Derniers Avis : Don Jon - Page 15

Ce film devient vite laçant et ennuyeux, le bon casting ne compense pas le scénario sans intérêt. 5/20

"Don Jon", est un assez bon divertissement, mais à voir une fois, pas plus..
Cette "comédie-dramatique", déconseillée aux -12 ans (même si selon moi, un -16 ans, aurait été plus approprié) raconte la vie, de Jon Martello, un beau mec, séducteur, d'ou le surnom de "Don Jon" (allusion à "Don Juan").
En effet, le quotidien de ce jeune homme, semble ordinaire, à une chose près : il est "accroc", aux sites pornographiques.
Une "addiction", qui nous sera présentée, non avec noirceur, mais plutôt avec humour, tout au long du film.
Ce véritable fanatisme, qu'il voue à ces sites pornos, va être mis en émois, le jour ou son regard va croiser, celui de la splendide, Barbara Sugarman (jouée par, Scarlett Johansson) une femme romantique, à la recherche du véritable prince charmant.
Le dilemme, est alors inévitable pour Jon, cyber-pornographie ou vraie histoire d'amour?
Cet "ultimatum", vis à vis de lui même, est très bien mis en scène, notamment lorsqu'en voix-off, Jon s'amuse à comparer, ses ébats sexuels, avec les scènes pornographiques.. le tout bien détaillé, point par point.
Certains passages, sont fort intéressants, dans le sens ou ils permettent, à nous spectateurs, de comprendre, qu'à plusieurs moments, la pornographie est pour lui, une véritable dépendance : par exemple, la scène ou il se met devant son ordinateur, et claque violemment l'écran, pour le refermer.. (comme un fumeur, qui résiste devant son paquet, pour ne pas fumer) et finalement, on le voit retourner sur l'ordinateur, trente secondes après.
C'est à ce moment là, qu'on comprend, que c'est une véritable drogue.
Pour terminer, le moment ou l'on prend en compte, que Jon n'est plus, "accroc" à la pornographie, c'est lorsqu'il effectue du "changement" dans sa vie, comme pour devenir, une nouvelle personne : il change de coupe de cheveux ; lors de sa confession hebdomadaire, à l'église, il attend d'autres paroles, de la part du prêtre, lorsqu'il annonce, qu'il ne s'est pas masturbé, pendant une semaine ; à la salle de sport, il décide de pratiquer le basket, plutôt que de faire, son habituelle musculation.
La fin, quant à elle, est assez réussie, bien qu'un poil prévoyante.

En résumé, "Don Jon", est un bon divertissement, le temps d'une soirée, car assez vite oublié finalement..
Le sujet est original, peu exploité au cinéma (voir par du tout?), et traite d'un fait d'actualité, bien présent. Bémol, pour le réalisateur, qui semble vouloir, nous retranscrire une morale, qui malheureusement n'apparaît pas.. dommage.

La première réalisation de JGL bourré de bonnes idées et d'une ironie appréciable, mais qui s'emmêle dans son propre schéma et se conclut de manière très décevante. Chronique d'un personnage aussi détestable qu'attachant, le scénario raconte la vie de Jon Martello, beau gosse qui aime son corps, sa famille, ses potes, ses plans d'un soir et surtout le porno dont il est un réel addict, l'histoire du parcours d'un homme superficiel vers sa découverte de l'amour, du vrai, un parcours qu'il bloque dans un cercle qui se répète en boucle, une boucle qui intrigue au départ, puis les pseudos-évolutions du personnage sont vite effacés par une lassitude ressemblant a de la feignantise caché... Dans un rôle qu'il a écrit pour lui, JGL assure et offre une performance macho et en même temps fragile, il connait ce type faussement superficiel face a une Scarlett Johansson assez forte en bitch arrogante et vivant dans un monde imaginaire dont elle ne veut pas sortir. Niveau réal', JGL a de bonnes idées, s'éclate avec un style pop assez coloré et qui met bien en avant les différents lieux marquants de l'histoire, mais la boucle scénaristique bloque tout le potentiel du jeune cinéaste.
Une comédie dramatique bloqué par les erreurs de son script, malgré un indéniable potentiel qu'on pourra espérer pleinement découvrir pour son second film.

M'attendant a une comédie romantique assez burlesque, jai été drôlement surpris par don jon. Tombant les deux pieds dans le cliché , il ne prend aucun gants pour dénoncer un mal des plus dérangeant pour les femmes : la masturbation. Une Scarlett Johanson a croquer mais qui au final ne sera pas pour notre Jon, fou, addict, menteur et manipulateur . JGL osé mais moralisateur, qui malgré quelques coups de mou, nous sert sur un plateau d'argent un drame bien comme il faut. Fastidieusement satisfait.

On passe un bon moment devant Don Jon même si ce n'est pas un grand film. En tant que réalisateur et acteur exceptionnel, Joseph Gordon-Levitt nous montre l'obsession masculine à la pornographie à travers une comédie plaisante. De bons gags ainsi que des scènes hilarantes et des acteurs saisissants et persuasifs (Scarlett Johansson et Julianne Moore) même si le scénario est un peu confus et répétitif parfois. Certaines scènes et certains propos sont imprévisibles donc choquants voir même violents. Le film est très court donc on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyé pourtant la mise en scène est par moment plate et longue ce qui rend le film lent et chiant. Malgré sa, un bon divertissement, Don Jon se laisse regarder mais peut véritablement choqué car il ne faut pas oublier le sujet principal du film.

Intéressant mais ce film tourne en rond rapidement.
Pour Scarlett Johansson qui joue admirablement bien la pouffe.

Cela reste très correct pour un 1er long métrage.

J'ai plutôt adhéré à ce film. Je l'ai trouvé assez drôle et bien construit même s'il repose sur de gros clichés.
Scarlet Johansson joue parfaitement la fille fleur bleue mais parfaitement vulgaire.

Une idée originale que de parler d'addiction aux porno mais une histoire bâclée. Seul le personnage incarné par Julianne Moore sauve un peu ce film mais sa mise en avant n'est que trop tardive à mon gout.
Divertissant sans plus.

Film qui passe bien avec un bon casting et un thème plutôt original ! Mais c'est pas le chef d'œuvre du siècle !

Bonjour personnellement je voulais voir se film car il y avait a l'affiche scarlett johansson mais franchement le scénario et a bazardé film sans aucun intérêt dépenser plus de 5 euros pour voir un film pareille et une vraie arnaque .
A ne surtout pas aller voir vraiment dommage que le scénario sois si pourrie car scarlett et toujours aussi belle quelle femme .

Publicité d'une heure trente pour un site porno, aucune réflexion défini sur l'impact du porno dans la vie sociale, aucune mise en situation crédible sur la relation homme femme porno.
Sans féminisme ce film est singulièrement machiste.
Influence négative sur la jeune génération, crédibilisation du porno malsaine par un jeune adulte matérialisant la femme à un objet sexuel.
Le scénario n'offre aucune justification ou débat à la gente féminine d'exprimer son ressentie car toutes les femmes qui découvrent leur compagnon en train de consulter du porno ne partent pas pour autant et en souffre au quotidien.

Dans un style de film visité encore et encore, JGL a fait preuve de créativité
D'accord ce n'est pas le film de l'année mais le visionnage de ce film fait passer un bon moment, et certain auront beau critiqué JGL a fait ce film l"ui même" dirat on en étant réalisateur, sénariste et acteur donc on ne peut que respecter.

Jon est plus interessé par les films porno que par le sexe dans la vraie vie. Il passe ses journées devant son écran, et passe le week end pour un séducteur. Jusqu’au jour ou il rencontre la jolie et romantique Barbara…Don jon raconte l’histoire d’un homme accroc au porno. Un homme addict au porno même lorsqu’il est en couple. Don jon parle des troubles de l’hyper sexualité, tout comme shame mais sur un autre "angle". Cette addiction n’est pas vécue par le personnage de Jon comme un problème. Ce premier film de Joseph Gordon-Levitt , malgré ses défauts, est plutôt réussi toujours rythmé et énergique. Le personnage de Jon est celui qui est le plus exploité. Les personnages féminins sont plus stéréotypés et pas très approfondis.

Le casting de Don Jon est plutôt réussi, Joseph Gordon-Levitt réussit à rendre son personnage sympathique, malgré sa facon de traiter les femmes. Scarlett Johansson est amusante, sexy. Julianne Moore, malgré sa différence d’age avec le héros, va le séduire et voudra à tout prix sauver notre homme de ses addictions.

Don Jon, film plutôt drôle et audacieux, nous fait passer un moment agréable

J ai lancé le film avec une énorme appréhension bien que fan depuis plusieurs années de Joseph ! Au final j'ai bien ri et je trouve que pour son premier film, il s'est plutôt bien débrouillé! Le film aborde le sujet de la pornographie et de son addiction chez les hommes, et en particulier celle d un jeune beauf accro aux pornos, aux filles, au sport et aux sortis avec ses potes. Je trouve qu'il a été abordé honnêtement. Les extraits des films porno ne m'ont pas du tout choquée, c est la réalité et je crois qu'une censure aurait cassé ce côté honnête que l'on trouve dans le film. Scarlet est super, elle endosse le rôle de la jeune bombe un peu casse pied à merveille ! C'est frais et vrai, ça retire l'aspect tabou qu'il peut y avoir lorsqu'on l'aborde, que l'on soit une fille ou un gars. Je le conseillerai donc à toute personne, que vous soyez seul ce soir ou en groupe !

Agréable surprise! Un film "testostéroné", drôle, cynique servi par un très bon casting. Ce film nous délivre un constat sans concession sur les fantasmes des relations homme/femme d'aujourd'hui. D'un côté femme objet pour les hommes et romance utopique pour les femmes de l'autre, le tout enrobé par une pression familiale latente. Chacun ses addictions. En plus du message principal, j'ai trouvé le montage génial, les dialogues efficaces et la narration du personnage principal Don Jon drolissime, ponctuée par ses confessions hebdomadaires dans son église... Bref, pour un 1er long métrage, Joseph Gordon-Levitt nous sert une oeuvre réussie, sans fioriture, 1h30 de pellicules qui passe à toute allure. Et même si la fin n'est pas parfaite et peut être un peu trop facile, ce film est vraiment à voir. Le seul bémol que j'émettrais est le fait que le point de vue principal est masculin, les filles risquent d'avoir un peu de mal à rentrer dans le film la 1ère demie heure, vu le profil de séducteur compulsif accro au porno présenté au 1er abord. Au final, Don Jon permet d'envisager un futur plein de promesses en tant que réalisateur pour Joseph Gordon Levitt. 3.5/5