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    Rebecca
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    didier g.
    didier g.

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 octobre 2020
    la comparaison avec la version alfred Hichcock est difficile à faire, les deux versions n'ont rien à voir entres elles mais celle ci se regarde agréablement on passe un beau petit moment de télévision même si le début un peu long à mon goût est un peu trop à l'eau de rose trés bonne prestation de Kristin Scott Thomas
    Redzing
    Redzing

    1 118 abonnés 4 470 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 novembre 2020
    Certes, ce "Rebecca" version 2020 n'est pas censé être le remake du film éponyme de 1940 d'Alfred Hitchock. Il est vendu comme une réadaptation du roman original. Malgré cela, les intrigues et les dialogues entre les deux films sont tellement similaires, qu'il est difficile de ne pas les comparer, ne serait-ce qu'en anticipant les grands rebondissements. On y retrouve ainsi la même histoire : une jeune femme inexpérimentée est séduite par un veuf fringant. Après l'avoir épousé, elle arrive à son manoir où elle aura du mal à trouver sa place, notamment à cause du spectre de la défunte épouse. Cette version 2020 se veut sage, et n'atteint ni la subtilité ni la maîtrise de la version de 1940, qui ménageait des séquences malaisantes voire horrifiques, et un dernier acte particulièrement riche en suspense. Ici, on est cependant davantage dans un drame de couple. L'histoire d'amour entre les protagonistes est plus crédible, Armie Hammer fait preuve de moins de froideur et de plus de sensibilité que ne le faisait Laurence Oliver. Lily James a en revanche tendance à surjouer la cruche dépassée, ce qui est un peu dommage. Et si le personnage de Kristin Scott Thomas est plus caricatural que celui de la version de 1940, son ombre presque maléfique fonctionne bien. Un certain soin est également apporté dans les décors intérieurs et extérieurs. Certaines images sont gâchées par du trop numérique, mais globalement les visuels du manoir sont bien utilisés. Et l'intrigue, intemporelle, mais toujours son effet aujourd'hui. Sans atteindre son modèle inavoué, "Rebecca" est donc une réadaptation tout à fait correcte, qui permettra peut-être à certains de (re)découvrir le classique de Hitchcock.
    Yves G.
    Yves G.

    1 461 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2021
    Une jeune femme désargentée (Lily James) - dont on ne saura jamais le nom - travaille comme dame de compagnie d'une riche rombière en villégiature sur la Côte d'Azur. Elle y fait la connaissance du très séduisant Maxim de Winter (Armie Hammer) qui lui demande sa main. Le couple retourne s'installer à Manderley, la grande demeure familiale en Cornouailles, hantée par le fantôme de la première Mrs de Winter, morte dans de troubles circonstances, dont la gouvernante, Mrs Danvers (Kristin Scott Thomas), entretient maladivement le souvenir.

    Quand j'étais gamin, à la fin des années soixante-dix, j'ai vu à la télévision, en noir et blanc, la mini-série en quatre épisodes que la BBC avait tiré du roman de Daphné du Maurier. J'en ai gardé un souvenir précis et terrifié. Je me souviens de l'apparition de la nouvelle Mrs de Winter en haut des marches le soir du bal. Je me souviens de l'épave du bateau découverte près de la côte par quelques mètres de fond. je me souviens de la vision d'enfer du dernier plan de l'œuvre.

    Ce n'est que quelques années plus tard que j'ai vu le film de Hitchcock - qui lui valut son seul et unique Oscar - et que j'ai lu le roman de Daphné du Maurier. J'avais grandi et n'y avais pas retrouvé la peur éprouvée à neuf ans devant la série de la BBC - que personne ne mentionne tant elle était certainement sans intérêt.

    Quatre-vingt ans après le roman et le film de Hitchcock, quarante après la série de la BBC (oubliée donc de tous sauf de moi), Netflix a lancé fin 2018 la production de ce remake. La plateforme a parié sur deux acteurs pleins d'avenir : Lily James, dont j'ai déjà dit dans ma critique de "The Dig" tout le bien que je pensais, et Armie Hammer, dont la carrière vient de se briser début 2021 sur les révélations glaçantes de quelques unes de ses ex. Mais le pari n'a pas réussi : accueilli par de fraiches critiques, le film n'a pas trouvé son public.

    Pourquoi ce remake ? Pour attirer les spectateurs qui, comme moi, ayant gardé un bon souvenir des premières versions, sont curieux de voir quelle adaptation on peut en faire aujourd'hui ? Mais le risque semble grand de les décevoir : la copie pourra-t-elle jamais dépasser l'original ? C'est hélas la tare prévisible de ce "Rebecca"-là. Ses décors ont beau être splendides, ses costumes luxueux, son scénario impeccable, tout y semble artificiel ; et quand bien même on y passerait un bon moment, on se dit qu'on en aurait passer un meilleur encore avec Hitchcock, Laurence Oliver et Joan Fontaine. 
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    689 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2021
    Rebecca version 2020 est l’exemple parfait du film que nombre de critiques lynchèrent avant même sa sortie pour la seule raison qu’il ose offrir à l’œuvre littéraire de Daphné du Maurier une nouvelle adaptation après celle réalisée par Alfred Hitchcock en 1940. Sacrilège ! Les puristes dressent le bûcher. Comment ?! Prétendre rivaliser avec le maître ?! Or, c’est justement là que réside l’intérêt principal du long métrage de Ben Weathley : être face à Hitchcock comme la demoiselle de compagnie vis-à-vis de l’inégalable Rebecca. Contre la sophistication, la simplicité ; contre la psychologie, le drame romantique teinté de gothique. Cette nouvelle mouture accentue la trajectoire identitaire du personnage principal qui, à terme, aura triomphé des spectres qui les hante, elle et son époux, pour trouver dans l’errance touristique autant de fenêtres ouvertes sur un ailleurs porteur de tous les possibles. Dans le mouvement réside l’amour véritable, celui qui échappe à la nostalgie douloureuse du manoir, de ses pièces gardées intactes, de son architecture qui, tel un coffre-fort, semble abriter un fantôme. Toutes les tentatives de la jeune femme pour ressembler à Mme de Winter échouent, ce qui la conduit, par réactions, à prendre conscience de son identité qu’elle circonscrit à mesure qu’elle heurte des murs. Le film a l’intelligence de s’ouvrir et de se refermer sur une figuration de la liberté sans attaches qui ne tient compte ni du passé, ni du présent, ni de la différence de classe sociale. Les acteurs s’avèrent ici fort convaincants, à commencer par le duo de tête : Lily James et Armie Hammer. En gouvernante diabolique, Kristin Scott Thomas trouve un rôle à sa hauteur, qu’elle campe avec une froideur teintée de douleur, celle d’un deuil impossible. Rebecca n’est certes pas un grand film mais ne mérite en rien la réception critique négative qu’il a reçue. Comme si convoquer Hitchcock et se cacher derrière lui constituait un gage de qualité intellectuelle ; ce n’est, dans le cas présent, qu’un aveu involontaire de cécité.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 février 2021
    Nombreux sont ceux qui ont d’emblée crié au sacrilège. Netflix qui s’apprête à retoucher un roman légendaire, déjà porté à l’écran d’une non moins légendaire façon par Alfred Hitchcock en 1940, et qui confie le travail à un cinéaste de genre aux réalisations controversées et qui, surtout, n’avait pas la moindre expérience dans la manipulation d’un Classique de cette envergure. Pourtant, autant il serait vain d’établir une comparaison entre deux films distants de huit décennies, autant la nouvelle version n’est pas à dédaigner si seulement on veut bien concevoir l’idée qu’il s’agit d’une nouvelle interprétation du livre de Daphné du Maurier et pas d’un remake du film de Sir Alfred. Dans le cas contraire, le jugement serait sans appel : Lily James, pourtant plutôt juste, ne fait pas oublier Joan Fontaine, Armie Hammer et sa dégaine de jeune premier pimpant est loin du Barbe-Bleue en puissance qu’était Laurence Olivier, et même Manderley a troqué l’atmosphère de caveau rongé par les ombres de passé que le film de 1940 lui conférait pour un charme cosy de manoir de province Seule Kristin Scott Thomas se montre à la hauteur de la mémorable prestation de Judith Anderson. Pourtant, ce ‘Rebecca’ New Generation tente des choses : il s’efforce de s’adapter à un public millénial, pour le pire et pour le meilleur, et réussit un grand écart méritoire entre le respect de l’oeuvre et les nécessaires aménagements à destination de ce public peu friand d’implicite et peu susceptible de comprendre la psychologie et les normes d’un autre temps. Rappelons qu’il s’agit d’une histoire d’amour mortifère entre une jeune femme pas encore mûre sentimentalement et un homme plus âgé, qui l’empêche de s’épanouir sans réellement en avoir l’intention, tant les blessures de son mariage précédent sont encore vives. Il y a des choses qui n’étaient clairement pas envisageables en 1940 (et qui ne le sont apparemment toujours pas aujourd’hui, même si les raisons en sont sans doute différentes), comme faire du personnage principal un individu détestable : c’est encore une fois une faiblesse tourmentée qui caractérise Maxim de Winter, et le côté “Beautiful people’ du couple a sans doute guidé la nécessité de créer une fin ouverte à l’optimisme plus que suggéré. Mais d’autre choses ont disparu dans la foulée,comme faire de Manderley, en tant que réceptacle fantasmatique des non-dits et des regrets humains, le véritable pivot du film, plutôt qu’un banal ersatz du manoir Grantham de ‘Downton abbey'. Dans le même ordre d’idées, la noirceur définitive et pourtant toute en subtilité de la première adaptation est ici aux abonnés absents, et c’est bien regrettable, mais il faut sans doute se ranger à l’idée qu’on est à la fin des années 2010, âge d’or des snowflakes. Je crois pouvoir estimer que ‘Rebecca’ est une proposition tout à fait acceptable, qui devrait séduire les amateurs de films en costume d’époque, qui y trouveront peut-être même, qui sait, un scénario et des sujets de réflexion plus complexes que les habituels marivaudages sur fond de jardin anglais. Je le crois mais je n’en sais trop rien, en fait : pour moi, il est un peu trop tard pour découvrir et m’émerveiller et je ne saurais trop conseiller aux fans du premier film, à moins qu’il ne décident que la pesée du pour et du contre est un exercice qui mérite deux heures de leur temps, de se tenir à distance du remake, à moins qu’ils n’aient très envie de se mettre en colère ou, au mieux, de regretter le bon vieux temps, quand on savait encore faire des films sans tout devoir expliquer à gros traits.
    Julie L.
    Julie L.

    2 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2020
    Je m'attendais à un nanar à la Netflix mais j'ai été très agréablement surprise. Bien filmé, de bons acteurs...
    Pamolico - blog
    Pamolico - blog

    11 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 novembre 2020
    En lieu et place du mystère et de la chape de plomb qui pèse sur les personnages dans le roman de Daphne du Maurier, le Rebecca du Wheatley choisit le joli, soigne ses décors et sa photographie... Dommage que l'intellect du spectateur ne soit pas autant servi que ses yeux (plus d'infos sur le blog : https://pamolico.wordpress.com/2020/11/02/rebecca-ben-wheatley/)
    thor
    thor

    48 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2020
    Ce film n est pas trop mal,c est plutot difficile de chausser les souliers d Hitchcock.Les acteurs sont quand meme bons.L intrigue est bonne ,mais un film 1h 40 aurait été suffisant.Pour ce qui est du suspense ,Hitchcock n est pas en danger.
    rocky6
    rocky6

    30 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2020
    Un film à l'atmosphère envoûtante , filmé dans de magnifiques décors. L' histoire est prenante et le casting est au top. Kristin Scott Thomas est particulièrement impressionnante dans son rôle.
    AMCHI
    AMCHI

    5 814 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2020
    Ne pas oubliez qu'à la base Rebecca est un roman de Daphné du Maurier seulement la première adaptation est due à Alfred Hitchcock...donc difficile de lui succéder.
    La version de Hitchcock était beaucoup plus sombre voire sinistre, ce film est plus lumineux à l'image de Lily James qui incarne une charmante jeune femme à la fois timorée et très déterminée, Arnie Hammer joue un Lord Winter plein d'élégance, Kristin Scott Thomas est une bonne actrice mais elle a du mal à faire oublier Judith Anderson en Mrs. Danvers.
    La 2ème partie du film niveau intrigue, à moins que ma mémoire défaille, diffère du film de 1940, peut-être que cela se rapproche davantage du roman (que j'ai lu mais qui ne m'avait pas enthousiasmé et dont je me souviens de peu de chose, à part que Hitchcock m'avait semblé assez fidèle en l'adaptant).
    C'est bien réalisé, avec soin par contre j'ai eu plus l'impression de regarder un téléfilm de qualité qu'une œuvre qui aurait pu bénéficier d'une sortie en salles.
    Alasky
    Alasky

    350 abonnés 3 402 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2020
    Soporifique... L'adaptation d'Alfred Hitchcock était tellement belle et envoûtante, et là c'est d'un ennui. Lily James s'en sort tant bien que mal, mais Armie Hammer est aussi expressif qu'un balais donc ça n'aide pas et le couple qu'ils incarnent n'a pas grand chose de crédible. On voit bien que la mise en scène est soignée mais le style téléfilm classique et trop lisse n'a aucun charme.
    gizmo129
    gizmo129

    96 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 avril 2023
    Rarement on aura vu un film aussi pompeux et ennuyeux. Il n'y a aucune alchimie entre les deux amoureux, surtout, ces deux tourtereaux jouent plutôt mal, au contraire de la grande Kristin Scott Thomas qui capte en permanence l'attention. Il s'agit de l'adaptation d'un livre déjà mis en image par le grand Hitchkock. Sans avoir vu le film de 1940, il n'y a aucun doute que cette nouvelle version ne lui arrive pas à la cheville. Lent et long, on ne comprend jamais où le film veut aller jusqu'à ce dénouement final rapide pour donner un semblant d'intérêt à ce récit...
    Selingues G
    Selingues G

    73 abonnés 956 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2021
    Remake d'un des classiques d'Alfred Hitchock Rebecca instaure directement une atmosphère assez particulière avec les non dits et le comportement inquiétant de ce veuf.
    Le problème du film reste les trop grosses ficèles déployées tout au long de cette histoire.

    Même le jeu d'active de Kristin Scott Thomas en maîtresse de maison ne permet pas de relever l'ensemble.
    Il est très difficile d'égaler l'ambiance des films d'Hitchcok mais l'ensemble reste plaisant à suivre et le duo Lily James et Armie Hammer fonctionne bien.
    Estonius
    Estonius

    3 351 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 décembre 2020
    Si l'on n'a jamais vu le chef d'œuvre d'Hitchcock, ça peut se regarder, ne serait-ce que pour l'intérêt du scénario, et puis la photo et les décors sont soignés, il y a Kristin Scott Thomas en méchante et la jolie Keeley Hawes campe une Mme de Winter assez convaincante. En revanche le reste de la distribution déçoit Armie Hammer en tête. Mais si l'on vu l'Hitchcock, la comparaison est cruelle, Kristin Scott Thomas ne parvient pas à être aussi détestable dans son rôle que Judith Anderson, Keeley Hawes ne peut faire oublier le rôle immense de chaton fragile si magnifiquement interprété par Joan Fontaine, et ne parlons pas du reste Armie Hammer à la place de Laurence Olivier, et pire le rôle truculent de George Sanders attribué à un Sam Riley pas convaincant pour un sou. Intrinsèquement le film passe de justesse la moyenne, en tant que remake, il est inutile.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    208 abonnés 2 855 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2020
    Sans grande modernité, cette redite Netflix d'une des œuvres la plus glaçante mais aussi la moins virevoltante du maître du suspense Alfred Hitchcock, laisse toutefois une sensation de réussite dans son respect constant pour l'original. Pas de modernité mais une élégance incontestable.
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