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Votre avis sur La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2 ?
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La Palme d'or de Cannes 2013 est un film qui impressionne par son authenticité, mais c’est malheureusement à peu près tout. Au delà de (l'indiscutable) réalisme qui caractérise les situations, on a du mal à discerner un point de vue, un message, ou même un but précis derrière tout cela. Si ce n’est que pour faire du réalisme, autant s'immerger directement dans la vraie vie, ça sera toujours plus intense qu'un film. J'attends de voir l'évolution apportée par les chapitres 3 et 4, si toutefois ils sont prévus au programme (j'avais écrit cette critique au moment de la sortie du film et visiblement ce n'est pas le cas).
A noter enfin que c'est adapté d'une BD : "Le bleu est une couleur chaude" que le film ne m'a pas donné spécialement envie de découvrir. C'est dire.
A noter enfin que c'est adapté d'une BD : "Le bleu est une couleur chaude" que le film ne m'a pas donné spécialement envie de découvrir. C'est dire.
L’œuvre d’un artiste, un film dont l’objectif est le plus élevé qui soit, se dédier à l’amour. La scène de la rencontre en traversant la rue est d’une beauté à couper le souffle, ou encore celle du baiser sur le banc quand les bouches se séparent le soleil éblouit l’écran, et l’intensité des scènes intimes, des disputes, de la séparation font battre et serrent le cœur. Le naturel d’Adèle Exarchopoulos est époustouflant.
Après un tel engouement et autant de publicité pour ce film, on est en droit de s'attendre soit à un navet promu, soit à un bon film... Seulement voilà, Adèle semble toujours très enrhumée avec un regard plutôt vitreux qui est assez ragoutant... Et sa vie... Comment expliquer à quel point elle manque d'intérêt pour un spectateur ? Adèle se cherche et trouve une autre fille avec qui jouer, ici Léa Seydoux. Les deux femmes signeront une scène lesbienne qui fera couler pas mal d'encre et qui mérite une censure un peu plus haute qu'interdite aux moins de 12 ans... Encore qu'Adèle se cherche et vit ses premiers émois sans que cela ne nous intéresse réellement... Tout le long du film, on hésite à lui proposer un mouchoir ou de l'humex. Il n'y a pas de réelle justification à ce regard vitreux et ce nez qui la fait renifler ou se gratter sans arrêt !
Tout a déjà été dit :
- Les gros plans à outrance
- Le sexe à outrance
- Les spaghettis à outrance
- La philo à outrance
- Le vide à outrance.
Et une palme d'or, une !
- Les gros plans à outrance
- Le sexe à outrance
- Les spaghettis à outrance
- La philo à outrance
- Le vide à outrance.
Et une palme d'or, une !
Comme dirait un certain Karim Debbache "Faites un porno ! Vous voulez faire un porno alors faites un porno !!! ".
C'est long, soporifique, c'est digne de la série "Plus belle la vie" et c'est entrecoupé de scènes porno (pas romantiques ni même érotiques mais bien porno avec organes sexuels bien visibles même si sans pénétration), hétéro mais plus souvent lesbiennes pour faire jaser.
Sauf que les gars, des scènes porno lesbiennes ça ne choque plus la plupart des gens depuis des décennies. Dans le monde du porno on en trouve même plus que de scènes hétéro, c'est devenu totalement banal. La seule incongruité ici c'est de faire croire que c'est du cinéma traditionnel et de présenter ça au festival de Cannes où une bande de bobos crieront au génie.
C'est long, soporifique, c'est digne de la série "Plus belle la vie" et c'est entrecoupé de scènes porno (pas romantiques ni même érotiques mais bien porno avec organes sexuels bien visibles même si sans pénétration), hétéro mais plus souvent lesbiennes pour faire jaser.
Sauf que les gars, des scènes porno lesbiennes ça ne choque plus la plupart des gens depuis des décennies. Dans le monde du porno on en trouve même plus que de scènes hétéro, c'est devenu totalement banal. La seule incongruité ici c'est de faire croire que c'est du cinéma traditionnel et de présenter ça au festival de Cannes où une bande de bobos crieront au génie.
Difficile de noter ce film qui est atypique par le sujet qu’il traite et par la façon dont il est réalisé. On suit Adèle tout au long du film, mais quand je dis qu’on la suit, on la suit vraiment de très très près (les gros plans sur son visage doivent durer un quart du film) et jusque dans ses moments les plus intimes (les scènes de sexe sont filmés longuement et sous tous les angles). Adèle se sent différente des autres et se pose beaucoup de questions, mais lorsqu’elle rencontre Emma (Léa Seydoux), elle tombe immédiatement amoureuse et découvre son homosexualité. Les scènes de sexe sont parfois tellement longues que le film bascule dans le voyeurisme, et ça devient presque gênant. Félicitations aux deux actrices principales qui réalisent une prestation exceptionnelle ! Je trouve tout de même qu’il y a beaucoup de longueurs, notamment dans la dernière demi-heure. Et puis le dénouement est un peu frustrant... l’histoire se finit mollement, sans véritable fin. Il mérite d’être vu une fois.
Je trouve que ce film sublime l’actrice qui interprète Adèle
L’histoire en elle-même reste assez banale mais, Adèle EXARCHOPOULOS, est totalement solaire, par son jeu, son interprétation, sa bouille si naturelle, son entité en somme
C’est elle et elle seule, qui m’a fait aimer ce film
L’histoire en elle-même reste assez banale mais, Adèle EXARCHOPOULOS, est totalement solaire, par son jeu, son interprétation, sa bouille si naturelle, son entité en somme
C’est elle et elle seule, qui m’a fait aimer ce film
beaucoup trop long et les scènes de sexe trop explicites et trop longues : concrètement on a imposé à 2 actrices de faire l'amour sur le plateau : et des gros plans sur les fesses, les seins, le sexe...
pour le reste il y a du bon dans cette découverte de son homosexualité
Adèle est très bien mais la photo sur l'affiche ne lui correspond pas, elle a les cheveux longs dans le film
je ne comprends pas pourquoi on met Léa seydoux sur la même plan car son rôle est bien moindre et je la trouve moins bien
pour le reste il y a du bon dans cette découverte de son homosexualité
Adèle est très bien mais la photo sur l'affiche ne lui correspond pas, elle a les cheveux longs dans le film
je ne comprends pas pourquoi on met Léa seydoux sur la même plan car son rôle est bien moindre et je la trouve moins bien
Une histoire totalement banale, des dialogues dignes d'adolescents immatures, des scènes de sexe tout au long du film
spoiler:
dont une longue scène lesbienne particulièrement hot digne d'une série X spoiler:
. Voilà pour l'essentiel de ce que j'ai retenu de ce film. Je crois un des pires films qu'il m'a été donné de voir. Mais voilà: ce film a reçu la palme d'or à Cannes, une pluie de critiques positives y compris des journaux comme Télérama ou même La croix!!! Qui plus est, il est passé sur arte à une heure de grande audience et sans aucune limitation d'age. Ce film est un vrai scandale mais ce qui est encore plus scandaleux, c'est la réaction du Jury au festival de Cannes et celles des critiques de cinéma. Il y a risque de perdre toute crédibilité. La vie d'Adèle, c'est une vie merdique et mortellement ennuyeuse.
dont une longue scène lesbienne particulièrement hot digne d'une série X spoiler:
. Voilà pour l'essentiel de ce que j'ai retenu de ce film. Je crois un des pires films qu'il m'a été donné de voir. Mais voilà: ce film a reçu la palme d'or à Cannes, une pluie de critiques positives y compris des journaux comme Télérama ou même La croix!!! Qui plus est, il est passé sur arte à une heure de grande audience et sans aucune limitation d'age. Ce film est un vrai scandale mais ce qui est encore plus scandaleux, c'est la réaction du Jury au festival de Cannes et celles des critiques de cinéma. Il y a risque de perdre toute crédibilité. La vie d'Adèle, c'est une vie merdique et mortellement ennuyeuse.
La Vie d'Adèle est un film très réussit.
On ressent vraiment les émotions qui traversent le personnage principal. Adèle Exarchopoulos est particulièrement bluffante. Son personnage évolue entre la fin de l'adolescence et l'âge adulte de manière très positive, on voit qu'elle devient plus riche et mâture.
L'atmosphère d'un lycée actuel étant vachement bien retranscrit. J'ai été replongé dans mes années lycée (étant juste sorti depuis peu du lycée lorsque le film est sorti).
Beaucoup de courage de la part des deux actrices pour jouer les scènes d'amour.
Les trois heures passent très vite. C'est très bien réalisé.
On ressent vraiment les émotions qui traversent le personnage principal. Adèle Exarchopoulos est particulièrement bluffante. Son personnage évolue entre la fin de l'adolescence et l'âge adulte de manière très positive, on voit qu'elle devient plus riche et mâture.
L'atmosphère d'un lycée actuel étant vachement bien retranscrit. J'ai été replongé dans mes années lycée (étant juste sorti depuis peu du lycée lorsque le film est sorti).
Beaucoup de courage de la part des deux actrices pour jouer les scènes d'amour.
Les trois heures passent très vite. C'est très bien réalisé.
J'ai tellement entendu de mal de ce film que j'ai été pendant longtemps réticent à l'idée de le voir mais j'ai finalement franchi le pas et je ne regrette absolument pas mon choix. Je ne pourrai pas dire si on est devant un long-métrage qui mérite la palme d'or mais, ce qui est sûre, c'est que "La vie d'Adèle" est incontestablement un superbe film. Abdellatif Kechiche est parvenu à faire un film générationnel dans le bon sens du terme, c'est-à-dire un film qui comprend la jeunesse et réussit à retranscrire son état d'esprit dans une oeuvre devant laquelle beaucoup pourront s'identifier. Il y a une incroyable sensation de réalisme qui se dégage de chaque plan, que ce soit grâce aux dialogues, à la direction des acteurs ou au fantastique travail de la lumière naturelle. Ce film respire le vrai tout en dégageant une poésie enivrante qui magnifie chaque séquence. Les scènes de sexe qui ont tant fais parler d'elles sont finalement peu nombreuses et surtout toutes magnifiques, Kechiche arrivant comme je l'ai dis à saisir de chaque situation un réalisme brut qu'il parvient à esthétiser pour obtenir des scènes purement cinématographiques. On a également reproché au film de ne rien raconter mais c'est oublier tout le sous texte social passionnant contenu au sein de l'oeuvre. Plus que de dépeindre la jeunesse et la libération homosexuelle, Kechiche livre une véritable fresque sociétale en rendant compte de la réalité sociale française afin de mieux analyser la psychologie de son personnage féminin principal. Cela me permet de faire le lien avec la formidable performance d'Adèle Exarchopoulos qui illumine littéralement le film de sa classe au point que l'on ne retienne qu'elle à la fin de la séance. Je ne pense pas que le film soit exempt de petits défauts par-ci par là mais ces derniers ne représentent pas grand chose face à la puissance de cet instant de cinéma qui m'a littéralement transporté pendant 3h00.
Vu La Vie d'Adèle longtemps après sa sortie, mais quand on a manqué une Palme d'Or on se dit que le moment où l'on rattrape le temps perdu importe peu. Bien sûr je savais ce film controversé chez les spectateurs, mais la critique professionnelle était tellement unanime à l'encenser... Plouf ! Une fois de plus je me serai fait avoir par ces supposés détenteur du jugement juste qui, forts de leurs certitudes, ont vite fait de laisser entendre que vous êtes des imbéciles si vous ne partagez pas leur enthousiasme ou leur détestation.
Alors, voilà: j'assume mon statut d'imbécile!
La Vie d'Adèle évoque les affres de la découverte de l' amour par une adolescente. Bon, rien de très original dans ce thème, si ce n'est qu'il est rendu plus douloureux puisqu'il s'agit d'un amour hors des sentiers battus. Mais à part cela, quoi d'autre ? 3 heures d'un film porno qui ne dit pas son nom. Voyeurs de tout poil, régalez-vous !
Pour le jeu fabuleux des deux immenses actrices (Seydoux et Exarchopoulos) dans des rôles particulièrement difficiles, et dont on peut supposer qu'il tient - pour une toute petite part- à la façon dont elles ont été dirigées, j'octroie un généreux 1/5 à Adellatif Kechiche.... que je ne félicite pas.
Alors, voilà: j'assume mon statut d'imbécile!
La Vie d'Adèle évoque les affres de la découverte de l' amour par une adolescente. Bon, rien de très original dans ce thème, si ce n'est qu'il est rendu plus douloureux puisqu'il s'agit d'un amour hors des sentiers battus. Mais à part cela, quoi d'autre ? 3 heures d'un film porno qui ne dit pas son nom. Voyeurs de tout poil, régalez-vous !
Pour le jeu fabuleux des deux immenses actrices (Seydoux et Exarchopoulos) dans des rôles particulièrement difficiles, et dont on peut supposer qu'il tient - pour une toute petite part- à la façon dont elles ont été dirigées, j'octroie un généreux 1/5 à Adellatif Kechiche.... que je ne félicite pas.
La palme d’or 2013 d’Abdellatif Kechiche n’a pas été volé avec l’histoire d’une jeune fille qui cherche de découvre homosexuel le jour où elle découvre Emma. Le cinéaste montre les étapes d’une jeune fille à devenir femme en découvrant sa sexualité et les hauts et bas de sa première relation. Kechiche ne fait pas un film militant sur la cause des homosexuels il filme un couple.
Le premier mot du film est prononcé par une étudiante qui lit Marivaux « Je suis femme et je compte mon histoire », une phrase qui représente à elle seule le film.
Les séquences de sexe très explicites montre la naissance du désir avec une intensité extraordinaire et qui renvoie à une beauté artistique picturale.
Abdellatif Kechiche filme Adèle Exarchopoulos de la plus belle des façon et l’examine sous toutes ses facettes. Il nous fait oublier que l’on est devant un film et on s’immerge dans un film de 3 heures sans le moindre problème, grâce, notamment aux jeux des 2 personnages principales.
De plus, la chanson de Lykke Li I follow rivers apparaît au parfait moment pour sublimer le film et cette chanson
Le premier mot du film est prononcé par une étudiante qui lit Marivaux « Je suis femme et je compte mon histoire », une phrase qui représente à elle seule le film.
Les séquences de sexe très explicites montre la naissance du désir avec une intensité extraordinaire et qui renvoie à une beauté artistique picturale.
Abdellatif Kechiche filme Adèle Exarchopoulos de la plus belle des façon et l’examine sous toutes ses facettes. Il nous fait oublier que l’on est devant un film et on s’immerge dans un film de 3 heures sans le moindre problème, grâce, notamment aux jeux des 2 personnages principales.
De plus, la chanson de Lykke Li I follow rivers apparaît au parfait moment pour sublimer le film et cette chanson
Redzing
Jeune lycéenne, Adèle se cherche sentimentalement et sexuellement. Jusqu'à ce qu'elle rencontre Emma, étudiante avec qui elle vivra une forte histoire d'amour. Le moins qu'on puisse dire, c'est que "La Vie d'Adèle" a allègrement fait parler de lui en 2013 ! Histoire d'amour lesbienne couronnée de la Palme d'Or cannoise au moment où la Manif pour Tous défilait contre le mariage gay, scandale sur les conditions de tournages infernales et l'attitude méprisante du réalisateur envers son équipe technique, polémique autour des scènes de sexe... Au final, que vaut le film ? Avec ses longueurs, sa mise en scène très crue (gros plans quasi systématiques, caméra à l'épaule, scènes de sexe longues et réalistes), et sa narration sous forme de tranches de vie, il est clair qu'il ne plaira pas à tous. Néanmoins, on ne peut nier que beaucoup de soin a été apporté. Adèle Exarchopoulos s'avère particulièrement sensible et touchante en jeune femme un peu perdue, qui va progresser dans différentes tranches de vie. La manière dont est écrite son évolution et sa romance sont également intéressante. Par ailleurs, les visuels sont bourrés de symbolique, à l'image d'une jolie photographie qui souligne régulièrement l'opposition entre rouge et bleu (marquant la progression d'Adèle), ou l'incursion de cette dernière couleur dans le quotidien de la protagoniste (montrant son rapport changeant avec Emma). Ainsi, tout le monde n'aimera pas, mais "la Vie d'Adèle" mérite que l'on y jette un œil.
On peut reprocher de nombreuses choses à Abdellatif Kechiche, mais on ne peut nier qu’il a un vrai regard de cinéaste et d’auteur qui trouve une pleine expression et maturité à travers ce long-métrage passionnant malgré une durée a priori excessive. En réalité, on ne s’ennuie jamais durant ce film au montage parfaitement équilibré, qui sait prendre son temps pour décrire une relation amoureuse passionnelle, mais aussi pour inscrire son personnage principal dans un environnement bien spécifique. Il est question ici de mondes qui ont du mal à se côtoyer, de passion rejetée par la société, mais aussi de dépendance physique envers autrui. Tout ceci s’appuie sur une réalisation magistrale s’attachant à ses personnages. Les deux actrices principales sont formidables et donnent beaucoup d’elles-mêmes – apparemment plus que ce qu’elles ont été capables d’assumer par la suite – mais dans tous les cas, leur prestation restera à jamais fixée sur la pellicule et elle constitue sans aucun doute le grand rôle de leur vie. La Palme d’Or n’était donc pas volée.
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