AlloCiné
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Votre avis sur Don Jon ?
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Très fan de Joseph Gordon-Levitt, j'ai trouvé ce film original et bien mené. Le sujet, peu récurrent au cinéma, est brillamment exploité et les acteurs sont convaincants. La réalisation calquée sur la répétition nous plonge véritablement dans le quotidien de ce personnage accro à son univers factice, et témoigne du talent de son jeune réalisateur. Un film original, à voir.
Inutile et soporifique, le film n'est même pas sauvé par ses acteurs... Ennuyeux à souhait, nous suivons un "beau gosse" en quête d'amour. Film reposant uniquement sur son coté cul avec parfois des propos cul, il n'a d’intérêt que pour la belle scarlett... Bref, un film à oublier et surtout à ne pas voir en salle....
Ça commençait pourtant bien, une satire grinçante que l'on espérait pleine de surprise..ah bah quelle surprise ! on découvre bien trop vite le message moraliste, hyper-simpliste à peine voilée sous ce scénario qui tient plus de la rédac neuneu qu'on bâcle en philo au lycée.
L'acteur phare du moment à Hollywood, confirme son statut de cinéaste, avec ce premier long métrage : réalisé, écrit et interprété par celui-ci. Don Jon, pour Joseph Gordon Levitt, c'est un premier coup d'essai dans le maniement de la caméra et de la mise en scène, et pour un début c'est vraiment génial ! Le film est excellent et très réaliste dans le message qui y est véhiculé. Une vraie profondeur est perceptible dans l'écriture, et également dans la construction du personnage ultra égocentrique de Jon Martello. Contrairement à ce que laisse penser le résumé du film et sa promotion, la pornographie n'est pas le sujet principal du film. Il s'agit plus d'une comédie romantique, qui parvient à se démarquer de ses semblables, afin de nous porter un message universel, d'actualité et qui nous unit tous !
Le film est plaisant mais quand le générique de fin apparait... on se dit "beh, ils ne sont pas fait chier quand même !!!". La conclusion est, je trouve, bâclée et vraiment niaise.
On apprécie que l'église catholique symbolique parfaite du puritanisme débilisant des américains est violemment opposée à l’industrie du porno sur internet. Cette image du dépravé qui nique à couilles rabattues "hors mariage", se branle 10 fois par jour sur des vidéos X, mais qui se fait pardonner par Jésus après confesse, est jouissive ! Très représentatif de cette société américaine donneuse de leçon mais qui abrite un maximum de détraqués.
Et soudain on est déçu, quand après avoir dressé ce visage trash de l’Amérique, on sombre dans le dégoulinant, le sentimental et le tout public.
Bref, ce film se regarde mais il manque considérablement de consistance.
On apprécie que l'église catholique symbolique parfaite du puritanisme débilisant des américains est violemment opposée à l’industrie du porno sur internet. Cette image du dépravé qui nique à couilles rabattues "hors mariage", se branle 10 fois par jour sur des vidéos X, mais qui se fait pardonner par Jésus après confesse, est jouissive ! Très représentatif de cette société américaine donneuse de leçon mais qui abrite un maximum de détraqués.
Et soudain on est déçu, quand après avoir dressé ce visage trash de l’Amérique, on sombre dans le dégoulinant, le sentimental et le tout public.
Bref, ce film se regarde mais il manque considérablement de consistance.
Que sont donc venues faire Scarlett Johansson et Julianne Moore dans cette galère? La triple casquette réalisateur/scénariste/acteur vaut à Gordon-Levitt un triple zéro, et c'est bien payé. Non seulement dépourvu de substance et de jeu, mal filmé, DON JON parachève son ridicule avec une fin en mode coitus interruptus.
Pour sa première expérience derrière la caméra, Joseph Gordon-Levitt profite de sa récente playboyisation pour se mettre en scène en caricature de Don Juan et attaquer les canons de l’esthétique pornographe moderne. Oui, rien que ça.
Les idées originales sont assez rares dans le cinéma hollywoodien pour accorder à Joseph Gordon-Levitt le courage de soulever une vraie question, jusque-là rarement posée aussi frontalement et simplement qu’elle l’est dans Don Jon : la pornographie a-t-elle fait des mâles occidentaux contemporains des monstres froids incapables d’envisager le sexe autrement que comme un fantasme importé de longues heures de masturbation online ?
En se travestissant en playboy bas du front esclave de sa propre superficialité, Joseph Gordon-Levitt, même si l’on a parfois l’impression étrange que cet exercice voyeuriste ne lui déplait pas tant que cela, se donne tout entier à ce projet et ne s’épargne aucune petitesse, ce qui a au moins le mérite d’être courageux. En moquant en parallèle les fausses romances uniquement entretenues pour se conformer à des conventions artificielles vides de sens, il donne à son Don Jon une indéniable touche de sincérité, et propose une leçon morale certes un peu simpliste mais pas totalement inutile.
Une fois dit cela, son film n’a malheureusement pas beaucoup d’autre intérêt que cette idée de départ. spoiler: Passée une première demi-heure ultra-vitaminée parfois drôle bien que répétitive, Joseph Gordon-Levitt tire vite le rideau pour revenir dans le confortable univers de la comédie romantique, pas toujours déplaisant mais forcément peu innovant, abandonnant ainsi l’originalité première de son propos.
spoiler: A l’image de Julianne Moore, plaisante à l’écran mais arrivant un peu comme un cheveu sur la soupe dans le récit, Don Jon finit par flirter dangereusement avec la mièvrerie, un comble après avoir approché de près la futilité et la vulgarité à ses débuts. Ce faisant, il se condamne à n’être qu’une énième comédie plus ou moins romantique voulant remettre le mâle dans une forme de droit chemin, perdant ainsi une grande partie du charme auquel il aurait pu prétendre en prenant un peu plus de liberté avec cette conclusion très attendue.
Un premier film en somme pas désagréable mais pas vraiment indispensable non plus. La route est encore longue pour Joseph le beau gosse, voici qu’il entre dans un monde où ses sourires et ses biceps bien dessinés ne lui seront d’aucune utilité. A suivre.
Les idées originales sont assez rares dans le cinéma hollywoodien pour accorder à Joseph Gordon-Levitt le courage de soulever une vraie question, jusque-là rarement posée aussi frontalement et simplement qu’elle l’est dans Don Jon : la pornographie a-t-elle fait des mâles occidentaux contemporains des monstres froids incapables d’envisager le sexe autrement que comme un fantasme importé de longues heures de masturbation online ?
En se travestissant en playboy bas du front esclave de sa propre superficialité, Joseph Gordon-Levitt, même si l’on a parfois l’impression étrange que cet exercice voyeuriste ne lui déplait pas tant que cela, se donne tout entier à ce projet et ne s’épargne aucune petitesse, ce qui a au moins le mérite d’être courageux. En moquant en parallèle les fausses romances uniquement entretenues pour se conformer à des conventions artificielles vides de sens, il donne à son Don Jon une indéniable touche de sincérité, et propose une leçon morale certes un peu simpliste mais pas totalement inutile.
Une fois dit cela, son film n’a malheureusement pas beaucoup d’autre intérêt que cette idée de départ. spoiler: Passée une première demi-heure ultra-vitaminée parfois drôle bien que répétitive, Joseph Gordon-Levitt tire vite le rideau pour revenir dans le confortable univers de la comédie romantique, pas toujours déplaisant mais forcément peu innovant, abandonnant ainsi l’originalité première de son propos.
spoiler: A l’image de Julianne Moore, plaisante à l’écran mais arrivant un peu comme un cheveu sur la soupe dans le récit, Don Jon finit par flirter dangereusement avec la mièvrerie, un comble après avoir approché de près la futilité et la vulgarité à ses débuts. Ce faisant, il se condamne à n’être qu’une énième comédie plus ou moins romantique voulant remettre le mâle dans une forme de droit chemin, perdant ainsi une grande partie du charme auquel il aurait pu prétendre en prenant un peu plus de liberté avec cette conclusion très attendue.
Un premier film en somme pas désagréable mais pas vraiment indispensable non plus. La route est encore longue pour Joseph le beau gosse, voici qu’il entre dans un monde où ses sourires et ses biceps bien dessinés ne lui seront d’aucune utilité. A suivre.
Tout d'abord, particulièrement étonné par le choix de JGL d'adapter et de jouer le rôle d'une personne accroc aux films porno et jugeant les femmes selon des notes sur dix. Puis, on découvre un film particulièrement bien mené et des personnages justes. JGL se permet même de prendre parti sur les femmes aux physiques avantageux, sur celles qui en ont un moins avantageux mais qui ont un cerveau et une histoire et même une conclusion sur les hommes :
spoiler:
Pourquoi un homme en couple n'aurait pas le droit de regarder ou d'arrêter les films pornos comme ça lui chante ? Selon ses envies.
Un film qui mérite d'être vu au moins une fois, sans rien attendre, vous passerez un bon moment. 4/5
Un film qui mérite d'être vu au moins une fois, sans rien attendre, vous passerez un bon moment. 4/5
L'histoire d'un tombeur (d'un petit branleur en fait) accro au porno qui essaie de se caser avec une pouffe de compèt ' (Scarlett Johansson qui m 'a autant saoulé par son rôle - une chieuse de service. Si vous avez des potes qui ont perdu leurs s et qui se font mené par leur gonzesse, vous saurez de quoi je parle - que par son physique (bah oui : c'est une impression ou madame a un gros cul ? Le début de la fin ...). Quant au sujet - original et osé, mais franchement douteux et limite scabreux -, je préfère même pas en parler tellement j 'ai trouvé ça décalé pour un film (et dire que Joseph Gordon Lewitt a quitté "Django Unchained" pour ce film - certes, SON film mais quand même ...). Bref, j'ai pas du tout aimé ...
Comédie surement pas très vulgaire et sans intéret un pur délire à oublier vite.
Comment peut on aimer ce film!!! je le déconseille à tous. Heureusement que je n ai pas payé pour le voir.
Nullissime, la vie d'un adolescent attardé obsédé par vidéo porno ! A éviter...
Tout d'abord il faut savoir à quoi s'attendre en allant voir ce film.
Car si vous ne savez pas que ça va parler de cul et que c'est le genre de sujet que vous n'aimez pas ou qui vous met mal à l'aise alors il ne faut pas aller le voir. En dehors de ça le film reste pour ma part moyen.
Alors certes on sort des sentiers battus, c'est original et donc le film reste sympa. Les acteurs jouent tous très bien dans ce film avec Joseph Gordon-Levitt, Scarlett Johansson, Julianne Moore, Tony Danza.
Les musiques collent très bien à l'ambiance du film et sur ce point y a rien d'autre à dire.
Le gros problème du film pour moi c'est la redondance de scènes qui se répètent. J'ai trouvé que ça en devenais lassant. La fin n'est pas réussi non plus et puis dans ce film certes on a souvent le sourire aux lèvres mais ça ne vas pas plus loin rien de vraiment très drôle.
Après pour une première réalisation c'est loin d'être mauvais ça reste un film sympa à voir à condition comme je le disais au début de savoir ce que l'on va voir.
Ma note : 6/10 !!
Car si vous ne savez pas que ça va parler de cul et que c'est le genre de sujet que vous n'aimez pas ou qui vous met mal à l'aise alors il ne faut pas aller le voir. En dehors de ça le film reste pour ma part moyen.
Alors certes on sort des sentiers battus, c'est original et donc le film reste sympa. Les acteurs jouent tous très bien dans ce film avec Joseph Gordon-Levitt, Scarlett Johansson, Julianne Moore, Tony Danza.
Les musiques collent très bien à l'ambiance du film et sur ce point y a rien d'autre à dire.
Le gros problème du film pour moi c'est la redondance de scènes qui se répètent. J'ai trouvé que ça en devenais lassant. La fin n'est pas réussi non plus et puis dans ce film certes on a souvent le sourire aux lèvres mais ça ne vas pas plus loin rien de vraiment très drôle.
Après pour une première réalisation c'est loin d'être mauvais ça reste un film sympa à voir à condition comme je le disais au début de savoir ce que l'on va voir.
Ma note : 6/10 !!
defleppard
Un beauf , dans une famille de beaufs, est sauvé de sa beauftitude , par la rencontre d'une femme. 2 étoiles et demie .
Que dire ?
Tout simplement que ce film tourne en rond, pourtant il y avait de la matière pour pouvoir faire quelque chose de vraiment bien.
L'humour reste très limité, et les acteurs qui ne sont pas pour autant mauvais, n'ont pas réussi à mettre ce film en valeur.
Scarlett Johansson est au sommet de la vulgarité, Joseph Gordon Lewit sonne faux dans ce rôle.
Quoiqu'il en soit, je vous conseille de regarder ce film vraiment en dernier ressort (et encore)
Tout simplement que ce film tourne en rond, pourtant il y avait de la matière pour pouvoir faire quelque chose de vraiment bien.
L'humour reste très limité, et les acteurs qui ne sont pas pour autant mauvais, n'ont pas réussi à mettre ce film en valeur.
Scarlett Johansson est au sommet de la vulgarité, Joseph Gordon Lewit sonne faux dans ce rôle.
Quoiqu'il en soit, je vous conseille de regarder ce film vraiment en dernier ressort (et encore)
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