Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Film social, avec sa part de romanesque, "Layla" dépeint la dureté d'un pays rongé par l'insécurité (...). Une tension parfaitement rendue dans cette fable sombre et réaliste, photographie d'une société dominée par la méfiance (...). Un film fort sans sentimentalisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Une réflexion forte, et maîtrisée, sur la culpabilité, la peur et la solitude qu'éprouve une jeune mère célibataire dans l'Afrique du Sud contemporaine, alors qu'elle a tué un homme.
Libération
par Gilles Renault
Teintée d’une forme de fatalisme aride, sa vision révèle une société qui, tout en témoignant de son envie d’aller de l’avant, doit encore composer avec une sorte de remors où interfèrent les notions de doute et de persécution inhérentes à une paranoïa constitutive.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Au pathos et aux larmes faciles qu’un tel sujet laissait supposer, la réalisatrice remarquée pour "A l’âge d’Ellen" oppose une étude de caractère minutieuse et précise, qui crée le suspense par notre incapacité à saisir ce qui se passe derrière les pupilles noires de Rayna Campbell.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Pia Marais tisse une série noire vénéneuse à souhait, jouant avec tact et subtilité des ressorts pervers de cette brillante analogie de la paranoïa sécuritaire sud-africaine. Un petit bijou de polar étouffant doublé d’un solide portrait de femme.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Elle
par Francoise Delbecq
Il plane sur ce film un climat de paranoïa, Layla est dévorée non seulement par la peur d'être arrêtée, mais aussi par l'angoisse de perdre son travail et surtout de laisser son fils seul dans un pays dangereux. Une mère courage exemplaire mais pas inoubliable.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
La cinéaste Pia Marais, qui a des attaches en Afrique du Sud, impressionne par la maîtrise de sa mise en scène et le climat de tension qu’elle instaure.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
Abusant des ellipses, "Layla" s'avère frustrant dans la lenteur, en dépit du jeu intense de l'excellente Rayna Campbell dans le rôle principal.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Damien Leblanc
Incisive, la réalisation communique avec brio les angoisses des protagonistes mais, sur la durée, cette implacable maîtrise contribue à geler un tantinet les émotions et à affaiblir la tension recherchée.
Télérama
par Guillemette Odicino
La scène d'ouverture, l'accident et la montée de l'angoisse chez l'héroïne (impressionnante Rayna Campbell) sont captivants. Dommage que le scénario repose, très vite, sur une coïncidence simpliste, car la réalisatrice réussit à capter avec brio la paranoïa dans une Afrique du Sud toujours sous tension.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
D’abord intrigant par ce qu’il révèle de l’état de paranoïa régnant sur la société sud-africaine, ce long-métrage se perd en cours de route dans des développements narratifs confus.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Franck Garbarz
Le film souffre de nombreuses chutes de rythme qui suscitent même un certain ennui. C'est d'autant plus regrettable que le climat paranoïaque où s'engluent les personnages ne manque pas de force et que la comédienne Rayna Campbell est d'une admirable sobriété dans l'épreuve.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Journal du Dimanche
Film social, avec sa part de romanesque, "Layla" dépeint la dureté d'un pays rongé par l'insécurité (...). Une tension parfaitement rendue dans cette fable sombre et réaliste, photographie d'une société dominée par la méfiance (...). Un film fort sans sentimentalisme.
Les Fiches du Cinéma
Une réflexion forte, et maîtrisée, sur la culpabilité, la peur et la solitude qu'éprouve une jeune mère célibataire dans l'Afrique du Sud contemporaine, alors qu'elle a tué un homme.
Libération
Teintée d’une forme de fatalisme aride, sa vision révèle une société qui, tout en témoignant de son envie d’aller de l’avant, doit encore composer avec une sorte de remors où interfèrent les notions de doute et de persécution inhérentes à une paranoïa constitutive.
Paris Match
Au pathos et aux larmes faciles qu’un tel sujet laissait supposer, la réalisatrice remarquée pour "A l’âge d’Ellen" oppose une étude de caractère minutieuse et précise, qui crée le suspense par notre incapacité à saisir ce qui se passe derrière les pupilles noires de Rayna Campbell.
TéléCinéObs
Pia Marais tisse une série noire vénéneuse à souhait, jouant avec tact et subtilité des ressorts pervers de cette brillante analogie de la paranoïa sécuritaire sud-africaine. Un petit bijou de polar étouffant doublé d’un solide portrait de femme.
Elle
Il plane sur ce film un climat de paranoïa, Layla est dévorée non seulement par la peur d'être arrêtée, mais aussi par l'angoisse de perdre son travail et surtout de laisser son fils seul dans un pays dangereux. Une mère courage exemplaire mais pas inoubliable.
La Croix
La cinéaste Pia Marais, qui a des attaches en Afrique du Sud, impressionne par la maîtrise de sa mise en scène et le climat de tension qu’elle instaure.
Le Monde
Abusant des ellipses, "Layla" s'avère frustrant dans la lenteur, en dépit du jeu intense de l'excellente Rayna Campbell dans le rôle principal.
Première
Incisive, la réalisation communique avec brio les angoisses des protagonistes mais, sur la durée, cette implacable maîtrise contribue à geler un tantinet les émotions et à affaiblir la tension recherchée.
Télérama
La scène d'ouverture, l'accident et la montée de l'angoisse chez l'héroïne (impressionnante Rayna Campbell) sont captivants. Dommage que le scénario repose, très vite, sur une coïncidence simpliste, car la réalisatrice réussit à capter avec brio la paranoïa dans une Afrique du Sud toujours sous tension.
aVoir-aLire.com
D’abord intrigant par ce qu’il révèle de l’état de paranoïa régnant sur la société sud-africaine, ce long-métrage se perd en cours de route dans des développements narratifs confus.
Positif
Le film souffre de nombreuses chutes de rythme qui suscitent même un certain ennui. C'est d'autant plus regrettable que le climat paranoïaque où s'engluent les personnages ne manque pas de force et que la comédienne Rayna Campbell est d'une admirable sobriété dans l'épreuve.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.