résultat atypique qui se complexifie au fil des minutes au point de nécessiter un second visionnage pour réellement comprendre tous les éléments de cette intrigue. Au casting, Craig Bierko, Vincent D'Onofrio, Gretchen Mol, Armin Mueller-Stahl et Dennis Haysbert livrent tous des prestations convaincantes sans être incroyables pour autant. Les personnages qu'ils incarnent sont appréciables bien que peu attachants, la faute en partie à des dialogues manquant d'émotions. L’ensemble est convenablement réalisé par Josef Rusnak qui rend une copie quelconque, manquant de personnalité bien qu'elle remplisse son rôle. Le travail de reconstitution d'époque est lui plaisant tout comme les différents lieux. La b.o. pour sa part accompagne bien l'action et renforce l'atmosphère bien qu'elle soit vite oubliable. Reste une fin correcte venant mettre un terme à Passé Virtuel qui s'avère être un long-métrage de bonne facture méritant le coup d’œil.
Passionné de logiciels et des années trente, Hannon Fuller est parvenu à recréer l'époque qu'il affectionne, dans laquelle il peut se projeter. Au cours d'un de ses voyages virtuels, il fait une découverte aussi fascinante qu'effrayante, dont il cherche à faire part à son associé, Douglas Hall. Malheureusement, il est assassiné avant d'avoir pu communiquer son secret.
Mais...c'est...le pitch de...Matrix en version Rolland Emmerch? Je le commence à peine et déjà il y'a un énorme soucis de contraste, c'est très pâlot vieillot tout ça, mais le reste, casting et synopsis ça à l'air pas mal du tout. À la croisée de Code Quantum, Inception & Matrix, j'ai bien aimé et j'aurai adorer le découvrir à l'époque
Bon petit polar SF assez bien ficelé et injustement méconnu. Sorti la même année que "Matrix" dont il est proche au niveau scénario, l'histoire ressemble aussi à celle de "Tron", l'ambiance parano à "Dark City" et le principe est le même que dans la série "Code Quantum". On y retrouve Craig Bierko qui n'est pas génial mais qui s'en sort pas trop mal, Gretchen Mol la grande habituée des films rétros, et même Vincent D'Onofrio. Plutôt sympa. (Bien)
Passé virtuel est le prototype du petit film de science fiction intéressant. Si parfois il souffre d'un scénario qui a du mal à se justifier, il est aussi profondément intéressant et pose un regard alliant nouveauté et classicisme sur un genre peu présent.
Concept intéressant et joliment mis en scène, avec un casting homogène (sans doute due à l'absence de grosses pointures), ce Passé Virtuel, en dépit de quelques sautes de rythme et d'un postulat qu'il développe par moments à hue et à dia, fonctionne plutôt pas mal. Sans doute qu'une fin plus habile ou mémorable aurait fait beaucoup pour la notoriété de ce film qui charrie quelques bonnes idées mais comptera surtout sur l’investissement de ses acteurs pour générer un suspense crédible. Un peu maladroit mais attachant.
Une très bonne surprise que ce film de SF intelligent et parfaitement réalisé qui passe de rebondissements en rebondissements et se ne révèle que sur la fin. Présentant certaines ressemblances avec des Matrix ou Inception, il est plus personnel avec un sujet différent et incroyablement important : l’humanité et l’existence. Passé Virtuel commence ainsi d’entrée avec la citation de Descartes : « Je pense donc je suis. » et s’emploie à y répondre tout au long du film. Et de quelle manière ! Un film peu connu qui à l’image d’autres comme Moon ou The man from earth méritait une publicité nettement supérieur.
Malgré une certaine lenteur, ce film SF néo noir possède de nombreuses qualités notamment son scénario et son côté enquête... On suit un ingénieur informatique qui est accusé à tord du meurtre de son patron le créateur une réalité virtuelle dont l'univers ressemble aux années 30... Notre ingénieur va vite comprendre qu'il doit enquêter dans cette simulation pour comprendre pourquoi son patron a été assassiné... La fin est bien trouvée...
Un superbe film de science-fiction, injustement méconnu, et qui malgré son petit budget, nous en donne largement pour notre argent. Le scénario est très bien travaillé et nous tient en haleine tout le long du film. A voir absolument!