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    La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2
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    1 555 critiques spectateurs

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    Rictus1260
    Rictus1260

    36 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mai 2018
    Une histoire totalement banale, des dialogues dignes d'adolescents immatures, des scènes de sexe tout au long du film spoiler:
    dont une longue scène lesbienne particulièrement hot digne d'une série X spoiler:
    . Voilà pour l'essentiel de ce que j'ai retenu de ce film. Je crois un des pires films qu'il m'a été donné de voir. Mais voilà: ce film a reçu la palme d'or à Cannes, une pluie de critiques positives y compris des journaux comme Télérama ou même La croix!!! Qui plus est, il est passé sur arte à une heure de grande audience et sans aucune limitation d'age. Ce film est un vrai scandale mais ce qui est encore plus scandaleux, c'est la réaction du Jury au festival de Cannes et celles des critiques de cinéma. Il y a risque de perdre toute crédibilité. La vie d'Adèle, c'est une vie merdique et mortellement ennuyeuse.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 octobre 2013
    Palme d'or politique, hors contexte du mariage pour tous, je suis persuadé que ce film n'aurait rien gagné.
    Complétement nul, d'une longueur insupportable (le film aurait pu faire facilement une heure de moins) et totalement irréaliste sur certains points (Adèle qui devient institutrice à la sortie du lycée...).
    Rien que la mise en scène fout la nausée avec ses visages en gros plans 90% du film et cette caméra qui n'arrête pas de sautiller. Et que dire de ces scènes de sexe interminables (peut-être 5 minutes pour la 1ere scène entre Adèle et Emma, les gens dans la salle n'arrêter pas de rire a un moment en se demandant quand on allait passer à autre chose) et légèrement porno sur certains bords (on voit clairement un sexe en érection dans une)
    Ce film devrait être interdit au moins de 16 ans, sans jouer au prude.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 septembre 2013
    On a voulu nous faire plaisir en nous projetant en avant première française "la vie d'adèle" (hors Cannes).
    Merci pour le geste, il y avait un coté privilège grisant. Ce qui ouvrait la projection sous les meilleurs auspices.

    Le film commence sur Adèle Exarchopoulos qui va tenir le film avec Léa Seydoux.
    Au début c'est bien, c'est simple, c'est assez authentique dans les dialogues (Impro?).
    Puis commence le grand ballet du n'importe quoi. La réalisation et certains choix de scénario tombent vite dans des clichés ridicules sur l'homosexualité féminine, des parents qui sont une franche tranche de stéréotypes, on se croirait dans une comédie bas de gamme.

    Puis arrive ces scènes de sexe dont on a tant parlé. 5 bonnes minutes, ressenti 10 qui ne sont qu'un amoncellement de plans mis les uns derrière les autres. Ca ne racontent rien, on voit des gros plans de frottements inter-vulve, des seins léchés, des fesses en très gros plan.
    Car oui, c'est aussi cru que ca. Authentique? Non, juste une vision onanique (néologisme) d'un réalisateur qui semble frustré sexuellement et qui a fait tourner ces filles pendant des heures sans aucun choix de réalisation afin de se faire plaisir au montage.

    Difficile de regarder l'oeuvre finale et de ne pas repenser aux conditions éprouvantes du tournage.
    Kechiche s'était défendu comme étant un artiste, qu'il avait besoin de ressentir les choses.
    Après avoir vu le film, on peut affirmer une chose.
    Ce n'est pas un chef d'oeuvre. Donc rien n'excuse ses caprices.
    Au revoir Mr Kechiche, redescendez sur Terre et retournez apprendre à réaliser correctement et avec un peu d'humilité et d'amour du cinéma.

    Pour information, la palme d'or est une ÉNORME blague!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 janvier 2014
    alors tout ce battage ...ok on va le voir : pathétique film franchouillard pour bobos qui ne mouillent que pour les paumés , Seydoux abyssalement à chier , c'est d'une prétention sans nom de la grosse merde de cinoche franchouillard comme les ploucs du festival de Cannes adorent , cool j'ai pas payer ma place c'est une copine lesbo qui me l'a payé qui s 'est marrer pendant tout le film tellement que c'était à dégueuler .
    Aller les trolls essayer de faire supprimer ma critique hahahaha
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 octobre 2013
    En un seul mot : mauvais.
    Je suis pourtant particulièrement friande du cinéma de Kechiche, et de la bande dessinée originaire du film, mais là, le terme de déception est trop doux.
    À vouloir faire trop réaliste, le cinéma de Kechiche tombe dans le documentaire, mais le mauvais documentaire. Cru, vulgaire, vide, même pas terre-à-terre.
    De base, le fait qu'il reprenne cette fantastique bande-dessinée était une mauvaise idée. Le cinéma de Kechiche est vrai, réaliste, terrestre. Le Bleu est une Couleur Chaude est une BD chaude, onirique et idyllique. Définitivement, ce n'était pas fait pour coller.

    Les plans rapprochés, sans cesse, sans doute pour nous rapprocher du personnage principal, ont l'effet strictement inverse. On se prend à détester le visage redondant d'Adèle. Plus de 5-10 plans éloignés, ç'aurait été bien pour un film de 3h.

    Les personnages sont détestables, vides, illogiques. On nous parle d'une histoire d'amour, mais où est l'amour? On ne voit qu'une histoire de sexe et de langues.

    Un cliché monstrueux du sexe (et de l'amour) lesbien. Des scènes de sexe littéralement dignes de la catégorie Lesbiennes de YouPorn, les ongles longs et le maquillage en moins. Quand on fait un film lesbien, surtout de cette grandeur, on prend ne serait-ce que la peine de se renseigner réellement. Du sexe brutal, vulgaire, typiquement hétéronormé, qui va malheureusement répondre à la question "mais comment on fait entre filles?" en laissant hélas de faux et grossiers clichés en tête des gens. Sérieusement, n'y avait-il aucune lesbienne sur le plateau pour pointer la scène du doigt et hurler "Sacrilège!"?

    Le scénario est tout juste assez repris de la bande dessinée pour être allé trop loin, et juste pas assez pour aboutir à un non-sens total. Kechiche a voulu reprendre des scènes importantes de la bande dessinée, mais dans son film à lui, cela n'a plus aucun sens, aucun goût. Les modifications apportées, qui auraient du faire du Bleu un film kéchichéen en font juste un film dénué de sens et d'intérêt.

    Et tout porte à croire que le fait qu'il soit primé, et son si bon accueil par la presse n'est rien d'autre qu'une prise de position par rapport au débat actuel du Mariage pour Tous... C'est clairement un manque de jugement et de professionnalisme que se refuser à admettre la vacuité et l'inutilité de ce film au nom d'un idéal. Et faire la part des choses dans tout ça?

    Et tout ça d'une longueur inutile et affligeante! Parce que dans ces 3h, il n'y a pas de scènes de "contemplation" ou de ralentis, non! Juste des scènes inutiles, et une histoire qui ne va NULLE PART.

    Bref, une palme d'or gâchée, une carrière de réalisateur tâchée, et un film qui va rester dans les têtes pourrir l'esprit commun de clichés vomitifs. D'une tristesse.
    Shephard69
    Shephard69

    332 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 novembre 2016
    Après avoir longtemps hésité à le voir, je me suis enfin lancé et quelle monstrueuse déception ! L'archétype même du genre de film que je n'aime pas avec un rythme désespérément lent et ses cadrages qui se limitent presque exclusivement à de très gros plans. Un mélange entre dialogues d'une stérilité affligeante, des tranches de vie d'une banalité exaspérante et des scènes de sexe particulièrement crues et dérangeantes, à la limite du pornographique. Une histoire d'amour qui aurait pu être encore plus belle si elle n'avait été biaisée par le regard d'un homme, le sulfureux Abdellatif Kechiche. Une désillusion à peine sauvée par le talent, la justesse et le charme d'Adèle Exarchopoulos, Léa Seydoux m'agaçant comme jamais. Voilà bien une éternité que je n'avais pas mis la note minimale à un film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 octobre 2013
    Un mélange de clichés sur le milieu homosexuel / de film pornographique / de gros plans aussi inutiles que disgracieux / de longueurs à n'en plus finir / de scènes qui ne servent à rien... Je suis pas une spécialiste du cinéma, mais quand même...

    Comme quoi on se demande encore quels sont les critères de la Palme d'Or de Cannes...
    Fred Monneron
    Fred Monneron

    161 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 mai 2014
    Palme d'Or Cannes 2013 ... ? Mais que se passe-t-il dans ce cinéma made in France qui a vu pourtant naître -dans le désordre et sans quête d'exhaustivité- les Baur, Raimu, Romance, Vanel, Fresnay, Philippe, Simon, Jouvet, Gabin, Blier, Ventura, Piccoli, Morgan, Noiret, Marilelle, Rochefort, Deneuve, Depardieu, Gélin, Jourdan, Montand, Périer, Bourvil, Marchal, Marais, Signoret, Carol, Moreau, Mondy, De Funes, Brasseur, Delon, Serrault, Poiret, Dewaere, Adjani .... Guitry, Duvivier, Renoir, Clair, Grémillon, Decoin, Pagnol, Clément, Lampin, Melville, Le Chanois, Lautner, Lelouch, Verneuil, Truffault, Autan-Lara, Delannoy, Cocteau, Resnay, Demy, De Broca, Jaque, Rappeneau, Martinez, Granier-Deferre, Grangier, Annaud, Besson, Ganz ... Audiard, Prévert, Simonin, Aurenche, Marcel Aymé, Fallet, Janson, Boileau-Narcejac, Bost, Boulanger, Carrière, Conchon, Cosmos, Dabadie, Poiret, Japrisot, Jullian, Thompson,
    et j'en oublie des dizaines ... ?

    Heureusement que j'ai pu constater que je n'étais pas le seul à avoir eu une overdose de nouilles durant ce film infiniment pénible, long, ennuyeux, fastidieux et aux scènes de sexe qui lui auraient valu une interdiction en salles il n'y a pas si longtemps. Bref encore une incommensurable énigme cinématographique pesante, trash et sans intérêt. Je hais ce cinéma-là qui n'est qu'ennui et platitude, même si la jeune actrice principale et le second rôle ne sont pas dénués de talents ...
    Je vais encore me faire détester par les bobos de Neuilly ou ailleurs ...
    velocio
    velocio

    1 300 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 octobre 2013
    Un jour, il faudrait que les spectateurs se cotisent pour payer une paire de ciseaux à Abdellatif Kechiche. Voilà un réalisateur qui a, reconnaissons le, un certain talent mais qui souffre d'un énorme défaut : il ne sait pas terminer ses plans. C'était déjà le cas dans certaines scènes vers la fin de "La graine et le mulet", scènes qui, malheureusement, arrivaient à plomber le film mais ici, dans "La vie d'Adèle", ce sont pratiquement toutes les scènes qui sont manifestement trop longues. A Cannes, le film durait 2 h 59 minutes. Le bruit avait couru qu'il serait raccourci pour sa sortie en salles. Résultat des courses : on annonce une durée de 2 h 55 minutes ! Monsieur Kechiche, il fallait aller beaucoup plus loin pour donner à ce film toute la force qu'il aurait pu avoir, qu'il aurait dû avoir ! En divisant par 2 la durée de la plupart des scènes, on arrivait à un film d'une durée comprise entre 1 h 30 et 1 h 45, et ce film eut été beaucoup, beaucoup plus passionnant. En plus, on a appris depuis les projections cannoises que certaines scènes qui auraient beaucoup intéressé les spectateurs ont été tournées mais n'ont pas eu la chance d'apparaître lors du montage final : par exemple, une scène, dont on dit qu'elle était très forte, et dans laquelle les parents d'Adèle apprenait la relation homosexuelle de leur fille. Bien sûr, vous allez faire le malin en me rétorquant que le film tel que vous l'avez monté a obtenu la Palme d'Or. Eh bien, je vous rétorquerai que, la sélection 2013 étant si médiocre, à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Je rajouterai que parmi les cinéphiles avec qui j'ai partagé à Cannes la vision de ce film, quelques jours avant la soirée du palmarès, rares étaient celles et ceux qui, malgré le manque de concurrence, pensaient que vous puissiez obtenir la plus haute des récompenses pour un film dont tout le monde reconnaissait les qualités tout en se plaignant de sa longueur. Car oui, il y a des qualités à relever dans ce film, dont le scénario est une adaptation très libre de la bande dessinée "Le bleu est une couleur chaude" de Julie Maroh : qualité de la mise en scène, qualité de la photo, qualité de l'interprétation. En effet, Adèle Exarchopoulos est exceptionnelle dans son interprétation d'une jeune lycéenne qui s'éveille à l'amour et à la sexualité et Léa Seydoux m'est apparue bien supérieure à ce qu'elle nous propose d'habitude. Franchement, il est vraiment dommage que ce film pâtisse de ce montage par trop complaisant.
    J.Dredd59
    J.Dredd59

    107 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 août 2015
    Si j’essayais la critique en vogue des nazes du site ? Tant qu'à faire autant tester sur un film à la réputation surfaite, et oui j'avoue aussi que je n'aime pas Léa Seydoux.
    Bon euh, donc réalisé par le grand et génial Abdellatif Kechiche, je le connais pas mais bon, avec Léa Seydoux (malheureusement), Adèle Exarchopoulos, Salim Kechiouche, Jérémie Laheurte etc. Bon je vais pas faire comme si je les connaissais vu qu'ils sont inconnus. Ça raconte l'histoire d'une fille, Adèle (pas la chanteuse de Skyfall hein ?), qui change sa vision des choses et de l'amour (enfin si l'on peut dire vu comment c'est montré) grâce à Emma qui a des cheveux bleus, ça fait plus rebelle. Quand le synopsis dit qu'elle découvre le désir comprendre : on voit pleins de scènes lesbos. Et voilà ça fait une palme d'or à Cannes.
    Ah oui on précise aussi que c'est un super drame romantique de 2013, adaptation d'un roman graphique que c'est un peu long car ça dure 2h57, que le réalisateur a été un peu dur avec les acteurs (en même temps puisqu'ils savent pas trop jouer c'est normal) et que la presse a adoré (normal, la palme d'or ça oriente les critiques).
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 février 2014
    Parce que je pouvais pas mettre 0 ! Film chiant a souhait, d'ailleurs arrêter au bout d'1H30, complètement sans intérêt
    Skynet-Child
    Skynet-Child

    13 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 janvier 2014
    Bon ok, pour cette fois je suis sorti de ma categorie de films habituels pour tester autre chose....
    En particulier celui-ci soit disant oscarisé et que l'on m'avait conseillé. Normalement je ne la ramene pas, mais là je suis sideré par tant d'amateurisme nul a ch*** :

    Resultat apres des heures de visionnage et deux endormissements; ce film est MONUMENTALEMENT PATHETIQUE et RIDICULE !!!
    Aucun interet, des caricatures (spaghetis) vraiment navrante, du cul naze et sans interet, ni digne d'un porno, ni digne du ciné, pourtant ya rien du tout de choquant, juste un travail minable, 2 bouts de chatte par là, un scenario vide et mou, une realisation pas du tout neutre et insultante ! Le jeu des jeunes acteurs plutot pourri et desastreux (cf les copines du lycée) des textes et allusions debile a de la pseudo drague des années 80, un cliché ridicule sur les hetero vs les homo ( passage sans raison a l'un ou l'autre bord, la fille est perdu, ne sert a rien, cherche n'imp, n'a aucune vie en dehors du sexe etc....) Des stereotypes monstrueux sur la vie des homos ou des heteros (etre enceinte et lesbienne sans montrer de pere, parents mariés avec une vision negativée de la soit disant ouverture a l'homosexualité, aucun avis positif de la part des lycéens sur les gays, une histoire banale et ridicule de la vie d'une fille qui a des amourettes a 2 balles !
    Il n'est a aucun moment question d'amour puisque le coup de foudre est le seul element visible du film. Donc on zappe tout le reste, et on en fait un film bateau. D'ailleurs juska la fin on voit une debile incoherence de la protagoniste qui perdue depuis le debut se croit sure de ses sentiments juska attendre des mois le retour de son ex. ......elle y croit, elle y croit.....et a la fin pouf !! Elle se casse et pis basta ! C'est donc ca l'amour pour ce nabot de realisateur ? Pfff
    Celui ci est mauvais, subjectif et pretentieux ! Quelle serieux interet de mettre des lesbiennes alors que ce film bidon aurait pu etre entre un homme et une femme, ou deux homo masculins ?! AUCUN ! Juste faire naitre une polemique ou parler d'un soit disant film choquant pr les esprits simplets.
    Franchement personne ne serait allé voir ca si ca n'avait pas jazzé dans les medias. Personne n'aurait apprecié si il avait montré deux mecs en plein lechage de couilles, etc.

    La protagoniste heureusement joue bien, mais le personnage n'avait franchement aucun interet !
    Si on veut en apprendre sur les homos autant descendre dans les boite de Montpells que regarder cette bouse perdue dans la temporalité. Tout cela n'a visiblement qu'un but; faire ressentir du negatif sournois contre les homos, par toutes les petites allusions a la con, pour que le spectateur niais sorte du film avec un avis plus favorable.

    CONCL : Si ce genre de navet long et insipide arrive a avoir la palme d'or ou des avis 5 etoiles, ca prouve bien que le cinéma francais c'est de la merde sans valeur. (mais tant mieux si ca plait a des gens qui simple qui apprecient l'accumulation de miserabilisme). Moi heureusement que j'ai pas payé pour ca. Je suis finalement rassuré et conforté d'aller voir des que grosses productions US !!!
    S M.
    S M.

    34 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 janvier 2014
    On ne va pas y aller par quatre chemins: J'ai détesté "La vie d'Adèle"! En plus d'être horriblement long et ennuyeux (3h au secours!), ce porno lesbien est un film opportuniste qui surfe sur la vague du "mariage pour tous". Et puis, tout y est pour satisfaire le gaucho bobo moyen: Manifestations étudiantes, défilé de la "gay pride", références culturelles à deux balles et j'en passe! A fuir!
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    983 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    Que serait une Palme d'Or sans une bonne polémique ? Ainsi, c'est La Vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche qui remporta la Palme en cette année 2013 riche en polémiques intérieures. Inspiré de la BD "Le bleu est une couleur chaude" de Julie Maroh, le film raconte le passage de l'adolescence à l'âge adulte d'Adèle, étudiante en Littérature, un peu paumée, ne sachant pas trop si elle aime les garçons comme tout le monde, si elle préfère les filles malgré la haine qui entoure l'homosexualité en France, ou encore si ce n'est pas qu'une lubie d'ado. Le long-métrage surfe (peut-être malgré lui) sur le mariage gay français, qui enflamma le pays avec des avis partagés violents. Le voir remporter la Palme d'Or à ce moment-là soulève de nombreuses questions de jugement de la part du jury et on ne croit pas vraiment à la coïncidence. Ceci dit, La Vie d'Adèle mérite-t-il pour autant sa récompense ? Non. Car si le film propose une histoire d'amour classique mais plutôt bien menée, une peinture rupestre de la jeunesse française et met en avant l'interprétation de la jeune inconnue Adèle Exarchopoulos, on ne ressort pas du film époustouflé. Certes le film a une certaine identité avec ses innombrables gros plans détaillant chaque recoin de naturel chez ses protagonistes, notamment ceux d'Exarchopoulos en dépit de quelques passages sonnant faux. Malheureusement, le film s'avère très long, peut-être trop (trois heures) et jongle entre chronique d'une fille lambda et dénonciation de l'homophobie et des classes sociales françaises. On se prend forcément d'affection pour Adèle sans toutefois parvenir à nous immerger dans sa vie pourtant très détaillée, de ses repas de famille ennuyeux à ses nuits calmes en passant par ses mal-êtres, ses instants de solitude et bien évidemment sa vie sexuelle, filmée ici crument de manière très réaliste. De plus, et pour étayer son sujet, Kechiche n'hésite pas à grossir certains traits de caractères, certaines situations, certains détails comme lesdites classes sociales (les riches sont gentils et bien-pensants tandis que la famille modeste montre une attitude agressive et conservatrice), la haine immédiate des camarades de classe d'Adèle ou encore la personnalité d'Emma, la fille aux cheveux bleus méchamment bohème, ouvertement homo et qui étudie aux Beaux-Arts... L'interprétation de Léa Seydoux est juste et l'alchimie avec notre héroïne principale se ressent mais dans l'ensemble, le film patine un peu, étouffe le spectateur au lieu de l'entourer, ennuie parfois et ne transcende jamais. Une durée moins longue et des raccourcis bien ficelés auraient permis au long-métrage d'être plus accessible, moins redondant et peut-être plus beau que ce parcours inégal bien que finalement pas désagréable.
    Marvin Z
    Marvin Z

    101 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 novembre 2013
    Pourquoi dans tous les films récompensés à Cannes et encensés par la critique Française, il y a toujours des scènes de cul ? Pourquoi un film qui nous montre un gros plan sur une fille qui mange un kebab la bouche ouverte, reçoit-il la palme d'or ? Pourquoi quand un film est récompensé par ce festival, tout le monde l'adore et se la joue grand cinéphile et adepte des films d'auteurs avec une incommensurable prétention ? Arrêtez de jouer un rôle et jugez ce film à sa juste valeur. Le réalisateur veut montrer l'amour entre deux femmes mais son film est tout simplement pornographique. Ce qui nous laisse imaginer sa personnalité perverse et vicieuse. Les personnages sont tous vulgaires autant dans leurs paroles que dans leurs actes, la réalisation est moche et accumule les gros plans et les très gros plans, les dialogues sont plats et vulgaires eux aussi. "La vie d'Adèle" c'est 3h de vulgarité, 3h de gros plans, 3h de porno. A croire que dans le jury du festival de Cannes il n'y à que des pervers. (A part Spielberg mon réal préféré). 00/20
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