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Quasiment en temps réel, privilégiant la caméra à l’épaule et la nervosité du montage, Papa vient dimanche évite les automatismes liés à un dispositif minimaliste pour faire ressortir l’humanité tragique de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
A force d’escalade verbale et de frustration, le huis clos dans un appartement frise l’horreur. Outre sa dimension sociale, le plus remarquable dans ce pur psychodrame est sa façon de détailler le processus de la violence faisant irruption dans un contexte anodin. Dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
À l’arrivée, et bien au-delà de la performance programmée des plans-séquences et de la violence du jeu, la réussite du film repose sur un désir bravache et paradoxal d’échapper à la claustration – quitte à ligoter le spectateur – qui vaut tout autant pour le cinéaste que pour son personnage.
Un drame familial caractéristique du nouveau cinéma roumain, avec ses longueurs mais surtout une mise en scène sans fausse note et un casting impeccable.
On bascule sans cesse du drame à la bouffonnerie, (...). A force de chercher à dénicher le ridicule en chacun, le cinéaste n'offre aucune porte de sortie à ses personnages tous figés et incapables d'évoluer.
Le Figaroscope
Une crise familiale bien orchestrée et parfaitement interprétée.
Positif
(...) aussi cynique que destructeur.
Critikat.com
Quasiment en temps réel, privilégiant la caméra à l’épaule et la nervosité du montage, Papa vient dimanche évite les automatismes liés à un dispositif minimaliste pour faire ressortir l’humanité tragique de ses personnages.
L'Humanité
A force d’escalade verbale et de frustration, le huis clos dans un appartement frise l’horreur. Outre sa dimension sociale, le plus remarquable dans ce pur psychodrame est sa façon de détailler le processus de la violence faisant irruption dans un contexte anodin. Dérangeant.
Les Inrockuptibles
(...) un huis clos psychologique qui menace à chaque instant de virer au fait divers.
Libération
Une irrésistible montée de la température dans le huis clos de l’appartement d’Otilia et Aurel.
aVoir-aLire.com
Gagné par une hystérie assez galvanisante, "Papa vient dimanche" est donc un règlement de compte familial qui fait mal. Ebouriffant.
Cahiers du Cinéma
À l’arrivée, et bien au-delà de la performance programmée des plans-séquences et de la violence du jeu, la réussite du film repose sur un désir bravache et paradoxal d’échapper à la claustration – quitte à ligoter le spectateur – qui vaut tout autant pour le cinéaste que pour son personnage.
Le Monde
Une comédie pleine de vigueur.
Les Fiches du Cinéma
Un drame familial caractéristique du nouveau cinéma roumain, avec ses longueurs mais surtout une mise en scène sans fausse note et un casting impeccable.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Sur la longueur, le film se répète un peu, mais l'énergie débridée qui s'y déploie mérite le détour.
Première
(...) on assiste impuissant à un déballage violent et sans grande subtilité.
Transfuge
On bascule sans cesse du drame à la bouffonnerie, (...). A force de chercher à dénicher le ridicule en chacun, le cinéaste n'offre aucune porte de sortie à ses personnages tous figés et incapables d'évoluer.