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Un visiteur
2,5
Publiée le 24 janvier 2014
Hum, je savais pas trop à quoi m'attendre en regardant ce film puisque je ne m'y étais pas vraiment intéressé plus que ça. L'idée aurait pu être intéressante, mais c'est trop répétitif et pas suffisamment exploité pour en faire quelque chose de bien. Pourtant, il ne dure pas bien longtemps mais à plusieurs reprises j'ai trouvé que ça tournait en rond et que des éléments de l'histoire n'apportait rien ou presque. Même les acteurs sont pas exceptionnels, excepté peut-être Julianne Moore, je m'attendais pas à la voir dans un rôle pareil ^^ M'enfin, pour un coup d'essai à la réal c'est pas mal, ça aurait pu être mieux mais faut bien débuter.
un navet !! l histoire est bien pensée mais très simpliste.. la morale interessante mais peu de dialogues.. des journees qui se répètent, on s endort !
Pour un 1er film, Joseph Gordon Levitt s'en sort plutôt pas mal. Des journées qui se répètent ... on s'en lasse ! Scarlett Johansson transformé en bimbo ridicule, juste non merci ! Elle est sans cesse en train de mâchouiller un chewing gum ... On a juste envie de lui retirer de la bouche. Les doublages des voix sont horribles ! On a l'impression de sortir des guignols. Les points positifs : de l'humour, des clichés et ... je crois que c'est tout On passe quand même un bon moment mais ce n'est pas Le film que je recommanderai.
Eh ba, en voilà un drôle de film venant bouger l'image presque parfaite de Joseph Gordon-Levitt jusqu'ici. Le jeune homme n'épargne personne et surtout pas lui-même, quitte à ce que son film fasse parfois vraiment beauf. C'est d'ailleurs un peu sa limite : on ne sait jamais s'il faut prendre ça au premier ou au quinzième degré, si bien que c'en est parfois presque embarrassant. Cela dit, il faut reconnaître à l'ami Joseph un sens du montage nerveux donnant du dynamisme à l'ensemble (à défaut du bon goût), et que son héros a beau être grave 90% du temps, il faut lui reconnaître une vraie lucidité sur ses congénères masculins dans lesquels il s'intègre totalement. Du coup, ce personnage a beau souvent nous gonfler et l'acteur-réalisateur souffrir ici d'un narcissisme aiguë, le propos n'est pas idiot et l'œuvre gagne en épaisseur au fil des minutes, pour mine de rien aborder pas mal de sujets. Il peut enfin compter sur deux actrices superbes : Scarlett Johansson, dans un rôle nettement moins idéal qu'à première vue, et Julianne Moore, inattendue et particulièrement émouvante. Bref, malgré ses nombreux défauts, cette très, très, très, très libre adaptation de « Don Juan » peut toutefois séduire à certains égards, notamment dans son cheminement, inattendu, et sa volonté de refuser la bien-pensance si souvent typique à ce genre de récits. Plutôt intéressant.
Pas exceptionnel, ce film est pourtant loin d'être ridicule. Pour son premier long, Gordon-Levitt s'en sort de manière honorable malgré les quelques imperfections de sa réalisation. Si le casting ne souffre d'aucune interrogation, sa volonté de vouloir mettre en avant le porno dans sa vie de couple au détriment de la culture du corps, des amis, de la famille, ou encore de la voiture, limite l'impact du film et le rend assez répétitif au final. Allez Joseph, tu feras mieux la prochaine fois !
Derrière et devant la caméra, l’acteur Joseph Gordon-Levitt signe son tout premier long métrage avec Don Jon, cette comédie romantique fraîchement pêchue et jouissive! Et ce n’est pas seulement parce que c’est le thème pornographique qui est le vecteur de cette rencontre amoureuse réunissant deux univers diamétralement opposés à savoir les contes de fées aux films X! C’est jouissif aussi pour son histoire drôlissime et le jeu impliqué de tout son casting à commencer par le protagoniste Joseph Gordon-Levitt...
mais quel est l’intérêt de se film sinon apprendre que le sexe avec une partenaire que l'on aime et qui nous aime en retour est meilleur que la masturbation. Ho pardon j'ai dit tout sur le film désolé.
Que dire ? Tout simplement que ce film tourne en rond, pourtant il y avait de la matière pour pouvoir faire quelque chose de vraiment bien. L'humour reste très limité, et les acteurs qui ne sont pas pour autant mauvais, n'ont pas réussi à mettre ce film en valeur. Scarlett Johansson est au sommet de la vulgarité, Joseph Gordon Lewit sonne faux dans ce rôle. Quoiqu'il en soit, je vous conseille de regarder ce film vraiment en dernier ressort (et encore)
Pendant le visionnage, je ne ma suis pas trop ennuyé... Par contre, une fois terminé, je me suis demandé quel en était son réel intérêt... Pas bon signe...
Lourdingue pendant la très grande moitié du film (trop grande) la dernière partie est efficace, juste. Belle même ! Essentiellement grace a une Julianne Moore exceptionnelle et décomplexée.
Ce film est plaisant et drôle. Le montage avec la répétition des scènes de vie est intelligemment utilisé et ne lasse pas. Le choix et le jeu des acteurs est un sans faute. L'ouverture de votre Mac n'aura plus jamais la même signification!!
Un film peu recherché aux personnages peu profonds. Ce film s'adresse à un public d'adolescent ou même de pré-adolscent n'ayant jamais fait l'amour. Le film s'avère cependant un peu s'améliorer à la fin avec l'entrée en scène du personnage de Julianne Moore qui fait remonter l'intérêt que l'on porte au film. En effet ce personnage s'avère être le plus recherché de tous et donne une petite touche d' "intelligence" à ce film. En bref, une vraie déception pour ce premier film de Joseph Gordon-Levitt !
Il est gonflé le petit Joseph Gordon-Levitt de nous livrer un premier film en tant que réalisateur aussi rentre dedans. Une fable réaliste sur les addictions à internet et plus particulièrement aux sites porno, synonyme d'un certain éloignement avec la réalité. Là encore, des scènes de sexe assez crues, pour bien étayer le propos. Sans parler de l'hypocrisie de l'Eglise Catholique, tournée en ridicule avec les nombreuses scènes de confessions. La distribution est réussie, avec Scarlett Johansson, dans le rôle de la Chieuse Américaine castratrice, Tony Danza absolument irrésistible, et surtout la toujours sublime Julianne Moore, dont on pourrait résumer le rôle en ces termes "C'est dans les vieux pots, qu'on fait les meilleures soupes". Mention spéciale sur la mise en scène et l'image, plutôt bien maitrisées pour un premier essai.