Derniers Avis : Welcome to New York - Page 8

Abel Ferrara propose une mise en scène de "L'affaire DSK". Le début du film est marqué par quelques scènes de sexe à la limite de la pornographie. Gérard Depardieu est excellent -comme souvent- dans le rôle d'un président du FMI écœurant mais très intelligent. Jacqueline Bisset joue une Anne Sinclair dévouée et raffinée ce qui permet un duo réussi. Le film l'est également même s'il est parfois dérangeant et "trash"

apres une intro de scene bien porno avec notre gege tres gonfler , le film essaye de s'interesser a l'affaire qu'on connait tous, meme si certains passage respecte le fait divers, le film patauge s 'egarent et parfois incomprehensible!! on remarquera que meme le duo jaqueline bisset /gerard depardieu ne fonctionne pas,
pas si terrible que sa,heureusement qu'il soit sortit seulement en vod!! un film bien triste mal ecrit mal jouer mal mit en scene!!

J'étais un peu septique quand a ce film avant de le voir et je constate qu'il est bien ce que j'imaginais... moi je suis septique mais lui c'est la fosse qui va avec! c'est lamentable!

Je pensais naïvement qu'il allait nous passionner avec une histoire de complot, bref, un sujet que de très nombreuses personne pensait être une possibilité et a la place d'un scénario différent de ce que la presse nous a livré, il confirme la théorie du viol qui a bien y réfléchir ne tient pas debout... comment avec les putes sublimes qu'il se fait durant des scènes fatigantes et totalement débiles ( je pense notamment au grognement bestiaux de Depardieu) il va aller violer ce (thon) qu'est la femme de chambre...???????????

Depardieu joue (soit disant) gratuitement dans ce film et c'est déjà trop pour ce déballage de vice et de perversion pathétique afin de vider sa haine des hommes qui ont de l'argent, lui qui est pauvre et tellement raffiné...!lol

bref lumière nulle, scénario vide, non jeu d'acteur de Depardieu, je n'ai même pas eu le courage de regarder ce navet jusqu'au bout et le mot courage n'est pas exagéré pour suivre une telle nullité jusqu'au générique de fin!

on comprend la réaction de Anne Sinclair quand elle parle de vomir cette saleté... le film est "a gerber"!!!

Que sait-on exactement de cette histoire ? Il semblerait en effet, contre tout bon sens, que DSK ai eu un rapport sexuel – consenti – avec cet énorme boudin qu’était Nafissatou Dialo, qui n’était autre q’une employée de l’hôtel, payée par une organisation pour piégé le célèbre homme d’affaires. Mais patatras, le film prend la direction opposée en montrant le personnage comme un monstre, un prédateur sexuel incapable de contrôler ses pulsions, violant à tour de bras et se tapant des prostituées le reste du temps. Tombeur avéré, ayant néanmoins probablement déjà eu recours à des escort-girl, toutes ses plaintes pour viols – étrangement muettes jusqu’alors puis se multipliant après l’incident – furent déclarées mensongères, renforçant la thèse du complot. Pire encore la relation entre lui et sa femme, Anne Sinclair, est dépeinte comme venimeuse, et leur conversation sont assassines, à l’exact opposé du modèle de solidarité auquel on a assisté. Bref, l’histoire est une ignominie indigne du début à la fin, très loin de toute notion de vérité, n’assumant d’ailleurs même pas son caractère d’inspiration d’un fait réel, modifiant les noms des personnes impliquées.

L’histoire est une chose, aussi minable soit-elle, mais elle n’est pas foncièrement liée à la qualité du film pour peu que son scénario soit bon (en l’occurrence exécrable) de même que ce qui suit. Tapons alors là où ça fait mal, dans le gras : Gérard Depardieu. Passons sur le naufrage de son corps qui a depuis longtemps dépassé le stade du maladif, et attardons nous sur son personnage. En plus de jouer les mêmes scènes, il arrive au même degré de justesse qu’un acteur porno : des grognements, des textes déclamés sans la moindre conviction, et un regard qui se perd dans l’objectif de la caméra. À peine croyable tant c’est mauvais, d’autant plus terrible qu’il reste le meilleur acteur du film. Parlons maintenant technique : historiquement mauvais. De toute l’histoire du cinéma, jamais un film, un téléfilm ou même une série n’aura osé montrer pareil amateurisme. Un doublage misérable avec des voix s’entremêlant dans une cohue sans nom, des acteurs exécrables, des dialogues presque comiques de par leur nullité, un montage bancal doté d’un rythme atroce, une réalisation hystérique avec un cadrage systématiquement incohérent, une histoire ennuyeuse, gratuite dans la nudité et qui se torche avec la véracité des événements. Mes oreilles ont saigné, mes yeux ont pleuré et mon cerveau s’est liquéfié. Un grand moment de deuil cinéphilique.

Cinématographiquement, on est loin de Bad Lieutenant ou de King of New-york. Surement le plus mauvais Ferrera que j'ai vu, il se contente du cachet "provocation" et "film politique" (oui, ça reste un pamphlet politique), en laissant de côté sa virtuosité esthétique d'antan. Je ne sais pas si c'est du à la VOD et son encodage, mais le format vidéo est infecte (sinon, il s'agit d'un choix artistique.

Sinon, l'aspect intéressant du film réside dans le huis-clos entre Depardieu et Bisset qui, pour le coup, nous gratifient d'une interprétation grandiose ! Abel Ferrera à clairement voulu provoquer, et à notre époque, tourner un film comme ça et le diffuser à Cannes... Faut en avoir dans le pantalon !

Répugnant, sale, moche et inutile. Ce film est d'un ennuis monstrueux ! Ca ressemble à un téléfilm bas de gamme tres mal filmé. J'ai tenu 1h..

Inspiré de l'affaire DSK (2011), "Welcome to New York" retrace, en fiction, l'intime de l'ancien directeur général du Fond Monétaire International.
Sorti directement sur internet pour éviter les ravages de la censure, "Welcome to..." a également été à l'honneur à Cannes durant sa 67ème édition : il aura été présenté hors-compétition et a ainsi participé au buzz médiatique voulu par les producteurs, le réalisateur de "Bad lieutenant", et Gérard Depardieu.
Ce film de 2014 nous montre allégrement la maladie dont souffrait Dominque Strauss-Kahn. Et ici, comme tout le monde connaît l'histoire, on la met de côté pour nous infliger un docu-fiction alambiqué comme un biopic sur une période donnée. Fausse bonne idée. A tout moment, même si les flashbacks de la seconde partie maintiennent le film à flot, la continuité du scénario est altérée par des rebondissements dont on connaît la suite. Le début est quant à lui une débauche d'orgies, de s*** et de vulgarité déplorables.
"Welcome to New York" met à nu un homme d'affaire qui, procès aidant, avait tout pour plaire au peuple français. L'ogre Depardieu apporte toute la démesure de son talent et parvient deux heures durant à nous faire vivre sa déchéance et sa décadence, même sans grands dialogues. Son jeu, balsamique au possible, éléphantesque et tout bonnement grossier nous aide à rester dans la peau de son personnage, horriblement dégoûtant. Qui d'autre que Depardieu aurait pu jouer comme cela ? Personne. A ses côtés, le rôle fictif d'Anne Sinclair est interprété par une Jacqueline Bisset charismatique, encore au top de sa forme 45 ans après avoir tourné aux côtés d'un autre séducteur : Steve McQueen ("Bullitt"). Bravo Madame Bisset !
De plus, Abel Ferrara renforce l'idée d'un docu-fiction filmé sans fioritures par l'absence totale de musique entre les deux génériques. Très bon point Abel !
En revanche, le film ne respire pas, il n'y a pas de rythme, pas d'ambiance dans ce petit huis-clos solitaire qui ne vaut le coup que pour le couple Depardieu-Bisset. Abel Ferrara oublie sans doute de monter son film comme ses grands ("The King of N.Y.", "Nos funérailles", "Bad lieutenant") mettant plutôt en avant une mise en scène des plus bâclées. En cela, il ressort une impression d'ennui et de se faire rouler dans la farine par, paraît-il, l'un des plus talentueux metteurs en scène des 90's. Étonnant, non ?
En tout cas, même pour le coup d’œil, ce pseudo-téléfilm ne vaut que pour la roublardise du duo Gégé-Bisset aussi prometteur qu'intéressant.
Il s'agit ici de mon premier Abel Ferrara et ce ne sera pas le dernier.
Spectateurs, connaissez vous l'ivresse du pouvoir ?
Interdit aux moins de 18 ans.

Film vraiment mauvais. Pas de scénario, il s'agit d'une reconstitution plate et inutile

Ce film a la palme d'or de la nullité! Je n'avais jamais vu un film aussi pourri.... Il n'y a rien qui sauve ce film du désastre... Ça aurait pu être un bon film, dommage.

Nul ! Des dialogues ridicules, un film bâclé, d'un ennui total, sans oublier un Depardieu pas convaincant du tout.... Bref j'attendais plus d'un film inspiré d'une telle affaire...
Le buzz à été bien mené, mais un bon conseil pour les indécis : ce "film" ne vaut même pas les 7 eur de la vod et je regrette de m'être fait avoir !

Après avoir entendu et lu tout le mal que la presse disait de ce fil, ma curiosité me poussa à le voir. Je confirme : c'est nul. J'ai même du passer certains moments en avance rapide. Les 30 premières minutes sont digne d'un film érotique d'M6, le doublage est monstrueux. À éviter, sauf si vous voulez voir Depardieu obèse et à poil sous toutes les coutures.

Enfin un réalisateur engagé , j'ai trouvé le film plutot bon , tout comme le jeu d'acteur de Depardieu d'ailleurs , et très proche de la réalité a mon avis ...

La bande annonce est très bien faite ! Images, montages, mises en scènes vraiment pas bon. Depardieu RIDICULE !
Un film inintéressant, ennuyeux, qui sert à rien quoi.

Vraiment très mauvais... La réalisation est digne d'un petit téléfilm et encore... certains sont bien mieux. Les adjectifs que l'on trouve dans la presse ne sont pas de trop. Ce film est indécent. Était-ce l'occasion de film des scènes "chaudes" sous le prétexte de montrer la vie délurée d'un homme de pouvoir. Les images sont laides, la réalisation n'est pas très recherché sans parler du scénario sorti des hebdomadaires du sujet. Zappez, ne perdez pas 2 heures de votre temps. Pour ma part, je n'ai même pas réussi à le finir... trop nul.

"Je me méfie des politiques" annonce d'entrée Depardieu, lui qu'on a vu proche de Sarkozy, Castro, Kadyrov, Poutine... Bref, le moteur de ce film est la mauvaise foi, l'unique volonté partisane de représenter DSK en monstre bestial. Cette production bâclée et ridicule à tous points de vue est digne des plus mauvais téléfilms pornos.