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    Don Jon
    Note moyenne
    2,6
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    640 critiques spectateurs

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    Guillaume
    Guillaume

    111 abonnés 1 579 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 janvier 2014
    Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas vu un film aussi mauvais... Véritablement navrant !
    Zbrah
    Zbrah

    45 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 avril 2014
    Parfois, on ne devrait pas attendre avec trop d'impatience certains films. Après une bande annonce détonante, un synopsis semblant original qu'on peut même aller jusqu'à qualifier de novateur, je reconnais avoir trop porté d'espoirs sur le Don Jon de JGL. Et quel résultat ! Je suis déçue. Commençons par le positif. Il y a de bonnes choses dans ce Don Jon. Il faut tout de même le souligner, autant commencer par ça. La mise en scène est audacieuse, il a quand même du talent le Joseph Gordon-Levitt. La répétition des scènes est un élément majeur du film, axant sur la routine du héros. Ainsi, les scènes de l'Eglise du dimanche -que j'ai perçu comme une intelligente satyre du principe de la confession-, des repas familiaux sont intéressantes. On y découvre une autre facette du héros, plus humaine du fait des conflits perpétuels avec son père, dont il est le portrait craché. Dans un genre similaire, la scène où Jon se rend au cinéma avec Barbara est l'une des plus amusantes du film (la seule ?). Scarlett Johannson y est étonnamment drôle, avec son visage émerveillé par la niaiserie romantique ! Don Jon, c'est une comédie romantique dont tous les codes ont été repris pour mieux être détournés. Maintenant, je vais passer à la partie qui fâche... Les personnages de Don Jon sont des personnages nés d'une écriture fainéante. Jon Martello Jr est un héros antipathique. Il faut reconnaître qu'il est interprété avec talent puisque j'ai rarement vu une telle tête à claque au cinéma. Si encore les événements survenus durant le film le faisaient réfléchir, évoluer, passe encore. Or, Don Jon n'évolue pas, ou alors très peu, du genre seulement pendant les 5 dernières minutes du film. Typiquement le genre de personnage que je ne supporte pas, pour qui les femmes ne sont rien d'autre qu'un objet sexuel (tiens, tiens, ça me rappelle Le Loup de Wall Street ça...). Le cliché du mâle tout puissant, irrésistible malgré son allure de macho repérable à 3km à la ronde. Et malheureusement, le point de vu féminin de cette histoire ne relève pas le niveau. La bimbo Barbara est typique du genre de bombasse reprenant à la fois tous les clichés de la femme romantique et de la petite amie étouffante. Le personnage de Julian Moore, Esther, pourrait se dévoiler un poil plus intéressante que sa consœur. Eh bien oui, elle pleure, elle a un passé elle. Malgré cela, ses motivations sont toujours troubles, confuses. Est-elle en deuil, simplement paumée ou s'en moque-t-elle de manière alternative ? Dans le reste de la galerie des femmes sans âme je citerais la mère qui casse les oreilles, la jeune sœur accro à son téléphone, les innombrables salopes, hum pardon. Filles de petites vertus. Où sont les femmes intelligentes et fortes ? Parties dans un film où elles auraient leur place probablement. En bref : la femme ne vaut rien si elle n'est pas une bombasse de type Scarlett Johannson, et encore, elle vont tout de même vous pourrir la vie messieurs ; la femme se limite également à être un simple objet sexuel (j'ai encore un peu de mal à voir en quoi Jon est amoureux de Barbara. Amour, pas désir hein.). Je ne suis pas féministe engagée, mais en tant que passionnée de cinéma, j'attends tout de même des personnages réalistes, attachants. Hommes ET femmes. En plus, j'ai un peu eu l'impression d'avoir passé ma soirée devant un porno déguisé en comédie. Les images répétitives issues de films pornographiques sont grossières et pas toujours justifiées. Peut être suis-je simplement passée à côté d'un message, qui se voulait surement, osé, profond... Fichtre ! Je dois être plus romantique que je le pensais...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 décembre 2013
    Aie aie aie !!!! Quel cata mon dieux ... Trois super acteurs complètement ridicule dans cette niaiserie signé Joseph Gordon Lewit .... Quel dommage un début plutôt prometteur, et une répétition successive des scènes qui finissent par devenir très vite laçant... Nous avons d'ailleurs perdu 5 personnes pendant la séance qui n'ont pas réussi a rester jusqu'à à la fin !!! Bref a éviter de toute urgence
    TheWaaalkingDead
    TheWaaalkingDead

    75 abonnés 980 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 février 2014
    Film qui paraissait sympa mais sans plus. Mais au final je me suis vraiment fait chié.. C'est filmé n'importe comment les dialogues sont insipides. Certes quelques passages sont sympas mais je l'aurai pas vu je m'en serai pas porté moins bien. Cependant ce film a l'avantage de traiter d'un sujet d'actualité et de le faire sans tabou mais sans tomber dans l'extrême ce qui est plutôt agréable mais si le film aurait été mieux fait, Don Jon aurait pu être un film sympathique. Alors que après visionnage je le trouve juste médiocre.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 février 2014
    "Don Jon" passe à coté de son sujet, l'omniprésence de la sexualité dans la société, qui était un vrai sujet mais qui n'est malheureusement qu'à peine effleuré. A la place on a un truc beaucoup trop banale, qui fait toujours plaisir certes mais pas malin du tout.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 janvier 2014
    Plaisante Julianne Moore, un régal pour les yeux.

    Cela mis à part, je crois que le film a la prétention de dresser quelques traits de caractères, de montrer certaines réalités, éventuellement de dénoncer certaines pensées voir préjugés. Pour moi, il ne réussi pas grand chose de tout cela, les personnages sont trop grossièrement dressé, le scénario se veut plutôt provoquant mais ne provoquera pas grand monde ayant déjà un peu vécu. Je crois un film maladroit, simple et assez inconsistant.
    A part nombre de moments avec Julianne Moore, le seul qui me semble un peu intéressant est la dernière apparition de Scarlett Johansson dans le film. Le moment est intéressant, la rencontre aussi, c'est l'un des rares moments ou le message est plus fin, moins lourdement appuyé.
    Isabelle M
    Isabelle M

    12 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 décembre 2013
    et pourtant j'adore Julianne, en vieille hippie bobo psychologisante, elle est portant crédible, Scarlett est censée être Le canon, elle repassera....
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 décembre 2013
    Un film sans AUCUN intérêt. Je ne comprends même pas pourquoi les acteurs ont accepté de "jouer" dans ce navet. Une totale perte de temps
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 février 2014
    Très bon film
    L'humour est très bien doser sans que le personnage soit macho, malgré les faite qui compare ses baises du soir avec du porno ! Mais ce la n'empêche pas d'aller voir le prêtre pour lui raconter tous cela lors des confessions ! Ce qui est foue dans ce film c'est qu'on arriveras presque à un moment détester Scarlett !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 décembre 2013
    Au début on se dit mais c'est quoi ce film, est-ce que ça va se limiter au simple sujet de la masturbation ? De la perversité ? Du machisme ? Et puis l'histoire s'installe progressivement, une relation sérieuse, une rupture, un moment de réflexion et enfin l'épanouissement avec une femme mûre.
    Non, ce film attaque les relations amoureuses avec l'angle dangereux de la perversité d'autant plus exagérée par cet accroc du sexe. Il ne faudra pas s'égarer et s'évertuer à tirer de cette histoire les leçons qui s'imposent.
    Instructif pour qui le regarde en toute neutralité.
    antony Z.
    antony Z.

    71 abonnés 1 056 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 janvier 2014
    lourd, lourd et lourd !! le film dure 1h30, c'est pourtant une éternité. Il a du être tourné sur quelques jours à peine... en plus, les scènes se répètent une bonne dizaine de fois ! une bonne idée de départ pourtant mais pas exploité. Et pour combler le tout, un gaspillage de talent !! que fait Scarlett Johnson dans ce film ?!! à éviter au cinéma tout au moins !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 février 2014
    [...]Toujours un chewing-gum dans la bouche et bien habillée, l’actrice colle parfaitement au personnage et on en attend pas moins, puisque Joseph Gordon-Levitt a écrit le rôle pour elle ! Julianne Moore, dans le rôle de la femme plus âgée ayant son intimité et des secrets plus sombres, représente bel et bien un personnage crédible, attachant, avec sa part d’originalité et de surprises. On retrouve aussi de nombreux stéréotypes dans les autres personnages du film, notamment chez sa famille, que ce soit la mère se servant de la religion pour éviter d’avoir à parler des conflits en famille, du père un peu mauvais dans ses manières et sa façon d’être, ou encore la plus jeune sœur toujours accrochée à son téléphone sans décrocher un seul mot.

    Ce film aborde une thématique un peu surprenante au début, mais ses aspects plus ironiques nous font retrouver un peu de sérieux. On se fait cependant rappeler assez fréquemment qu’il s’agit tout de même d’une comédie (romantique, pourrais-je ajouter!).

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 juillet 2014
    DON JON envahie notre esprit comme une compagnie française à l’assaut du 3em reich. Gordon choisit de mettre en avant des thèmes peu schématisés avec comme champ lexical : La masturbation, l’addiction et la stimulation. Des mots bien évidemment prohibés qui peuvent rapidement faire tabou sur grand écran avec une réalisation très simplifiée qui n’a pour but que de focaliser la trame sur l’évolution d’un personnage fan de sa bagnole, de paire de nichon siliconée et de POV.
    Oui « Jonny belle gueule » est un bonhomme prétentieux, fier de son corps d’apollon qu’il cultive dans un club de sport, un jeune homme qui note les femmes comme des pièces de bœuf. La religion quant à elle intervient comme une sorte de pseudo moral, un coin où on vendrait des consciences soldées à travers le confessionnal.
    Cette réalisation simpliste permet de centraliser le spectateur sur ses personnages frôlant la caricature, frôlant le cliché ; Une bimbo dotée d’atout de déesse Grec qui crée sa vision sentimentale à travers des films romantiques et un égoïste névrosé par la pornographie, finalement « Don Jon » est une certaine part de vie ordinaire parodié.
    Passons aux personnages secondaires, Julianne Moore tient un rôle clé, elle s’emboîte comme un moment de lucidité pour Jon, en lui ouvrant le chemin sur l’échange équitable entre deux personnages, elle lui apporte un équilibre, une stabilité. Scarlett Johansson dans le rôle de la pétasse superficielle-antipathique, nous prouve à nouveau l’étendue de son travail d’acteur.
    J’ai été charmé par sa première réalisation, charmé par son interprétation, charmé par sa forme rudimentaire. Finis de t’astiquer le manche et fonce voir « Don Jon ». Allez-vous faire foutre. Bien à vous.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 699 abonnés 12 420 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 février 2024
    Joseph Gordon-Levitt s'abandonne complètement dans son premier long-mètrage en tant que rèalisateur! Celui d'un accro au porno ègoïste et sexiste qui dècide de jouer sur le long terme avec la bombe Scarlett Johansson dont il tombe fou amoureux! Provocateur et rèpètitif, son film devient intèressant quand il soulève des tabous comme l'addiction à la masturbation! Après, on sourit de temps à autre aux confessions hebdomadaires de JGH, quelques idèes sont honnêtes, mais "Don Jon" (2013) s'avère être au final un premier essai brouillon et imparfait malgrè la sincèritè de l'auteur qui n'a pas eu peur de prendre des risques! Et puis ça n’en a pas l’air, mais c’est incontestablement un film sur l’amour et la dècouverte de soi! D'ailleurs la relation naissante entre Julianne Moore (la seule actrice à tirer son èpingle du jeu) et Joseph Gordon-Levitt aurait pu donner quelque chose de plus consistant à l'ècran! Allez JGL, garde la foi pour ton deuxième long-mètrage derrière la camèra...
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mars 2014
    Nouveau chouchou d’Hollywood, l’acteur Joseph Gordon-Levitt ne perd pas de temps puisque, après avoir produit l’excellent "Looper", il s’essaie à la réalisation... qui plus est, avec un sujet osé et peu fédérateur, à savoir les mésaventures sentimentales d’un beauf accro au porno. Le sujet était intriguant et j’attendais avec impatience de voir le sens que Gordon-Levitt allait donner à son récit. Et c’est sans doute là que le néo-réalisateur s’est planté. Car le principal problème de "Don Jon" est incontestablement son incapacité à trouver le ton juste… ou plutôt à trouver un ton et de s’y tenir. Il est, dès lors, quasi impossible de classer le film... ce qui aurait pu être une force si le réalisateur ne passait pas son temps à décevoir le spectateur. On s’attendait à une comédie romantique au ton trash… mais Gordon-Levitt parait se foutre royalement de l’histoire d’amour entre Jon et Barbara, cette dernière s’avérant rapidement exécrable et le récit se concentrant sur le seul héros. En outre, le réalisateur a décidé de faire dans le premier degré, en refusant toute prise de distance avec son sujet et en se prenant, au final, beaucoup trop au sérieux. "Don Jon" serait donc un film bien plus auteuriste, avec un point de vue à défendre ? Dans ce cas, difficile de comprendre ce que le réalisateur a voulu dire avec ce film, puisqu’il ne va jamais au bout de ses idées. S’il n’entend pas traiter le porno comme une addiction (ce qu’il laisse entendre au détour d’un dialogue), pourquoi avoir rendu son personnage si accro au sexe virtuel ? Si, au contraire, il entendait traiter le porno comme une addiction, pourquoi le faire décrocher aussi facilement ? Et surtout, pourquoi, avec un sujet aussi trash et des dialogues aussi cash (voir gratuitement vulgaires), avoir sombré dans une morale aussi puritaine avec cette conclusion qui veut que la pouf reste une pouf insensible et que la gentille cougar (qui a perdu mari et enfant, ce qui contraint le spectateur à la trouver attachante) soit la planche de salut du héros qui se fourvoyait jusque là ? Est-ce un problème de scénario mal construit, de thèmes maladroitement abordés ou un défaut au niveau du storytelling ? Difficile à dire, tant "Don Jon" ressemble à un patchwork d’idées accolées les unes aux autres, avec, pour seul dénominateur commun, le porno auquel le héros revient toujours. A moins que le problème vienne tout simplement du fait qu’avec un tel sujet, le spectateur était en droit d’attendre davantage d’humour et moins de morale. Joseph Gordon-Levitt a, sans doute, tenter de surprendre le public mais ne réussit qu’à le décevoir. Les scènes les plus symptomatiques, à ce titre, sont celle des repas de famille de Jon, qui auraient dû être des monuments de drôlerie (surtout avec la présence du revenant Tony Danza dans le rôle du père !) et qui souffrent d’une terrible carence de rythme comique. Tout n’est cependant pas à jeter dans "Don Jon" puisqu’il faut saluer la volonté du réalisateur de s’éloigner des sentiers battus en proposant quelque chose de différent sur un plan visuel, avec des interludes psychédéliques et un goût immodéré pour les running gag… ou plutôt les running scènes (l’arrivée à la salle de sport, les confessions, l’allumage de l’ordinateur et le cérémonial qui s’en suit…). On peut, également, saluer l’effort (ou l’inconscience) de Gordon-Levitt dans l’écriture de ses personnages, qu’ils ne cherchent jamais à rendre sympathiques et qu’ils enferrent dans un milieu social et culturel si cloisonné qu’il en devient excluant. Ainsi, le héros Jon (campé par Joseph Gordon-Levitt himself) est un véritable produit bas de gamme de la société de consommation américaine (qui ne jure que par l’apparence et les biens matériels)… soit un personnage assez pathétique à qui il n’est cherché aucune excuse. Sa copine (Scarlett Johansson, bombesque) n’est pas l’archétype de la petite amie parfaite et s’avère des plus détestables avec sa volonté de tout contrôler et ses crises de petite fille gâtée par la nature. Seule la décalée Esther (Julianne Moore, qui dénote dans le tableau) a droit à un traitement plus policée... sans doute pour l’imposer un peu artificiellement comme la meilleure option du héros. Mais tous ces efforts, aussi louables soient-ils, ne suffisent pas à faire un bon film… Et "Don Jon" n’est pas un bon film, loin de là !
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