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Un visiteur
1,5
Publiée le 1 janvier 2014
Je ne savais rien de ce film avant d'y aller, si ce n'est le thème de l'addiction aux videos porno. Le sujet était délicat à aborder, voire difficile. Le challenge est donc pour moi raté. Je n'ai pris de plaisir que pour l'interprétation. Pas d'évasion, pas de détente, pas d'émotion, pas de réflexion véritable non plus... Chaque personnage vit son égoïsme à sa façon : à nous d'en tirer la leçon. C'est tout ce que j'ai pu en tirer. Bien sûr on perçoit la dénonciation de certains clichés primaires de la vie, pourquoi pas, ça peut faire sourire par moment. Le film démarre mal car on est de suite dans le vif du sujet, sans introduction si je puis dire... Le problème est que ça reste au point mort jusqu'à la fin, laquelle est sans surprise d'ailleurs.
Bof.. Voila le mot qui me vient à l'esprit après le film. Le film dure 1h30 et c'est long, très long... En fait une fois qu'on a vu la bande annonce, on a vu le film.. Pas terrible du tout.. Les acteurs sont sympas, l'histoire est marrante mais ça suffit pas.. J'hésitais entre 2 et 2,5 étoiles mais je mets finalement 2,5 .. je le fait pour toi Scarlett :)
La façon dont Joseph Gordon-Levitt s'exhibe (physiquement et verbalement) au début du film m'a fait un peu peur. Vu qu'il est l'acteur principal et surtout le réalisateur, j'ai vraiment eu l'impression qu'il faisait ce film pour se lancer délibérément comme sex symbol (pas assez de nus dans ses précédents films ?). La prétention du personnage principal semblait indissociable de celui qui l'interprétait. La pilule passe mieux sur le reste du film, l’interaction avec les autres personnages principaux (interprétés par Scarlett Johansson, Julianne Moore, Tony Danza...) étant très efficace.
Que dire au vus de bonnes critiques (bien avant que le film sorte en salle) je m'attendais à une claque. Et bien non!!!! Les premières minutes laissait pourtant présager le meilleur. Don Jon un jeune homme sans travaille est accro au porno. C'est simple il trouve que coucher avec des filles n'est pas comparable que le porno. De là on pouvait espérer un bon sujet soit la perfection donné par les médias et recherché dans la vrai vie, infos erroné donné par les films ou autre vidéo car oui la vie ce n'est pas comme au cinéma. Ou dans les films X. Mais là malgré l'interprétation de Joseph Gordon Levitt le film est exaspérant d'abord par sa bande original énervante : musique romantique pour le personnage de Barbara par exemple. Ensuite le réalisateur multiplie les clichés : La fille belle forcément romantique, la mère qui veut à tout prix que le fils trouve la femme de sa vie et souhaite avoir des petits enfants, la petite sœur qui passe son temps sur son portable et décroche un mot seulement vers la fin du film pour dire comme par hasard quelque chose d'intelligent et le père machiste qui aime comme son fils les belles femmes. Et que dire des amis du héros qui ne pense qu'a noter les femmes sur leur physique. L'histoire est prévisible on se doute que Barbaraspoiler: va découvrir la face caché de Don Jon et va rompre avec lui. Elle est à la poursuite d'une vie amoureuse idéale qu'on trouve que dans les films romantiques. Elle est comme le personnage principal enfermé dans un idéal. Le réalisateur qui aurait pu mettre cela en avant dans son film n'a fait que survoler ce sujet (idéal). Il est en de même pour la religion et la famille qui est très mal traité. Bien sûr le personnage va tombé sur une femme (julianne Moore) qui le comprend et va l'aidé à rompre avec ses obsessions. Cependant les dernières scènes sont bien meilleurs mais c'est trop court pour rattraper ce film. J'ai beaucoup (aimé encore un fois) l'interprétation de Julianne Moore magnifique. Cependant je n'ai pas apprécié dans ce film Scarlette Johansson son rôle l'enferme encore une fois dans l'image de la femme jolie. Je regrette ses interprétations dans Lost in translation ou Match point. Quand tony Danza son interprétation est mitigée je trouve.
Joseph prouve que de passer du statut d'acteur à réalisateur n'est pas chose facile.
Je vous déconseille le film, qui n'est pas réussi. Je vous conseille par contre le film Shame qui traite du sujet de l'obsession sexuelle mais dans un autre registre.
Il a surement beaucoup de talent mais ce film n'a pas grand intérêt. Le sujet des addict au porno est peu exploité au cinéma... y a peut être une raison... On s'ennuie, c'est rébarbatif, cliché, le choix du casting est très discutable, leur vie est survolé... En revanche toutes les scènes en famille avec JGL et Tony Danza les deux toujours avec un débardeur blanc... ridicule mais drôle. Bon je ne suis peut être pas très objectif, j'ai eu envie de lui mettre des baffes durant tout le film...
Rarement sorti avant la fin d'un film mais au bout d'une demi heure d'un spectacle aussi affligeant, c'était l'issue la plus raisonnable. Comment Scarlett Johansson a t-elle pu se fourvoyer dans un tel navet, malgré son talent que d'autres réalisateurs tels que W. Allen ont su mettre en valeur? En deux mots, vulgaire et inepte, bref à fuir de mon point de vue.
Maintenant certain comprendront pourquoi certain GAY en on marre des film cliché a leur sujet ;) Ok c'est un film mais imaginez si tout les films HETERO ressemblaient a ce genre de truc...
10 spectateurs dans la salle; ça veut tout dire!! Bien qu'ayant pu bénéficier d'une place gratuite pour une achetée, à une heure à tarif réduit en plus, nous regrettons encore l'argent dépensé pour voir un film aussi lamentable!! Beaucoup trop de personnages vulgaires, creux et insignifiants à notre goût, un rapport à la religion déplacé et irrespectueux (même pour des non croyants!), rôles dévalorisants pour les acteurs... à vite oublier!!
Un film pas mal du tout, qui parlera surtout pour les hommes de 20 a 30 ans. Le personnage principal est certes un peu caricatural, le trait est volontairement grossi, mais finalement pas si éloigné de la réalité que ça... La fin est intelligente et riche d'enseignements. A voir.
Assez ennuyant et répétitif , on voit tout venir a l avance , de plus quelques séquences peuvent choquer le jeune public. Allez le voir si vous avez du temps a perdre
La BA laissé présagé un film dynamique et caustique dans ses propos et au final, je suis déçue car ce film est loin de relever le challenge attendu. Trop de propos crus tuent le propos, le personnage principal est fort peu attachant et la mise en scène peu travaillée ( que fait-il dans la vie à part du sport et trainé avec ses potes ?? , la famille trop clichée...) avec une succession identique de scènes qui se répètent tout le long du film. Et tout d'un coup, vers la fin du film, sans que l'on comprenne vraiment pourquoi, le personnage a une révélation et se rapproche de Julianne Moore qui l'aide à devenir miraculeusement quelqu'un de bien. Bref, pas grand chose à retenir de ce film et même si j'apprécie beaucoup Joseph Gordon Levitt, j'aurais pu m'en contenter en DVD.
Cela aurait pu être bien, très bien même, seulement si ils avaient su sortir de ce rouage amusant que sont les 2 mn de la BO. Je me plaignais de ne pas avoir au cinéma de film qui traite de l'hétérosexualité (après la vie d'Adèle, Liberace et autres que j'oublie), mais la, je ne me reconnais pas tellement dans ce genre de propos, c'est un peu trop cliché à mon goût.
J'ai plutôt bien aimé ce film. Il a un caractère particulier après on aime ou on aime pas. seul bémol je n'ai pas du tout apprécié la fin. ce fut une grosse déception. sexe fille sexe fille. .. les mecs vont apprécier les filles je suis pas sur. Perso g aucun prob ac les films de ce genre
Dans Don Jon, Joseph Gordon-Levitt fait suivre au spectateur un chemin. Ce dernier est parsemée de ronds-points. Ces ronds-points disparaissent dès la fin de la première heure de ce long-métrage. Toujours comme ça : boîte de nuit; sexe; sport; église. Rajoutez à cela des scènes où il traite d'autre automobilistes, dans son auto stylisée. Les trente dernières minutes font preuve de plus d'intelligence en parlant moins de l'addiction au porno mais plus du VRAI amour. Dommage que Joseph Gordon-Levitt bâcle un peu trop vite cette deuxième partie, qui s'avère plus tendre et plus drôle que la première, en ne présentant que des choses que le spectateur à déjà vu et entendu.
Joseph Gordon-Levitt passe pour la première fois de sa vie derrière la caméra, et comme il ne voulait pas faire ça à moitié, il a décidé de maitriser toute la chaine du processus créatif ; scénariste, réalisateur et donc acteur, celui que l'on connaît comme un gringalet qui n’inquiéterait personne au croisement d'une ruelle sombre en pleine nuit a pris plus de cinq kilos de muscles préalablement au film pour se fondre dans son personnage. Jon est un jeune branleur qui consomme tout ce qu'il convoite, que ce soit les objets, les autres ou lui-même. Il flashe sur Barbara, jouée par une Scarlett Johansson méconnaissable et génialement transformée tant elle est vulgaire et bien moins attirante que ce que l'on a l'habitude de voir d'elle. Lui accro au porno et ne voyant sa copine que comme actrice X, elle ayant son plan de vie auquel elle ne veut déroger sous aucun prétexte, on se rend compte d'un mal qui ronge les jeunes couples d'aujourd'hui : les gens traitent les autres comme des objets, personne ne s'écoute, et l'effet est sans appel sur la qualité des rapports humains. Malheureusement, le personnage interprété par Julian Moore s'incorpore très mal au récit qui s'embourbe dans la seconde moitié. Mention spéciale à la jolie Brie Larson, omniprésente dans toutes les scènes familiales, mais qui n'a qu'une ligne de dialogue en toute fin de film pour ouvrir les yeux à ses proches. Plus la parole est rare, plus elle est chère et respectée. Un premier film intéressant mais pas totalement maitrisé, qui aurait pu être plus drôle et plus choquant.