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Diem V
13 abonnés
57 critiques
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2,5
Publiée le 10 septembre 2014
Un premier film pour Joseph Gordon Lewitt qui traite de l'addiction de la pornographie, ça ne pouvait que me plaire ! mais après visionnage, j'ai été un peu déçue car trop de scènes répétitives, peut-être trop trash aussi pour certaines images (ok je sais bien que ça traite de la dépendance aux films pornos mais tout de même...:)) était-ce nécessaire de mettre tant de séquences pornos pour la bonne compréhension du film ? Bref, un bon moment passé tout de même surtout grâce à son réalisateur/acteur, assez bluffant dans son personnage et Scarlett Johansson, tout simplement magnifique en bimbo sexy. Quant aux autres personnages du film, ils sont carrément caricaturaux. Je pense surtout à la petite soeur du héros qui m'a fait bien rire malgré son manque de dialogue.
Je n'ai pas vraiment aimer, j'ai trouver ce film plats sans trop d’intérêt ... Les dialogues étais pauvres et beaucoup trop de clichés à mon gout ... Bref je suis déçue.
Affligeant. C'est le mot. Aucun intérêt, dialogues mal ficelés, des scènes répétitives et certaines mêmes inutiles. Le récit ne décolle à aucun moment. On s'attend à une "surprise", un retournement de situation, mais le scénario est prévisible, et franchement maladroit.
Joseph Gordon-Lewit, malgré le rôle qui lui a été attribué, est plutôt bon. Par contre Scarlett Johanson n'est pas mise en valeur, mise à part sa plastique...N'importe quelle bimbo bon marché aurait fait l'affaire. Les moments les moins mauvais sont dans la bande annonce. Le reste est terrible et déplorable.
JGL ne brille pas dans sa première réalisation cinématographique. Il confirme ses talents d'acteur mais déçoit en tant que réalisateur. Il ne peut que s'améliorer dans ce dernier domaine....
"Don Jon" aurait pu être dédié à Laurent Wauquiez - qui a confessé regarder Youporn "comme tout le monde". Le porno ! Voici un sujet qui intéresse les hommes et dérange les femmes. Et réciproquement. Voilà donc un film qui touchera un large public - même s'il est interdit aux moins de 12 ans.
Tous les hommes matent-ils du porno ? "Don Jon" le postule. Choquant les spectatrices, gênant les spectateurs, il semble nous mettre au défi : "osez affirmer le contraire ! Vous, là, au quatrième rang ! " "Oui, vous, le jeune. Et aussi vous, le vieux. Vous le célibataire, comme vous qui êtes venu voir ce film avec votre amie" "Vous qui avez l'air malheureux et triste. Et vous aussi qui semblez parfaitement équilibré et qui, pourtant, le soir, en cachette ..." Est-ce une addiction criminelle ? une impulsion juvénile ? un comportement machiste et narcissique ? un pêché mignon ? "Don Jon" ne répond pas à ces questions. Il n'en pose pas moins une autre, diablement intéressante.
Pourquoi les hommes matent-ils du porno ? Faute de trouver un partenaire sexuel ? Pas seulement. Don Jon (Joseph Gordon-Levitt, les pectoraux saillants et les cheveux gominés) est un homme à femmes, jeune et séduisant, qui lève chaque week-end une jolie fille dans la boîte qu'il fréquente avec ses potes. Pourtant, il consomme du porno dans des quantités industrielles. Pire : alors qu'il rencontre un 10/10 (Scarlett Johansson hottissime) et s'apprête à s'installer avec elle, il continue à mater en cachette.
La réponse : le porno serait mieux que le sexe. Et Don Jon d'en faire la démonstration dans une séquence dont je mets au défi le Mâle contemporain de démontrer qu'elle ne contient pas une once de vérité. Evidemment, cette réponse est erronée. Le porno est au sexe ce que le livre de recettes est à la cuisine ou le catalogue d'agence de tourisme aux voyages. Le sexe est VRAI. Mieux : il se pratique à deux (à trois ou plus aussi parfois !
C'est la conclusion bien-pensante du film. Joseph Gordon-Levitt n'est pas Michel Houellebecq - qui affirme crânement sa beauferie. Il nous dit que même si nos partenaires ne sont pas aussi parfaites que des playmates de magazine et ne possèdent pas toujours toute la gamme de leurs pratiques sophistiquées, elles n'en sont pas moins réelles. Don Jon, qui cherchait au début du film une forme d'ivresse dans la contemplation hypnotique et répétitive de films X, finit par "se perdre" dans les bras d'une femme à la fin. Cette morale - qui rassurera les spectatrices et culpabilisera les spectateurs - n'est guère surprenante. L'est moins en revanche la conclusion du film qui s'acheminait paresseusement vers un happy end prévisible qu'il réussit à éviter Signe que ce film au sujet dérangeant, sous ses airs de gentille comédie américaine, mérite le détour.
M'attendant a une comédie romantique assez burlesque, jai été drôlement surpris par don jon. Tombant les deux pieds dans le cliché , il ne prend aucun gants pour dénoncer un mal des plus dérangeant pour les femmes : la masturbation. Une Scarlett Johanson a croquer mais qui au final ne sera pas pour notre Jon, fou, addict, menteur et manipulateur . JGL osé mais moralisateur, qui malgré quelques coups de mou, nous sert sur un plateau d'argent un drame bien comme il faut. Fastidieusement satisfait.
Mon corps, mon appart, ma caisse, ma famille, mon église, mes potes, mes copines, mon porno... Tout est dans l'affiche, il n'y a rien de plus, aucun intérêt si ce n'est Scarlett Johansson étincelante! De plus, sans critiquer son talent d'actrice, je ne comprend pas pourquoi avoir confier ce rôle là, à Julianne Moore, une actrice plus jeune aurait été plus appropriée 1.5/5
"Don Jon", que j'ai U**oad en excellente qualité, et qui sort aux ciné se mercredi 05 décembre 2013. Un film ou Joseph Gordon-Levitt, alias Jon, et addict aux porno,et vois plus d"avantage a se "manchonné l'tuyaux", mes ne trouve pas le même plaisir, lors-qui sagit de faire l'amour, a une vraie femme, fesant la rencontre de Scarlett Johansson, alias Barbara, il vas vite se rendre compte, que de décroché du porno, ne sera pas une mince a faire... Un scénario, prometteur, mes qui s"essouffle aux fur et a mesure, avec pas mal de cliché Américain, et même trop moralisateur,et même Faux cul par moment. 3 acteurs(ices), plutôt convainquant, mes un manque cruel d'humour,l(humour qui s'essouffle aux fur et a mesure du film, et une fin, sympa, mes bradé trop vite comme une lettre a la poste. Ses pas le film de l'année, mes le jeux romantique des acteurs, et l'idée de départ, nous conviendra, sens sauté aux plafond a la fin du film...
L'histoire d'un gars qui est accro aux sites porno et à ses masturbations. On pense voir un bon film et en fait...non. Le sexe revient beaucoup trop souvent dans le film, s'en est presque soulant, sans parler d'une limite caricature avec les films romantiques. Bof...
Don Jon est un stéréotype de clubber américain dopé au porno. Il fait de la muscu en répétant ses Ave Maria et ses Notre Père. Même au second degré, la rengaine devient vite lourde... L'ensemble n'est pas choquant ou amusant, surtout bien creux! Tout le contraire bien sûr des formes de Scarlett Johansson, méchamment maquillée, mâchant son chewing-gum et vaguement controle freak! Mis à part le fantasme d'intégrer Scarlett à la fête, on se demande ce qui a dirigé Joseph Gordon-Levitt dans ce film. Les personnages sont caricaturaux comme la classique voix off qui vous briefe sur l'intériorité profonde du fana de porno. Ça peut amuser 20 minutes mais le film en dure 90.
Film intéressant, mais on a du mal à comprendre le personnage ! Regarderiez vous encore des pornos si votre copine était Scarlett Johansson ? Le rythme du film est original, mais cette répétition de scène provoque au bout d'un moment un ennui.
Premier film prometteur en tant que réalisateur pour le jeune acteur américain mais qui est malheureusement rattrapé par un scénario simpliste et compte beaucoup trop de coup de mou pour être une véritable réussite.