Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Ma Meilleure amie est un grand huit émotionnel où l’on rit (beaucoup), on s’émeut (énormément), on s’indigne (forcément). On sort de là les yeux humides et le cœur chamboulé. Mais cela fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
CNews
par La Rédaction
Comédie dramatique sur les coups du sort, "Ma meilleure amie" déroule un récit déchirant porté par deux actrices au diapason. La mise en scène élégante de Catherine Hardwicke, réalisatrice des "Seigneurs de Dogtown" et de "Twilight – Chapitre 1 : fascination", ne gâche rien.
Le Monde
par Noémie Luciani
Plus cruel qu’on ne pouvait s’y attendre, et plus fort, ce mélo entre rire noir et fleuves de larmes est un terrain de jeu exceptionnel pour deux actrices d’exception.
Public
par Florence Roman
Ce film qui vous fait rire et pleurer est un formidable hommage rendu à toutes celles qui combattent le cancer du sein.
aVoir-aLire.com
par Renée Kerdavid
Abouti malgré son thème casse-gueule, "Ma Meilleure Amie" se distingue par son énergie, cette vitalité qui s’affranchit des contingences du mal-être physique et nous invite à une belle réflexion sur la vie, particulièrement humaine et touchante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Christophe Carrière
Parce que c'est monté très rythmé, le film fonctionne bien, mais rien n'est tellement nouveau.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Pour les demi-teintes et la mélancolie, on repassera. En attendant, malgré ses gros sabots, le film atteint son but : émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La réalisatrice américaine ne se voile pas la face et montre la réalité des situations sans glisser dans la complaisance, la provocation ou le jugement, alternant avec justesse tragédie et comédie. Parce que le film célèbre d’abord la vie, l’émotion surgit au moment où on s’y attend le moins.
Le Parisien
par Alain Grasset
Si la première partie de cette tragi-comédie, réalisée par Catherine Hardwicke, auteure du premier "Twilight" est réussie, la suite est marquée par des scènes répétitives, voire clichées. L'ensemble reste émouvant grâce à Drew Barrymore et Toni Collette, remarquables de justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Une mise en scène classique sauvée par un scénario drôle et poignant, porté par les talentueuses Drew Barrymore et Toni Collette.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Ce mélo touche néanmoins, grâce à Toni Collette et Drew Barrymore, et à cette façon d'oser la légèreté dans les moments graves.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Difficile, avec un tel sujet, de ne pas tomber dans le mélo larmoyant. Catherine Hardwicke contourne cet écueil en mélangeant subtilement rires et émotion avec une énergie de chaque instant. Et offre au duo formé par Toni Collette et Drew Barrymore l'occasion de livrer de belles prestations.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un mélodrame pas vraiment convaincant, qui ne réussit pas toujours à éviter les pièges de la sensiblerie tout en ayant du mal à susciter l’émotion.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Une dramédie peu inspirée. De la crise ado de son premier film Thirteen à cette middle-crisis là, il n'y avait qu'un pas: Catherine Hadrwicke l'a manqué.
Libération
par Clémentine Gallot
Adaptation sans mièvrerie édulcorée d’une pièce radiophonique, "Goodbye", le récit peine toutefois à s’extraire des conventions pesantes du «cancer movie» le plus larmoyant.
Metro
par Marilyne Letertre
L’une comme l’autre sont irréprochables mais l’absence de nuances de la mise en scène et les stéréotypes scénaristiques plombent chacune de leurs tentatives.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un mélo superficiel avec une Drew Barrymore bien trop absente pour nous arracher des larmes. Le film ose néanmoins quelques moments féministes assez osés pour ce genre de production.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un sommet d’indigence à l’attention du public féminin dont la sortie la veille de la Fête du Cinéma et en plein Euro de Foot – pour divertir ces dames quand leurs conjoints sont devant le match – résume bien l’ambition putassière.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Pierre-Julien Marest
Même si la réalisatrice se vante d'avoir tourné deux scènes avec un iPhone 5, son mélo ressemble beaucoup trop à un soap opera des années 1980...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé 2 semaines
Ma Meilleure amie est un grand huit émotionnel où l’on rit (beaucoup), on s’émeut (énormément), on s’indigne (forcément). On sort de là les yeux humides et le cœur chamboulé. Mais cela fait un bien fou.
CNews
Comédie dramatique sur les coups du sort, "Ma meilleure amie" déroule un récit déchirant porté par deux actrices au diapason. La mise en scène élégante de Catherine Hardwicke, réalisatrice des "Seigneurs de Dogtown" et de "Twilight – Chapitre 1 : fascination", ne gâche rien.
Le Monde
Plus cruel qu’on ne pouvait s’y attendre, et plus fort, ce mélo entre rire noir et fleuves de larmes est un terrain de jeu exceptionnel pour deux actrices d’exception.
Public
Ce film qui vous fait rire et pleurer est un formidable hommage rendu à toutes celles qui combattent le cancer du sein.
aVoir-aLire.com
Abouti malgré son thème casse-gueule, "Ma Meilleure Amie" se distingue par son énergie, cette vitalité qui s’affranchit des contingences du mal-être physique et nous invite à une belle réflexion sur la vie, particulièrement humaine et touchante.
L'Express
Parce que c'est monté très rythmé, le film fonctionne bien, mais rien n'est tellement nouveau.
L'Humanité
Pour les demi-teintes et la mélancolie, on repassera. En attendant, malgré ses gros sabots, le film atteint son but : émouvoir.
Le Journal du Dimanche
La réalisatrice américaine ne se voile pas la face et montre la réalité des situations sans glisser dans la complaisance, la provocation ou le jugement, alternant avec justesse tragédie et comédie. Parce que le film célèbre d’abord la vie, l’émotion surgit au moment où on s’y attend le moins.
Le Parisien
Si la première partie de cette tragi-comédie, réalisée par Catherine Hardwicke, auteure du premier "Twilight" est réussie, la suite est marquée par des scènes répétitives, voire clichées. L'ensemble reste émouvant grâce à Drew Barrymore et Toni Collette, remarquables de justesse.
Les Fiches du Cinéma
Une mise en scène classique sauvée par un scénario drôle et poignant, porté par les talentueuses Drew Barrymore et Toni Collette.
Studio Ciné Live
Ce mélo touche néanmoins, grâce à Toni Collette et Drew Barrymore, et à cette façon d'oser la légèreté dans les moments graves.
Télé 7 Jours
Difficile, avec un tel sujet, de ne pas tomber dans le mélo larmoyant. Catherine Hardwicke contourne cet écueil en mélangeant subtilement rires et émotion avec une énergie de chaque instant. Et offre au duo formé par Toni Collette et Drew Barrymore l'occasion de livrer de belles prestations.
Le Dauphiné Libéré
Un mélodrame pas vraiment convaincant, qui ne réussit pas toujours à éviter les pièges de la sensiblerie tout en ayant du mal à susciter l’émotion.
Les Inrockuptibles
Une dramédie peu inspirée. De la crise ado de son premier film Thirteen à cette middle-crisis là, il n'y avait qu'un pas: Catherine Hadrwicke l'a manqué.
Libération
Adaptation sans mièvrerie édulcorée d’une pièce radiophonique, "Goodbye", le récit peine toutefois à s’extraire des conventions pesantes du «cancer movie» le plus larmoyant.
Metro
L’une comme l’autre sont irréprochables mais l’absence de nuances de la mise en scène et les stéréotypes scénaristiques plombent chacune de leurs tentatives.
Ouest France
Un mélo superficiel avec une Drew Barrymore bien trop absente pour nous arracher des larmes. Le film ose néanmoins quelques moments féministes assez osés pour ce genre de production.
L'Obs
Un sommet d’indigence à l’attention du public féminin dont la sortie la veille de la Fête du Cinéma et en plein Euro de Foot – pour divertir ces dames quand leurs conjoints sont devant le match – résume bien l’ambition putassière.
Télérama
Même si la réalisatrice se vante d'avoir tourné deux scènes avec un iPhone 5, son mélo ressemble beaucoup trop à un soap opera des années 1980...