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Truman.
233 abonnés
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2,0
Publiée le 27 mai 2013
Remake copié collé sans intérêt , le personnage de Tony est joué par un ado c'est ridicule et absolument pas crédible , la ou dans l'original on avait un personnage sombre déjante et complètement barré , l'ambiance sombre de l'original a complètement disparu c'est d'une banalité déconcertante . Aucune originalité ce remake n'ajoute strictement rien de neuf . Notons que le réal a utilisé uniquement de la musique électro pour la bande son , ridicule et lourd . Tournez vous plutôt sur le film original et ses deux suites ( Pusher de Nicolas Winding Refn )
Pusher est un film dynamique,assez plaisant qui fait très bonne figure face à d'autres films du genre. Si ce film n'avait pas été un remake, il serait assez réussi mais voilà si on le compare à l'excellente version de Widing refn alors ce remake semble tombé bien bas...
Un très bon thriller! Les acteurs sont excellents, le scénario est bien mené, l'histoire est haletante. On est tenus en haleine jusqu'à la dernière seconde, et on suit avec émotion le personnage dans le cercle vicieux de la drogue.
Quel étrange remake. En effet, on y retrouve plus de références au film Drive qu'au premier Pusher. Que ce soit visuellement ou musicalement (puisque la musique électronique est présente du début jusqu'à la fin)... Ne parlons même pas des nombreuses scènes en voiture, clins d'oeil appuyés et lourds au dernier film de Nicolas Winding Refn. Ce Pusher est du sous Refn sur toute la ligne. Le réalisateur semble avoir préféré la superficialité à l'authenticité, alors que c'était ce qui avait fait le succès de la trilogie danoise. En ce qui concerne les acteurs, ils ne sont pas particulièrement mauvais, mais ils souffrent de la comparaison avec les acteurs de la version originale. Quant à Zlatko Buric, qui interprétait déjà le même rôle dans le Pusher de Nicolas Winding Refn, rien à dire sur sa prestation, en bien ou en mal, puisqu'il n'apporte rien de différent. Au final, ce remake de Pusher est assez médiocre...Terme que l'on peut d'ailleurs appliquer à tout ce qui concerne le film, y compris la prestation du mannequin Agyness Deyn, qu'on voit nue, ce qui n'était pas utile... Comme le film en lui-même, finalement.
Mouais, je n'ai pas vu l'original, mais j'ai trouvé le film de plus en plus prenant pour être cassé par une fin balancée comme ça, à l'arrache...dommage.
Frank passe son temps à se défoncer et à dealer à une échelle plutôt modeste, accompagné de son fidèle pote Tony, sympa mais pas vraiment nanti d'un cerveau haut de gamme (il serait plutôt abonné au haut de gramme !). Déjà endetté auprès de l'inquiétant Milo, grossiste en came nettement plus proche du gangstérisme organisé que de l'amateurisme, Frank lui « emprunte » une importante dose de stupéfiants, et investit à côté de cela tout son pactole, afin de se remettre à niveau. Mais ses plans virent totalement à la catastrophe... et on ne badine pas avec Milo !
Les fans de Nicolas Winding Refn connaissent cette histoire sur le bout des doigts, vu qu'elle constitue la base de sa foudroyante trilogie "Pusher". Ici adapté à la sauce anglaise, et adoubé par Winding Refn (producteur exécutif), ce remake ne tente pas le grand écart et revisite avec énergie, mais sans véritablement trouver sa personnalité, l'oeuvre originelle. Le résultat n'est pas fondamentalement mauvais, mais ne possède pas la fulgurance du travail de Refn, nettement plus brut de décoffrage. Autre point faible: si Richard Coyle remplace assez honnêtement Kim Bodnia dans le rôle de Frank, Bronson Webb (Tony) n'arrive pas à la cheville de Mads Mikkelsen. Par contre, Zlatko Buric reprend de manière jouissive la pelisse Milo.
D'accord, Coyle est bien. La musique se laisse entendre dans une ambiance british des milieux de la poudre. Le reste laisse à désirer. Le message du film tourne finalement autour de l'art d'aimer (dernière scène du film).
Sorti il y a déjà seize ans, Pusher mettait en scène un dealer de pacotille se la jouant apprenti gangster mais, comme la grenouille se voulant aussi grosse que le bœuf, va peu à peu sombrer dans une succession de problèmes tous plus dangereux les uns que les autres. Un remake était forcément obligatoire, mais le plus surprenant vient non seulement du fait qu'il soit anglais mais aussi que Nicolas Winding Refn, réalisateur du film original, en soit ici le producteur... On se demandera pourquoi le réalisateur danois s'est impliqué dans cette idiotie, peut-être pour être sûr de ne pas voir son bébé être massacré à la sauce anglaise bien que la théorie du cachet supplémentaire soit plus logique. Ainsi, ce remake reprend à l'exactitude les mêmes séquences, les mêmes dialogues et les mêmes noms, ne changeant au final que certains lieux comme par exemple la visite chez le junkie (devenu un vieux gérant de boutique minable), la transaction entre Franck et sa mule se déroulant désormais dans un bar au lieu d'une voiture ou encore le fameux "braquage" dans la salle de sport, ici transposée dans un simple appartement. Rien de neuf à l'horizon donc, pas une seule once d'originalité, chose plutôt regrettable venant d'un film britannique qui aurait pu remodeler certaines séquences à la sauce anglaise. Que dalle, le réalisateur espagnol Luis Prieto se calquant au maximum sur le précédent film sans jamais oser quoique ce soit d'inédit. De plus, l'interprétation ne vaut hélas jamais les acteurs originaux (en particulier Richard Coyle, qui campe le rôle principal), sauf peut-être pour le magnifique mannequin Agyness Deyn, touchante en pute amoureuse, et Zlatko Burić qui reprend son rôle de Milo avec une certaine malice mêlée à une forme d'originalité pas très utile mais néanmoins rigolote. La palme revient au jeune Bronson Webb, peinant fortement à égaler le naturel de Mads Mikkelsen. Bref, Pusher version british n'apporte rien de plus à son prédécesseur, ne faisant au final que surélever l'original et prouvant une fois de plus qu'il y a certains films qui ne méritent pas de remakes, surtout lorsqu'ils sont réalisés par des yes-man sans talent et interprétés par des acteurs peu convaincants.
Un bon remake tiré du film culte et époustouflant de Nicolas Winding Refn, (son premier d’ailleurs). C’est la même histoire, la même efficacité en terme d’histoire, et presque les mêmes décors. Néanmoins on a des dialogues distincts, des acteurs totalement différents (sans compter le vieux mafieux), sans oublier la qualité d’image. Sympathique, et marquant, Pusher se révèle comme étant un très bon film. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 4/5
4 707 abonnés
18 103 critiques
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0,5
Publiée le 22 novembre 2020
Bien qu'il n'y ait rien de grave dans ce film il s'agit cependant d'un remake inutile d'un produit déjà mauvais le film Pusher de Nicolas Winding Refn. En fait le seul but du film est d'encaisser le nom du producteur exécutif et de son travail antérieur. Les performances de la plupart des acteurs étaient adéquates mais je conseille à toute personne intéressée par les thèmes et concepts explorés dans ce remake sous-standard de regarder l'original qui même s'il est mauvais (enfin pour moi) il reste de meilleure qualité que cette version. Cela dit il était bon de voir Zlatko Buric dans un rôle dans ce film...
Pusher est un remake du film du même nom dont l'original a été réalisé par Refn,celui de Luis Preto reprend les mêmes dialogues mais change la réalisation pour donner quelque chose de plus psychédélique et pamphlétaire contrairement a l'original qui fessait très dans le documentaire hard ce qui donne un excellent résultat,en plus la bande original favorise cette immersion(orchestré par Orbital),En fin pour finir les acteurs qui interprètent tous très bien leur rôle,effectivement Richard Coyle augmente ce sentiment d'empathie et interprète très bien le rôle du faible qui n'a pas un mauvais fond mieux que Kim Bodnia