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    The Cut
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    3,5
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    52 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 juin 2015
    Un chef d'oeuvre.
    Très émouvant.
    Drame historique et familial.
    Des paysages sublimes.
    Bravo
    Raphaël O
    Raphaël O

    144 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juin 2015
    Malgré une mise en scène manquant de point de vue, ce drame historique abordant très légèrement le génocide Arménien et porté par la remarquable prestation de Tahar Rahim possède un très bon scénario ainsi que des décors et une photographie superbes.
    Une découverte forte intéressante.
    FaRem
    FaRem

    8 608 abonnés 9 508 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 mai 2015
    La base est intéressante puisqu'il est question du génocide arménien, mais c'est un point à peine survolé qui sert surtout de cadre à une histoire qui aurait pu fonctionner dans n'importe quel contexte. Pendant tout le film, on suit le très long périple de Nazareth qui tente d'abord de survivre puis de retrouver ses filles. Je pensais vraiment tomber sur un film fort en émotion, mais il n'en est rien. La réalisation et la mise en scène sont ultra-classiques, le film manque de force et d'émotion, on ne s'attache pas aux personnages malgré tous les malheurs qui leur arrivent puis le fait que le personnage principal soit quasi-muet n'aide pas même si dans certains cas les silences sont plus forts que les mots, mais pas ici. Je m'attendais à mieux de la part de Fatih Akin, car au final, le film ne décolle jamais, c'est long sans surprise et assez ennuyeux.
    elriad
    elriad

    430 abonnés 1 858 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mai 2015
    bien sûr ceux qui connaissent l’œuvre ambitieuse de Fatih Akin, ( "Head on" , "de l'autre côté", pour n'en citer que deux) peuvent regretter cette sorte de classicisme et de distanciation avec "The Cut". Car il faut bien le reconnaître, la grande Histoire n'est ici que pour mettre en valeur la petite. Le terrible génocide Arménien n'est que survolé pour servir la quête acharnée de ce père pour retrouver ses deux filles. Et c'est vrai que l'on peut se demander si le réalisateur parfois n'a pas craint de s'affronter avec ce que les Turcs ont toujours refusé de reconnaître. Alors on découvre malgré tout qu'un génocide est un génocide, qu'il soit juif ou arménien, avec son bouleversant lot de rafles, de déportation, d’exploitation et d'extermination. et en ce sens le film, à l'heure de la commémoration du centenaire de cette tragique époque, trouve son écho. Mais devant la position autiste de la Turquie face à son passé, on aurait aimé un peu plus de courage et de fond de la part d'un réalisateur qui nous a pourtant toujours offert un vrai regard et une belle profondeur dans son cinéma du peuple turc déraciné en Allemagne. Au lieu de cela, on assiste à un mélo à la Russel Crowe dans "la promesse d'une vie" et cela, de la part de Fatih Akin, est bien regrettable...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 2 mars 2015
    Qu'est-ce que nous fait Fatih Akin ? On sent l'ossature dramaturgique pesante à chaque réplique, ne donnant que du vent à jouer à ses acteurs, qui piétinent en tentant vainement d’être le reflet d'un point de vue, absent, celui de son auteur.
    Daniel C.
    Daniel C.

    145 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2015
    Que le héros de cette histoire se retrouve muet après le génocide arménien est une belle métaphore des événements de 1915. Qu'un turc allemand s'associe à un américano-arménien est un formidable projet. Ce qui m'a troublé au cours du film, c'est que Tahar Rahim, alias Nazareth Manoogian, se voit parfois traité de "juif", alors qu'il joue le rôle d'un arménien, atteste de l'absurdité des préjugés racistes, antisémites ou prônant telle ou telle religion. La traversée de cet homme pour tenter de retrouver ses filles jumelles est une véritable odyssée. Il rencontre la solidarité entre arméniens, survit grâce aux hallucinations auditives, qui l'extraient d'états comateux, durant lesquels il pourrait mourir : il entend ses proches l'appeler, le ramener à la vie. Voici un film émouvant, qui vient dire l'absurdité des rivalités religieuses, ethniques, communautaristes.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 février 2015
    The Cut s'empare de l'un des sujets les plus difficiles de notre temps, le génocide Arménien. Si on regrette une reconstitution qui fait les frais d'un budget serré, on est tout de même plongé dans une histoire très dure, un véritable chemin de croix. A voir sans hésiter.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 février 2015
    J'ai voulu voir ce film avec une amie arménienne ; très beau film, quelques images très dures, paysages magnifiques. Nous avons adoré ce récit de bout en bout.
    Guiciné
    Guiciné

    161 abonnés 1 240 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2015
    Un beau film où hélas le scénario n'arrive pas à se renouveler, c'est dommage car la tenue générale est intéressante, mais il m'a manqué de la chaleur et de la force pour que je sois totalement conquis. A voir quand même.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 janvier 2015
    Film bizarrement très peu diffusé en salles alors qu'il aborde un sujet très complexe avec intelligence. Si la trame du film porte sur le génocide arménien, il ne faut pas céder à l'imminence du centenaire de ce terrible évènement pour réduire le film à ce sujet. Fatih Akin choisit de prendre de recul et d'éclairer le génocide arménien d'un autre évènement tragique et qui a également ses controverses historiques et politiques, celui du massacre des Indiens d'Amérique. Pour moi la volonté d'Akin de dresser un parallèle entre ces deux histoires transparaît dans la scène de viol dont est témoin le personnage principal Nazareth (interprété par un grand Tahar Rahim) lorsqu'il se trouve aux Etats Unis à la recherche de ses filles. Commis par un Américain sur une Indienne, ce crime réveille le traumatisme de celui auquel Nazareth avait assisté lorsqu'un soldat ottoman s'était jeté sur une Arménienne. Fatih Akin parvient ainsi à universaliser sa critique des peuples qui en arrivent à nier l'humanité d'un autre, les forçant à se déplacer, si ce n'est à les déporter. Ce n'est donc pas un documentaire et je trouve donc dommage d'avoir voulu afficher des dates alors que l'approche est thématique, universelle et non chronologique.
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2015
    Le réalisateur allemand d'origine turque, Fatih Akin, a signé des chefs d’œuvre : "Head On" et "De l'autre côté" comptent parmi les meilleurs films des années 2000.
    Je suis allé voir "The cut" sur la seule foi du nom de son auteur. Bien mal m'en a pris.
    Car son scénario platement chronologique n'a rien à voir avec ceux de ses précédents films.
    Il s'agit d'une superproduction hollywoodienne sur le génocide arménien. Le film suit les pas de Nazaret, un artisan capturé par les forces ottomanes, laissé pour mort au bord d'une fosse commune qui part à la recherche de sa famille depuis les camps de réfugiés de Syrie jusqu'aux États Unis en passant par le Liban et Cuba.
    Tahar Ramin démontre dans le rôle principal son talent avec abnégation : muet la moitié du film, tout son jeu passe par le regard.
    Mais l'académisme pompier de la mise en scène limite l'ambition de "The cut" à une pesante illustration pour Dossiers de l'écran
    islander29
    islander29

    859 abonnés 2 353 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 janvier 2015
    le film dont le titre évoque les gorges tranchées d'arméniens, (mais aussi une séparation) a un scénario trop peu politisé à mon gout.....Il en découle que le scénario tient en deux lignes, un père part en quête de ces deux filles enlevées lors du génocide arménien.....Ne vous attendez pas à des images choc, ou à un procès sans appel du génocide.....Le film ressemble plus à America, America de Kazan ,( en beaucoup moins génial) avec de belles images de désert, quand même longuettes à la longue, car cela prend presque 70 minutes avant que les choses ne se précisent, d'ailleurs j'ai trouvé la seconde partie à Cuba et à Minneapolis beaucoup plus "Akinienne" que tout le début du film, qui malgré sa beauté manque d'âme et de caractère.....Le jeu de Tahar Rahim est magnifique et montre sa faculté d'adaptation à des sujets totalement différents.....La musique est souvent hors sujet quant à elle.....Le film est beau indéniablement, mais il a un énorme défaut à mes yeux, il aurait pu être tourné par n''importe qui.....Ce qui m'amène à me poser une question, quel est le producteur de ce film, cela sent un peu le détournement de talent, je pense que la France n'est pas innocente......Oublié Soul Kitchen,, de l'autre côté, l'effervescence germano turque, le film sombre dans l'académisme (je répète quand même qu'il est beau) et voila encore un metteur en scène détourné de son génie ( je pense aussi à Innaritu, à Park Chan Wook) par des sociétés de production en mal de conformisme (lire les critères européens de cinéma)....J'en soupire hélas, même si j'ai aimé le film......
    LBDC
    LBDC

    104 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2015
    (...) Lorsque la salle de cinéma devient sombre et que la lumière se projette sur le grand écran, il y a cette voix off qui ouvre The Cut : « Il y a bien longtemps… ». Tels un conte, une épopée, l’histoire devient témoignage historique. Enfin, c’est ce que le cinéaste essaie de faire. Le réalisateur allemand d’origine turque Fatih Akin, nous embarque dès l’ouverture, vers une œuvre qui se veut réaliste. Manque irrémédiablement, ce supplément d’âme, cette patte subjective.

    Ce film est le plus ambitieux, le plus audacieux, mais aussi le plus cher de sa carrière. Le réalisateur ose parler d’un sujet aussi délicat qu’est le génocide arménien et lui donne une dimension moderne, faisant écho aux événements actuels. Malgré l’élégance des images, The Cut manque cruellement d’épaisseur. Troisième film d’une trilogie ayant pour thème l’amour (Head On), la mort (De l’autre côté), ce long-métrage invoque le diable. Allusive, l’allégorie au démon se dévoile sous des apparitions au héros, des cauchemars, des penchants légers vers le mal. Règne, tout au long de la projection, cette peur de succomber, de pécher, de perdre foi en Dieu et la vie.

    The Cut, c’est l’histoire d’un survivant sur le point de mourir à chaque fois, tiraillé par cette « faim d’amour », affaibli par la famine, la douleur et l’épuisement. Celui qui porte le nom de la ville sainte, se bat sans relâche pour ne pas céder au désespoir. Fatih Akin filme la cruauté insoutenable. Sur ce territoire impitoyable, parfois, la fraternité existe face à l’horreur. Le récit est d’ailleurs fondé sur cet amour de l’autre, cette générosité. Cette humanité. Si Nazareth n’avait pas rencontré Mehmet, un soldat turc, il serait déjà mort. The Cut, c’est aussi une succession de rencontres (plus ou moins bonnes) menant le personnage principal vers son but (...

    le reste de notre opinion à propos de THE CUT, sur Le Blog du Cinéma
    ffred
    ffred

    1 692 abonnés 4 014 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 janvier 2015
    En 2010, Fatih Akin nous avait offert l'une des comédies les plus réjouissantes de l'année avec Soul Kitchen. Il nous revient aujourd'hui avec ce drame ayant pour toile de fond le génocide arménien par les turques en 1915. Malheureusement, à vouloir trop en faire, il passe complètement à côté de son sujet. L'histoire est pourtant forte et édifiante. Elle aurait eu besoin d'une mise en scène grandiose, si ce n'est virtuose, pour peindre la grande fresque que nous étions en droit d'attendre et pas cet académisme de carton pâte. On a beaucoup de mal à s'attacher au personnage principal, pourtant pas si mal interprété par Tahar Rahim dans un rôle quasi muet. Il lui arrive tous les malheurs du monde (et bien plus encore) mais on a du mal à ressentir un semblant de compassion ou d'empathie pour lui. L'ensemble est un brin trop manichéen et manque cruellement de puissance, de souffle épique et surtout d'émotion, qui ne pointera le bout de son nez qu'à la toute fin. Trop tard donc. Le réalisateur allemand d'origine turque, quitte l'Allemagne contemporaine pour quelque chose de certainement très sincère mais qui ne décolle jamais. C'est vraiment dommage car il y avait matière pour faire un grand film. A l'arrivée, on y croit pas une minute et on s'ennuie beaucoup. Et on ne fait qu'espérer que le calvaire de ce pauvre homme s'arrête très vite et le notre avec lui...
    Olso
    Olso

    13 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 janvier 2015
    Grosse déception : long, chiant et pas émouvant, scénario faiblard. Premier loupé dans la filmo de Fatih Akin, selon moi.
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