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nefastodelirio
16 abonnés
28 critiques
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0,5
Publiée le 30 octobre 2013
Ennuyeux, long, très long, scènes de sexe gênantes, interminables, qui frisent le ridicule, Adèle toujours la bouche ouverte (elle est étonnée de se trouver dans un film?). Le scénario il est où ? Docu ou film ? ..... Gros plans gênants presque tout le temps....bref....nul quoi !
J'ai tenté de regarder ce film en faisant fi des préjugés et notamment du fait que je ne peux pas voir Léa Seydoux en peinture (ni en photo, et encore moins en cinémascope). Bien mal m'en a pris. Passe encore les dialogues caricaturalement pauvres, dotés d'une palette d'au moins 50 mots de vocabulaire, on baigne ici dans l'inculture et une pauvreté d'esprit qui n'a d'égale que la platitude du scénario qui tente d'organiser ce film décousu et faussement nauséabond. Une bonne scène de cul (plutôt réussie) pour pouvoir reprocher à ceux qui n'ont pas aimé d'être des coincés du-dit orifice et le tour est joué.
J'ai voulu décrocher au moment où Léa Seydoux tentait d'expliquer ce qu'était l'Ecole des Beaux-Arts (sans en avoir une fichtre idée), et où elle se met à comparer Sartre et Bob Marley.
Un tel gloubiboulga d'idées a eu raison du peu d'intérêt qu'avait suscité ce film. Mention spéciale à la belle Adèle Exarchopoulos et sa magistrale interprétation du ruminant urbain (incapable qu'elle semble être de fermer sa bouche, constamment entre-ouverte, à la plus grande joie des mouches et sans doute des fantasmes du réalisateur. Ceci devant être la motivation première de cette mise en scène, qui aurait d'ailleurs mieux fait de rester à l'état de projet. Oui mais voilà, le cinéma français (qui n'a toujours pas compris qu'il était une industrie) a besoin d'argent, et donc des frères Seydoux. Et il parait qu'ils sont beaucoup plus généreux depuis que le film de leur petite protégée familiale a eu sa compression dorée.
Bref, si vous n'arrivez pas à dormir, vous pouvez toujours tenter votre chance avec ce film, personnellement je préfère me cantonner aux reportages animaliers de notre chère télévision nationale, c'est plus digeste et moins cliché...
J'ai tenté de me forcer à voir jusqu'au bout cette "contemplation béate" des affres de la vie quotidienne. Heureusement que mon téléphone était là pour me tenir compagnie entre deux expositions longues sur des moments essentiels de la vie de tous les jours ... comme manger des pâtes ou renifler/lécher l'arrière train de sa meuf pendant dix minutes.
Non mais vraiment il est grand temps que le cinéma français fasse sa purge et SURTOUT que l’État (notre argent !) stoppe le financement de certains artiste autoproclamé s'estimant géniaux car ils filment des conneries. ça leur rapporte de l'argent avec lequel ils peuvent venir étaler leurs atermoiements à deux balles sur la place publique (voir feuilleton sur les méthodes du réal) mais ça prive de vrais réalisateurs avec des vraies idées d'un financement. Le prochain Kubrick français pourra aller se faire foutre, on a KECHICHE ! La contemplation de la vie de tous les jours, avec le bruit de fond qui va avec, ça n'est pas du cinéma au sens stricto sensus de l'art. C'est juste du mimétisme bête et inutile mais on s'en fiche c'est tellement bien filmé ... LOL (j'ai jamais vu un cadrage aussi ennuyant, classique sans dimensions, sans âme).
Alors peut être que ça va ravir les bobo socialo intégristes en mal de ce genre de film "engagé" (mot valise qui désigne un film ayant : du coeur, de la considération, des sentiments pour une cause minoritaire etc) pour la cause, en attendant on observera le gouffre entre les critiques dithyrambiques et les entrées en salle voire même les notes de spectateurs.
Encore un film encensé plus que la moyenne pour un résultat médiocre. D'un extrême à l'autre quoi... J'oserai même ce bon mot, en écho au financement public du film : "Le réalisateur kechiche ne sait pas d'ou il est parti. Il ne sait pas ce qu'il fait et quand il arrive quelque part, il ne sait pas ou il est. Et tout ça avec l'argent des autres !" Vive le socialisme culturel (ils vont réussir à me faire voter à droite avec leur matraquage bobo dont la goutte déborde l'océan).
BREF ! Pourquoi ne pas prendre exemple sur les Etats-unis qui arrivent à être plus mesurés dans leurs façons de concevoir le CINEMA avec un C majuscule, pour un public vraiment averti et large. Ce truc pour bobo n'a rien d'un film, mais juste d'une excuse vaguement culturelle pour aller voir un porno et en parler en société.
En attendant j'irais mettre mes 10 euros dans une place pour voir un film qui aborde des sujets plus essentiels que le nombril des catégories bobo sus-citées. Au moins pour Gravity/Inside Lewwey Davis/12 years a slave, on sort un peu des sentiers battus
Une purge! Comment peut-on qualifier de chef d'œuvre un film qui se contente de gros plans sur les boutons d'acné et la morve, et qui n'est malheureusement pas passé par l'étape du montage. C'est long, éprouvant, inintéressant, monotone, les actrices sombrent dans la caricature (Adèle ne connait qu'une seule émotion faciale) et le spectateur dans l'ennui et le dégoût. A déconseiller au plus grand nombre.
On monte dubitatif a bord du grand-huit la vie d'Adèle pour ressortir neurasthénique du plus long grand-huit du monde sans avoir sans éprouver la moindre émotion avec pour seul sentiment celui d'avoir perdu son temps. Le film est interminable qui se compose de discussions familiales, lycéennes ou philosophiques totalement inutiles entrecoupé de scènes de baise, d'embrassades intempestifs et de fêtes. Mr Abdellatif Kechiche ne s'embarrasse de rien, Adèle est filmée dénudé dès qu'il le peut sans que ça apporte quoi que se soit a l'histoire. Adèle passe sans transition d'étudiante à assistante maternelle puis institutrice. La scène de rupture est pitoyable et extrêmement vulgaire, la scène des retrouvaille est lamentable: spoiler: Adèle baise la main de Léa comme si c'était son sexe. .Evidemment il n'y a pas d'histoire et la fin est misérable. Bravo Mr Kechiche vous avez du gagner beaucoup d'argent avec un mauvais film mais le génie perdure et les autres tombent dans l'oubli, je suis prêt a parier que votre film tombera dans l'oubli dans moins de 5 ans et que les rediffusions télés seront inexistantes. Encore merci Mr Kechiche pour m'avoir fait perdre mon temps.
Je me suis ennuyée pendant les 3/4 du film, au final j'ai trouvé ça plus "intéressant" que "bien" et encore, sauf que 3h de gros plans sur les pores dilatés et la morve d'Adèle, des scènes porno embarrassantes à répétition, aucune sensualité, ni émotion, ni subjectivité ne s'en dégage. Cinéphile dans l'âme et en général bon public, je ne comprends décidément pas l'euphorie des critiques autour de ce film de mauvais goût.
Toujours filmé en gros plan, on ne voit dans le film quasi aucun décor.
La mise en scène semble incohérente et le montage ne fonctionne pas. Des centaines de plans pour une scène de sexe qui a fini en fou rire général dans la salle. Je rejoins l'avis de l'auteur de la BD qui a confié que ça manquait cruellement de lesbiennes sur le plateau.
Avoir fait jouer des centaines de fois la même scène semble paradoxalement la déposséder de sa valeur artistique, quand on voit une dispute avec de trop de cut.
Le scénario est sans surprise, la mise en scène achève le moindre changement.
Pour finir, la fin semble trop fade. Comme une volonté de ne froisser personne. Dommage.
Il serait dommage de ne pas regarder "La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2" à cause de la polémique. En effet, même si tout n'est pas parfait, Abdellatif Kechiche a fait du bon travail en adaptant la bande dessinée "Le bleu est une couleur chaude". Le film raconte l'éveil à l'homosexualité féminine avec Adèle et sa copine, plus âgée, Emma. Si la mise en scène est de qualité, l'usage abusive de gros plans, justifiée pour être au plus prêt des personnages, entraîne parfois une impression d'étouffement. Les actrices principales, Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux jouent très bien et sont naturelles, contrairement à ce que l'on peut lire...La durée du film est par contre excessive, et de nombreuses coupes auraient du être faites (par exemple : spoiler: la scène de sexe de 7 minutes ? ). Il n'en reste qu'étrangement, le film se laisse regarder, surtout si on aime voir une actrice manger des pâtes... Le film mérite sa palme d'or.
Je n'écris pas beaucoup de critique, mais là c'est important de justifier cette note. Ce film, j'ignore comment il a pu gagné une palme d'or. C'est cru, c'est long, ça vous met mal à l'aise pendant 3h, et ça donne une image de l'homosexualité féminine terriblement fausse. A en dégoûter tous les jeunes qui se poseraient la question sur leur propre sexualité. Ce film n'est pas un hommage à l'excellent roman graphique de Julie Maroh. Il est tout son contraire. Je ne peux dénigrer la qualité technique de la réalisation, mais je dénigre bien le contenu. Franchement, passez votre chemin, attendez la diffusion télévisuelle, mais ne faites pas la promotion de ce film. Ce film a gâché le roman. A peine sorti de la salle, je me suis précipitée chez moi pour le relire, me remémorer ce chef d'œuvre et oublier ce désastre cinématographique...
Je suis allé voir ce film parce qu'il a reçu la palme d'or, mais je n'en attendais rien. C'est bien, voire très bien, beau, émouvant, réaliste, sans pour autant nous prendre aux tripes. Le film souffre d'un coté très "plus belle la vie" que je redoute, sans pour autant tomber dans la débilité de cette série. Pendant trois heures je ne me suis pas ennuyé, et j'ai apprécié cette histoire. Ce ne sont pas les scènes de sexe qui m'ont fait bloquer, mais les gros plans constants sur les visages des personnages et tout ce qu'il y'a de dégueulasse à voir en gros plan (spoiler: Quand ils mangent, quand ils pleurent... ) et aussi le fait que la transition chapitre 1 / Chapitre 2 n'est pas claire et se fait dans la continuité et la cohérence comme un simple raccord de plan, j'ai mis un quart d'heure a caler qu'on était dans le chapitre 2. Il aurait pu l'indiquer quand même ! Je ne vois pas l'intérêt d’appeler le film chapitre 1 et 2 dans ce cas... Mais c'est tout, c'est un très bon film à voir.
Navrant de platitude, ça faisait une éternité que je n'avais pas trouvé un fauteuil de cinéma inconfortable ! Je me suis faite embarquée par ma sœur pour ce film et je me suis dit naïvement qu'un film primé méritait d'être vu. Je me suis retenue plusieurs fois de quitter la salle, au bord de la nausée à force de voir le nez morveux de l'actrice principale qui n'a d'extraordinaire que sa capacité lacrymale. Les scènes osées ne me dérangent pas le moins du monde en temps normal, mais si les premières minutes on peut s'extasier sur le grain de peau parfait des actrices, les plans rapprochés, les longueurs indigestes finissent par mettre mal à l'aise. Rien n'est épargné aux spectateurs... Des banalités à pleurer sur les différences de classes sociales, des clichés sur l'homosexualité et le "milieu" homo, mièvreries et philo de comptoir ! Un regard complaisant et une narration sans prise de risque... c'est triste pendant 3H00 !!!
La fin est à la hauteur de tout le reste, insipide, parfois glauque, sans saveur et surtout sans surprise. Si vous aimez être dans la bouche des gens quand ils mangent, vous adorerez ce film !
Kechiche fétichiste frustré des fluides corporels en plus d'être un opportuniste cinématographique ! Il faut avoir un sacré ego pour commettre une bouse pareille et la vendre sans rougir !!! Ni art, ni performance, juste du vol ! (de temps et d'argent) Fuyez !
De temps en temps le cinéma nous réserve une pépite. Un moment d'exception pendant lequel le temps s'arrête pour le spectateur, suspendu au seul écran qui brille devant lui. Ces moments sont a chouchouter car ils sont extrêmement rares. Tellement bons et forts qu'ils laissent une trace indélébile même plusieurs jours après avoir vu le film. « La vie d'Adèle » fait partie de ces instants rares. Dès les premières minutes on sait qu'on va vivre un exceptionnel moment de cinéma. La réalisation d'Abdellatif Kechiche est accrocheuse et criante de vérité. On sent vivre les personnages sans mensonge ni faux semblant, ce n'est plus du cinéma, c'est la vraie vie et le résultat est vraiment bluffant. Tout de suite après, vient la qualité de l'interprétation et là... C'est la claque ! Je n'ai pas de qualificatif assez fort pour rendre hommage à l'incroyable charisme de ces deux actrices. L'histoire d'Amour qu'elles racontent est pure, forte, dangereusement passionnelle et elle emporte tout sur son passage. C'est pour vivre encore longtemps des émotions d'une telle force que j'aime tant le cinéma. La palme d'or à Cannes est largement méritée tout comme les nombreuses autres récompenses remportées par cette œuvre puissante à travers le monde.
La Vie d'Adèle est un film qui a beaucoup attiré l'attention du publique, un peu trop surement entre Palme d'Or, polémiques malvenues et avis mitigés. Injustement traité de film porno à de nombreuse reprises La Vie d'Adèle n'en a pourtant rien a voir. Un porno c'est juste de la baise, pas d'émotion, rien d'artistique, seule trône la vulgarité alors que La Vie d'Adèle c'est exactement l'inverse, le film surprends de part son élégance et sa justesse inouï dans l'amour le plus profonds. Pour certains visiblement dès qu'il y a du nu dans un film c'est un porno, sérieux les puceaux qui ont rien à faire de leur vie allez rattacher vos braguettes, La Vie d'Adèle est un film qui explore les abysses de l'amour et des émotions humaines, une véritable odyssée captivante et sidérante d'humanité. Abdellatif Kechiche se pose véritablement la question de comment filmer la nudité dans le présent ? Comment transmettre un tel message à un publique critique ? en rajoutant une direction d'acteurs sublime Kechiche livre un film d'une beauté époustouflante entre autre dans la mise en scène prenante et sublimée par une précision chirurgicale. Evidement les acteurs y sont pour quelque chose. La révélation Adèle Exarchopoulos est impressionnante de plus qu'elle colle parfaitement avec le rôle et sa partenaire Léa Seydoux est tout simplement magistrale ! Pour conclure La Vie d'Adèle n'est pas un film qui se regarde mais un film qui se vit, le 7ème art au somment ! I Follow You.