Je me donne dans le porno et je joui. Premier long-métrage de l'acteur Joseph Gordon-Levitt. La première partie est bien foutu, les raisons, l'envie de pourquoi le personnage et la généralité des hommes look l'extase visuel et sensitif de l'évasion orgasmique est bien mise en scène. Par contre, la dernière partie ne m'a pas réellement convaincu, simplement parce que je suis en désaccord avec le dénouement final. Pas totalement mais bon, c'est limite. Le fait que Don Jon nous narre en voix-off qu'il vient de trouver l'amour sans être dans un sens unique m'a paru mise à l'écran de façon bien trop précoce. Comme une éjaculation trop vite expédiée. L'amour et sexe sont de mariage et Gordon-Levitt sensibilise peu en profondeur la relation entre son personnage et celui de Julianne Moore. Il zappe énormément. La durée de 1h30 est trop court. Au final dans tout ça, on se rend compte que la pornographie capte bien plus sa recherche, son intention et attention pour l'histoire qu'il à voulu faire passer. En gros, la gourmandise me fut plus révélatrice que la sagesse. Sinon, n'oublions pas la présence de Tony Danza, un plaisir. Scarlett est plus belle que jamais. Oui, et je m'y attendais pas. Sinon, je rajouterai que la durée est courte, 1h30. Il fallait plus que ça. Surtout que apparemment il tenait aussi à parler de l'amour à deux. Sauf que comme je disais, dans son manque de temps, j'ai ressenti que la gourmandise (le porno), reste ici aussi gagnant contrairement à la relation soit disant idéal avec Julianne. S'il avait eu le temps ou pas (encore faut-il qu'il en soit capable), il aurai pu mettre mieux en avant la magie de leur relation. De mon coté je dis pas que c'est un ratage loin de là. Le minimum est bien présent, c'est toujours ça. Ca relation avec Julianne touche. Cependant, au vu de l'extase que lui apportait le porno, qu'il met en oeuvre dans la première partie en agençant fortement bien le tout. Fait, que je reste avec cette appétit et je n'arrive pas à voir quelque chose de plus fort. Bien que l'on comprenne que les deux personnages sont bien fait l'un pour l'autre. La toute fin de ses paroles en voix-off sur ses rapports avec Julianne, j'en voulais plus, comme s'il n'avait pas la capacité d'en dire plus. Ou du moins, quelque chose de moins plan-plan. Alors, je veux bien comprendre que l'amour doit se vivre dans les actes les plus simples qui soit, mais sa façon de clôturer le bonheur de sa relation avec elle est trop hâtive. Mais bon, bref, en tout cas il y à des chouettes moments dans son film J'kiff ses arrivées quand il se rend à l'église, genre quand il monte les marches La classe et à la cool.