Derniers Avis : Des gens qui s'embrassent - Page 9

Il y a rarement eu pire ces dernières années. C’est simple, Des gens qui s’embrassent est synonyme de vide complet et cela dans tout ce qui fait un film. Rien n’est à sauver… Pathétique, tout simplement !

Des gens qui s’embrassent est une histoire de familles. Il y a de nombreuses références à la religion juive qui peuvent faire rater quelques allusions et blagues autour du sujet (à part celles avec le cochon…). Les histoires, les familles sont caricaturales. Les personnages sont bourrés de clichés. Tous les personnages sont sympathiques même si ils sont caricaturaux et sans profondeur. (Mais Des gens qui s’embrassent n’est pas un drame psychologique… Il s’agit d’une comédie). L’humour du film est en partie de l’autodérision. Et puis il y a quelques blagues simples mais très efficaces. La relation entre les deux frères est un des centres d’intéret du film. L’exubérance de l’un en opposition avec la simplicité de l’autre est détonnante. La réalisatrice, présente à l’avant première, a expliqué que deux ou trois anectodes du film étaient inspirés de son vécu.

Rien à dire sur le casting, Danielle Thompson sait choisir ses acteurs. La famille est composée du père Aron, qui perd la tête. Aron est joué par le merveilleux Ivry Giltis. Les deux frères sont joués par Kad Merad, exubérant et qui a besoin d’être aimé et Eric Elmosnino, sobre. Leurs femmes respectives sont Monica Bellucci complètement décalée et hors réalité et Valérie Bonneton que l’on voit en tout début de film. Leurs filles sont jouées par Clara Ponsot et la très jolie Lou De Laage.

Des gens qui s’embrassent est une histoire de familles. Il est sûr que tous les clichés et les caricatures du film vont déplaire à certains mais il suffit de se laisser emmener par l’ambiance sympathique du long métrage. Loin d’être la comédie de l’année, le film n’en reste pas moins un bon divertissement.

Pour son 5ème long métrage en tant que réalisatrice (toujours co-scénariste avec son fils Christopher) Danièle Thompson ne change rien à son style et à son cahier des charges à part, peut-être, une nouvelle bande de comédiens quasi tous de la très nouvelle génération. Encore un film choral donc (excepté son médiocre "Décalage horaire" en 2001), la réalisatrice se réabonne également à la description d'un groupe (une famille) soumis aux diktats des différences culturelles et sociales. On retrouve donc un casting hétéroclyte, entre Monica Bellucci toujours aussi glamour et Lou de Lâage (charmante) ou entre Kad Merad presque en contre-emploi et Max Boublil il y a plusieurs génération d'acteurs ; n'oublions pas Eric Elmosnino toujours impeccable, mais c'est surtout Ivry Gitlis, célèbre violoniste israëlien de 90 ans qui casse la baraque, le grand-père monopolise les meilleures scènes du film allaint humour et émotion de façon assez magnifique. Le problème du film tient bizarrement à ce qui fait généralement la qualité des films signés Thompson... Le scénario et les dialogues sont rarement de haut vol. Les dialogues surtout tournent en rond notamment dans les face à face entre frangins. Le côté comédie à l'italienne (tragi-comédie mixant farce au drame) est simplement râtée, jamais Danièle Thompson ne trouve un juste milieu au genre. Quelques bonnes idées mais perdues dans une histoire basique et pas assez pimentée. Heureusement il y a les charmes féminins et un grand-père qui vaut le détour presque à lui seul.

Film bien divertissant, bien rythmé, amusant, situations bien vues.
On passe un bon moment.
Toutefois on est dans le milieu des gens très très aisés, donc cela en devient agaçant au final (saint tropez, yacht, environnement de luxe etc...).

Très bon film à tous niveaux ! Très bon moment de détente avec des personnages et des situations bien vus.

Prenez une réalisatrice de navets, de mauvais acteurs qui- de plus- n'ont rien à faire ensemble (à part venir chercher un peu d'oseille) et vous obtenez; "des gens qui s'embrassent" (et qui nous emmerdent). Si, au moins, ils se refilaient un Heprès bubonique en s'embrassant, on pourrait au moins rire un peu. Là, c'est juste à pleurer ! Et pourquoi Elmosnino est-il si laid ? il joue toujours Gainsbourg où il a essayé d'arrêter un TGV avec sa face de rat d'égoût ? Il manque quelques (autres) acteurs minables pour finir le boulot: Triste-Offeur Tome Sonne, Matthieu à mal rique et Francis Munster. Par contre, au niveau Scénar., rien à redire: plus nul, tumeur (du cerveau et des pupilles !!! Elle commence à nous saouler la vioque avec ses misérables films "chorales" (il suffit de regarder les critiques spectateurs sur sa « filmographie » : « Des calages Horreur, « Faux z’oeuil d’or caisse », « L’œufs coda champs j’ai » et maintenant « Déjantés s’embrasent » : Que de la daube ! Elle aurait dû savoir arrêter après « Labe Huche ». A 71 ans, comme Patrice Leconte et ses derniers navets, elle devrait partir en retraite et arrêter de vomir ainsi sur la pellicule et les écrans.

Ce film en forme de comédie romantique anglo-saxonne, sent la naphtaline et le vieux navet. Avec de vieilles recettes, toutes éventées, sur un scénario affligeant, filmé comme votre dernier film de vacances, la réalisatrice qu'on a connue jadis plus percutante, nous inflige un des pires films de distraction de l'année. On ne retiendra, s'il faut repêcher quelque chose de positif dans ce naufrage, que
la prestation sympathique de Gitlis, le charme de Lou de Laâge et la confirmation du talent d'Elmosnino, même quand il est mal dirigé.

Un sous-navet !
Comment est-ce possible qu'on laisse Danielle Thompson sortir un scénario que n'oserait commettre aucun étudiant en 1ère année de cinéma... Avec des dialogues qui respirent la niaiserie à tous les étages! TOUT EST MAUVAIS DANS CE FILM : le casting incongru ( excepté la jeune fille qui se marie - la fille de Kad Merad). Max Bloubil si mal utilisé à contre-emploi : ravageur ! Le pire choix de casting va à Eric Elmosnino qui était si convaincant dans d'autres films (Gainsbourg, etc.) Mais que pouvait-il faire face à un scénario qui le force à demander à sa femme d'aller lui chercher une sandwich au pastrami pour entraîner sa mort et faire rebondir l'intrigue par la même occasion ?
Quand on a des acteurs de cette trempe et de ce renom, on leur doit un film décent, un minimum "travaillé" où leur talent pourra s'épanouir; mais peut-être au fond que la seule raison d'exister de ce projet n'est que l'argent; tout n'est plus alors qu'une question de gros chèque pour payer des arriérés d'impôt ou sa villa secondaire sur le dos des spectateurs...

En sortant de la salle, en colère comme je le suis rarement, je me suis dit que c'était -de loin- le plus mauvais film français vu cette année (et j'en vois !). On est en avril mais je suis certain qu'il sera encore en tête de liste à Noël.

Ce film n'est rien. Pas même le film de trop pour Daniel Thompson qui est maintenant une "old lady" laissant malheureusement son fils aux commandes scénaristiques. Le cinéma français est comme une rente que lui aurait laissé son père... L'on aimerait tellement que sa propre progéniture ait l'âme de feu monsieur Oury mais au lieu de cela, il ne reste qu'un énième film sur une famille juive (avec la dichotomie sociologique des grandes heures : les athées (parvenus forcément !) d'un côté, et les intellos (pratiquants forcément !) de l'autre. Mieux vaut aller voir du côté de la "Rue Mandar" pour trouver un long-métrage qui tiennent à peu près debout de ce côté-là.

Le plus triste, c'est que le battage médiatique aura sûrement raison du bon sens des spectateurs. Les premières semaines sont cruciales pour le succès d'un film en salle. Et je n'ai vu aucun commentateur télévisuel critiquer ce film et le placer à sa juste valeur, c'est-à-dire au rang des navets. Le bouche-à-oreille aura-t-il le temps de corriger ces aberrations? J'en doute...

2 questions s'imposent : 1) Qui pourrait empêcher la famille Thompson de sévir à nouveau ? 2) Après une telle Bérézina cinématographique, quel sera le producteur assez fou pour leur faire confiance ?
Eut égard aux services rendus du père Oury et à quelques films de Thomson qui se tenaient encore, nul doute que la grande famille du cinéma passera sûrement l'éponge. Mais combien de réalisateurs qui ont des choses à dire et un propos cinématographique à partager, ne pourront le faire faute de financement? Bien sûr, les vases communicants n'existent pas, toutefois on se prend à rêver à tous les films intéressants que l'on aurait pu produire en lieu et place de cette catastrophe.

Le film "Tati Danielle" de Chatiliez était donc prémonitoire...

Mauvais film, mauvais casting, aucun rire aucune émotion, un film formaté et aseptisé...
A eviter!!!

Superbe scénario, Lou dite Noga est attendrissante. On ne s'ennuie pas du tout et on en redemande. Le grand père est géantissime

Sur une idée originale de scénario, voici un film sympa, mais qui manque singulièrement de rythme. On a du mal à "monter dans le train", c'est un peu plat, bien que ne manquent pas les situations cocasses ou les quiproquos. Dommage que ce petit "je ne sais quoi de magique" soit absent : il aurait pu transformer ce film en un petit bijou. D'où ma note un peu moyenne. Mais que cela ne vous empêche pas d'aller le voir : vous passerez certainement un bon moment...

Honte aux critiques, et celui du Figaro qui l'a classé "Navet de la semaine" il devrait être condamné a en mangez toute la semaine.
Bien sur ce n'est pas le film pour intellectuel Bobo Parisien ou on s'enmerde a qui peut mieux, ce n'est qu'un film Francais de divertissement bien utile dans cette France d'avril ou le moral est dans les chaussettes.
Les seuls critiques valables, les Cochons de payant dans cette salle pleine du mercredi apres-midi ont beaucoup ri, apprécié, applaudit, c'est ce qu'ils attendaient, de bons acteurs qui jouent leur rôle; Monica Bellucci en ravissante idiote, Gad et Elmosino en fréres ennemis qui s'adorent, trois ravissante jeunettes dans leur rôle, Ivry Giltis en acteur inattendu, bref un bon moment a passer pour oublier ses ennuis, c'est un bon film familial MMe Thomson and Co, redonnez nous en des souvenir du Maxim's d'il y a 20 ans, Merci

Résumé: une multitude de personnages brouillons s'agitent avec tous les clichés nombrilistes et désuets du milieu bourgeois parisien. On se prend à regretter les films de Pierre Richard.
Bref, nanar de plus pour Miss Thomson ! De toutes façons, quoi qu'elle fasse, elle est sûre d'avoir son canapé rouge ainsi que la bénédiction de quelques médias bienveillants qui encensent ses films sans les avoir vus. Pourquoi s'en priver ?
Sur 11 personnes (j'ai compté), cinq ont quitté la salle.
En somme...."Des gens qui détestent et qui partent"... me parait plus adapté !

C'est beau Saint Tropez et les yachts.....Mais c'est un autre monde....Le film est une comédie sociale dans un milieu qui me semble assez bourgeois.....
Disputes entre deux frères que tout sépare, l'un artiste musicien et l'autre plutot homme d'affaires, et histoire d'amour avec un homme qui se marie en étant amoureux de la cousine de son épouse...
Le film est en trois temps, l'enterrement, Saint Tropez et l'anniversaire à Paris....A chaque fois ce sont des réunions de famille plus ou moins droles, souvent acerbes et dont les dialogues rythmés traduisent le mal être de ces gens,leur facéties, leurs déchirements ou leurs amours...
La scène de l'hopital où Ivri Gitlis (le père de Kad Merad) se fait masser de façon plus que sensuelle par une sophrologue, est un régal d'équivoque...
Techniquement c'est bien fait, avec de belles phortographies de saint tropez et Paris (un peu New york) et une partition musicale assez rare mais riche.....
Côté acteurs, pas de déception même si entendre kad Merad chanter Sinatra demande un certain courage....(c'est sans doute de l'humour....)......Monica Belluci a toujours autant de rondeurs et de charme et joue de son accent italien.....
Le tout est une comédie entrainante et rythmée,presqu'intelligente,(facile à écrire je n'en ferais pas autant) qui se suit avec plaisir et apporte une certaine bonne humeur....J'ai aimé...

La toute première séquence de "Des gens qui s'embrassent" (un générique-concert plutôt élégant) ne laisse pas présager la platitude révoltante qui va suivre pendant 1h40. Car le scénario qu'ont pondu les Thompson (mère et fils) est absolument spoiler: suite sur Plog Magazine, les Critiques des Ours (lien ci-contre)