Derniers Avis : Welcome to New York - Page 5

ATTENTION, film limite film X au debut ! Certaines scenes frolent les meilleurs films de C.. !!!!

Sinon, apres l'arrestation, on aprrend rien, du blah blah , quel ennui !

J’ai hésité longtemps avant d’écrire quelque chose à propos de ce film, qui dépasse de loin mes attentes en termes de médiocrité. Au-delà de l’esthétique qu’on ne peut retirer à Abel Ferrara, ce film pose malgré-lui une question importante relative à l’objectivité et l’utilisation de l’image. (...)

De la merde en boite, GG quand il baise, car il ne sait pas privé pour demander à sa fille en plein restaurant alors la baise c'est bien
quand il baise on dirait un porc qui rumine j'ai jamais vu une telle merde, caricaturale
(dialogue en carton

vous le cataloguer au rang de porno mais là on en est loin c'est trop merdique pour être du porno, le mec il rumine et ça dure 20s
c'est horrible de trainer DSK dans la boue maintenant avec un film avec des doublages merdiques
un conseil abel ferrara arrête le ciné, va t'inscrire au chômage.

Inspiré par la désormais célèbre affaire DSK, "Welcome to New York" a donc subi une énorme médiatisation bien avant sa sortie. Médiatisation qui ne rend pas forcément service au film, le rendant très politisé alors même que Ferrara ne s'intéresse pas au scandale en lui-même mais plutôt au personnage de l'homme politique puissant qui est beaucoup plus dévoré par son appétit sexuel que par son ambition. Si la première partie du film enchaîne les scènes de sexe au rythme d'un porno (Depardieu a du se faire plaisir), la seconde partie est beaucoup plus intéressante. Le réalisateur y filme un homme seul, bafoué par le monde qu'il avait eu un jour le désir de changer. Il ne lui reste plus qu'aujourd'hui ses désillusions et un certain pessimisme qui s'accorde bien avec le style de Ferrara. Certes, on a connu le cinéaste plus inspiré et le film est vraiment beaucoup trop long pour ce qu'il veut démontrer mais il arrive, dans sa deuxième partie, à montrer ce à quoi ressemble la chute d'un homme puissant, incarné par un Gérard Depardieu décidément impeccable, parfait dans ce rôle quasiment fait pour lui.

C'est très bien joué, c'est bien écrit malgré tout ce qu'on en dit.
C'est du cinema, sans aucun doute et même du bon cinema filmé avec une poignée de dollars.
Depardieu donne tout, comme d'habitude, son corps difforme sublime la grossièreté des scènes ou Ferrara sait parfaitement ou placer sa caméra.
Bisset est parfaitement juste.
après, le reste...

Alors là, j’en reviens pas : mais c’est quoi cette chose ? Le nouveau film d’Abel Ferrara ? Non, vous vous foutez de moi…déjà la réalisation est digne d’un vulgaire téléfilm américain de seconde partie de soirée avec une image dégueulasse possédant un grain que les caméras ne possèdent plus depuis la fin des années 80 !!! C’est fade et sans touche personnelle, sans déconner, Ferrara aurait dû signer ce film « Alan Smithee » …sauf que là, tout le monde aurait compris qu’il s’agissait d’un navet sans intérêt ! Et le film parle de quoi alors, l’affaire DSK ? Non, de la vision qu’ont les américains de cette affaire et vous savez quoi, les américains sont des cons : pour eux, un homme important et influant ne peut être qu’une enflure de premier ordre qui ne respecte rien et piétine tout, un homme à « abattre » (comprenez « ruiner sa réputation et le foutre en taule ») donc…c’est très drôle car si les amerlocs suivaient à la lettre leur pensée, il auraient dû flinguer George Bush et jamais Micrososft ou Apple ne seraient devenus aussi puissants si Gates et Jobs avaient passé la moitié de leur vie au trou !! Bref, je ne suis pas un fan de DSK et je trouve même que c’était n’importe quoi de faire un film sur sa « fameuse » affaire à l’hôtel…et bien j’en ai eu la preuve. Aussi intéressant qu’un des nombreux films pseudo-érotiques que diffusait M6 dans le temps le dimanche soir juste après « Culture Pub », on suit les frasques luxurieuses de ce type abusant de son argent et de son statut et soi-disant atteint de nymphomanie…c’est plat (oui : même les scènes de sexe sont nazes…un comble pour un film américain !), rien ne se passe vraiment et au final on en titre aucune morale. Seul Depardieu s’en sort la tête haute car il arrive à faire quelque chose de son personnage malgré ce qu’on lui demande, par contre oubliez vite le reste du casting qui doit être composé de tous les intermittents du spectacle du coin. Bref, ce "Welcome To New-York" est un four monumental totalement dispensable, mal fichu, pas assez bossé pour pouvoir le sortir à temps pour Cannes et faire le buzz (et vu son niveau, il ne pouvait sortir qu’à Cannes !!!). Au final il n’est sorti qu’en VOD, cela présageait déjà du pire. Gardez votre argent et votre temps : il y a beaucoup mieux au cinéma en ce moment…

à fuir, film de bas de gamme à budget nul, n'est même pas à la hauteur d'un film X, aucune intrigue, aucun dialogue, de mauvais acteurs, aucun décor, très déçue de la prestation de Depardieu

Quelque soit l'homme, si DSK n'avait pas déjà été sali avec son histoire, ce film s'en charge.
Pas d'éléments pour faire un film intéressant, on dirait donc qu'ils se sont basés sur des ragots.
C'est assez mal filmé et ça ressemble plus à un vieux porno des pays de l'est qu'autre chose.
Contrairement à ce qui est dit, on ne ressent pas une histoire qui se veut critique des "gens de pouvoir" puisque la majorité des scènes sont sans puissance.
Aucun intérêt.

"Oh my gosh !", voila ce que j'ai dit à ma sœur quand elle m'a demandée ce que je pensais du film. J'ai envie de dire WHY ?? à Abel Ferrera ! L'affaire DSK est une affaire qui a fait le tour du monde. Le coté politique de cet affaire n'est aucun moment abordé ! Nafissatou Diallo a elle aussi dit des mensonges, mais cela est évoqué à aucun moment du film. Faut aussi se rappeler que DSK, malgré le fait d'être un monstre, il est quand même un trés bon économiste ! Non, Ferrera ne préfère pas évoquer ça. Il a préféré la simplicité, DSK est un c** , et point finale. Il y avait de quoi faire ave cette affaire ! Non, Ferrera a choisi de faire dans la vulgarité ! Moi, j'interdis ce film au moins de 16 ans. On peut montrer des scènes crues comme le fait Martin Scorsese dans le loup de Wall Street, mais la, s'était fait d'une façon tellement vulgaire et sans interet. J'avais l'impression de voir un film porno à deux balles ! Depardieu qui est un grand acteur, m'a déçu dans ce film. Pas à un seul moment du film, je l'ai senti dans son personnage ! Depardieu est en train de gâcher son talent ! J’espère qu 'il va se ressaisir ! Et, aussi, un WHY à Depardieu ! Pourquoi ces gémissements quand tu te branles ! WHY ??? J’espère pour lui qu'il ne fait pas ça dans la vraie vie ! Jacqueline Bisset essaie tant bien que mal de ressaisir le niveau du film. Mais, challenge non relevé ! Ferrera aurait très bien pu mettre en valeur ce personnage, et non ! Je donne la palme d'or à la réplique suivante " Je n'ai fais QUE me branler dans sa bouche ! " C'est le seul moment, ou j'ai une autre réaction que du dégoût en regardant ce film !
Pour résumer, film à éviter surtout en famille !

Je m'attendais à mieux. Les dialogues sont d'une faiblesse incroyable.

En dirais une série brésilienne mal traduite, avec des dialogues sans queue ni tête ! Je l'abonné a allocine uniquement pour manifester mon avis négatif sur se film !

Le seul intérêt de ce film tient dans sa première partie : si l'envie de voir ce que donne un acteur de qualité comme Depardieu tourner dans un film érotique. Cependant, je doute de l'intérêt de la chose et de l'attrait que cela représente pour la plupart des personnes...enfin chacun est libre avec sa libido ici n'est pas la question.

Bref ce film est tout simplement une ignominie. La lumière est dégueulasse, les actrices et acteurs ont été trouvé dans des mauvais porno, la réalisation et les dialogues n'ont aucun intérêts.

Profitez de ce film pour pouvoir apprécier plus facilement votre prochain.

C'est sur qu'au niveau cinématographique ce film est assez nul. Mais ce n'est pas là son intérêt.
On connait de l'affaire DSK ce que la presse en a relaté; on retrouve ces épisodes dans le film.
Et puis il y a ce qui s'est passé en huit clos, avec les avocats, avec sa femme.
Welcome to New York nous propose une version de ce qui a pu se passer là; une version sans doute pas très éloignée de la vérité (spécialement la 1ere partie du film quand on connait l'affaire du Carlton de Lille). C'est ce qui rend le film intéressant et utile pour se faire une idée de cet évènement historique.
J'ai bien aimé la façon dont le monde de Devereaux et de Simone sont opposés; et sa tentative d'explication de son acte; le fait qu'il n'a aucun remord

Je n'ai guère aimé ce film très racoleur et vulgaire qui nous présente -- sous le couvert de pseudonymes -- l'histoire archi-connue des frasques sexuelles de DSK, un homme qui a réussi à se flinguer tout seul comme un grand, en croyant que sa position sociale et politique lui assurerait une totale impunité. L'ensemble est très maladroitement réalisé, en insistant trop lourdement sur des aspects scandaleux, scènes de baise ou orgies. Je n'ai guère trouvé Depardieu convaincant dans ce rôle qui semblait pourtant lui convenir à merveille : aucune profondeur dans son interprétation superficielle qui met à la limite mal à l'aise. La grande star commence sérieusement à se déliter dans des rôles-poubelles comme celui-là. J'ajouterai que le parti-pris d'une bande-son entièrement en Français n'est absolument pas réaliste, compte tenu des lieux et des personnages impliqués. Pour résumer : un film inutile, qu'il est inutile de voir.

Inutile de dire que ce qu’on retiendra de ce téléfilm n’est en rien son contenu, ni scénaristique ni formel, mais bien le buzz qu’a suscité sa sortie en dehors des réseaux de distributions classiques. Alors qu’Abel Ferrara s’inspire ouvertement du scandale que fut l’arrestation de Domique Strauss-Kahn en mai 2011 tout en prenant soin de ne pas le nommer, Gérard Depardieu se fait plaisir à salir l’image de l’ancien directeur du FMI en interprétant son alter-égo comme étant un personnage méprisable à la gestuelle porcine. Ce cabotinage outrancier et l’esthétique des nombreuses scènes de sexe, surtout dans la première heure, à peine digne d’un vieux porno vintage participent à faire de cette pseudo-reconstitution un spectacle désolant. Et pourtant, c’eut été sous-estimé l’art de l’irrévérence et le regard noir qu’aime porter Ferrara sur l’humanité que de s’en tenir à cette surface diffamante et de ne pas chercher à voir derrière ce personnage monstrueux qu’est ce Devereaux un être fragile (à mi-chemin entre le Jordan Belfort du Loup de Wall-Street et le Brandon de Shame), dans les relations de pouvoirs qui le lient à sa femme une allégorie de ce que la politique a de plus cruel, mais surtout, dans la reconstitution de ses procédures judiciaires une virulente dénonciation de la justice à deux vitesse et de la corruption qui découlent de l’ultra-libéralisme des institutions américaines. On regretterait presque que Welcome to New-York n'ait pas été tourné avec d'avantage de soin!