Que dire de cette fiction à part son caractère extravagant et sa subtilité mal jouée ? Vulgaire, le film n'est qu'une inspiration floue de l'affaire DSK. La chose la plus formidable est l'interprétation de Gérard Depardieu qui est particulièrement sublime.
Vouloir faire une film, un "biopic" de cette histoire est un fait, c'est la mode, pourquoi pas, mais encore faut-il que cela soit pensé, réalisé avec un minimum de conviction et talent. L'Histoire de notre ex-futur-Président est connue, comme le Titanic la fin du film est connue, donc pour tenir le spectateur en "haleine" durant deux heures il faudrait un peu plus de talent du réalisateur et des acteurs. La réalisation nous présente le personnage Devereraux comme un soudard sans nom, auquel durant les 15 dernières minutes du film viennent des considérations philosophiques de bazard, de afé du Commerce ( et encore ... ?) sur sa vie et son déroulement ... Le rôle que l'on fait jouer -Mme Devereux - à , est également peu convaincant. Depardieu fait du Depardieu, se montre à poil, gémit, rugit, souffle ... j'ose imaginer que le réel ex-futur Président avait un peu plus de classe dans la vie de tous les jours. fait ce qu'elle peut, sans plus, tellement son rôle, son importance, dans cette affaire est à mon avis mal représenté. Les dernières scènes qui annoncent la fin du couple sont franchement nulles et relèvent de l'imagination pure et dure.. Bref, et dommage, un film loupé car l'histoire mérite mieux. Il aurait fallut montrer la psychologie de ces personnes qui se croient tout permis avec leur fric et leurs pouvoirs, qui méprisent ceux qu'ils sont supposé représenter. On dit que Mme St Clair et DSK veulent déposer plainte ...., ils ont tort, cela est donner trop d'importance à ce film qui ve se dissoudre lui-même dans quelques semaines.
Welcome to New York vaut le détour rien que pour la prestation de Depardieu en DSK lubrique... Bien sûr ce n'est pas un chef d'oeuvre mais loin d'être une bouse ce film se regarde facilement. Il n'est pas antisémite et n'est pas si choquant (on est loin du pseudo porno cheap évoqué par certains). Il montre surtout la sexualité malsaine du personnage principal : se croyant au dessus des lois, il n'a aucune humanité dans ses rapports sexuels. D'ailleurs Depardieu grogne de plaisir en jouant cet homme de pouvoir assoiffé de cul. Si la dimension politique est très peu abordée (normal de la part d'un réalisateur américain), le film se concentre sur le faits divers en lui même telle une reconstitution criminelle avec des acteurs de grand voire très grand talent. A noter que le film pointe le cynisme du couple : l'homme sans jamais aucun sentiment de culpabilité ni remords et la femme qui voit ses plans de première dame s'évanouir.
Il y a deux façons de traiter un sujet comme l'affaire DSK au cinéma. La première approche prendrait la forme d'un film-dossier, hyper-documenté mais distancié, où les données les plus choquante seraient regléguées à l'arrière-plan pour cause de traitement "sérieux". Welcome to New York a préféré opter pour la deuxième solution : braquer son projecteur sur tout ce qui fait le caractère exceptionnel du scandale, à savoir cette orgie dérangeante de pouvoir, d'argent et de sexe, où se mélangent le dégoût et la fascination. C'est une logique purement émotionnelle, quasi-irrationnelle, par laquelle chaque scène s'adresse à nos tripes (envie de vomir) et à notre cœur (tristesse, malaise) plutôt qu'à notre cerveau. En apparence, c'est la solution de facilité, celle du cinéma-choc qui excite et provoque des polémiques. Mais c'est aussi la plus difficile, car elle oblige à plonger dans les mêmes marécages que le héros, au risque d'être accusé de lui ressembler. C'est ça, le cinéma d'Abel Ferrara, un regard ambigu et tourmenté sur la condition humaine, loin des vérités toutes faites. Sans filet : dans le scénario, la scène de viol devait n'être que l'illustration des propos de la femme de ménage, mais on devine pourquoi le cinéaste l'a déplacée pour en faire une vérité objective : pour approcher au plus près d'un personnage autodestructeur, il faut soi-même se mettre en danger, sinon ça n'a pas de sens. Du coup, par effet miroir, la même ambivalence frappe le spectateur, qui révèle malgré lui ses travers. On a lu ici ou là que Welcome to New York était un film de cul ne faisant pas bander. Les gens capables d’écrire ça ont oublié que le cœur de l’affaire est un viol commis par un drogué du sexe dont l’addiction l’a détourné de son de voir politique, ou bien ils ne l’ont pas oublié, et c’est pire. Dans tous les cas, grâce soit rendue à Abel d’avoir ainsi fait vaciller les certitudes sur leurs bases.
C'est nul, on apprend rien, on s'emmerde pendant 2 h 00. Depardieu nous fait le gros pervers dégueu pendant une moitié de film et se prend pour une victime l'autre moitié. Bref zéro. Un gros battage médiatique car inspiré de l'affaire DSK c'est tout. De toute manière avec Ferrara fallait pas s' attendre à autre chose qu'un nanard...
Je n'ai pas l'habitude de descendre des films mais la trop, c'est trop. Ce film est insultant, indigeste, affreux, sans aucun intérêt. Ne surtout pas dépenser 7€ pour cette daube cinématographique. Abel Ferrara a traduit en image ses fantasmes antisémites et jaloux. Ce film a été produit non pour faire oeuvre, mais pour provoquer le scandale. Le problème, c'est que le scandale a déjà eu lieu et qu'aucune représentation ne l'égalera. Il sonne comme un règlement de comptes.
Gérard Depardieu, seul espoir tombe dans son auto-caricature et se dévoile (au sens propre) sous un angle que les spectateurs se contenteraient d'éviter.
Heureusement pour le bien de la population que ce film qui enchaîne les scènes pornographiques ne soit pas dans nos salles.
Quelle honte ! L'histoire n'est pas respectée, les scènes à reproduire sont prises sous le plus mauvais angle, les acteurs ne font aucune performance, la bande son est à l'image du film -nulle- les plans sont dignes de ceux Plus Belle la Vie et il y a une absence totale de ce qu'attend le spectateur en achetant ce "film" (comme par exemple les scènes avec point de vue familial pendant l'affaire
Nul. Ca commence avec 30 minutes de film porno (autant en voir un vrai que ça). Puis l'affaire DSK avec un fort parti pris du réalisateur et une caricature grossière de DSK.
Un drame américain d’Abel Ferrara qui, en s’inspirant librement de l’affaire DSK et en bénéficiant d’une campagne marketing inédite, suscite la curiosité. Cependant, rapidement, la réalisation paraît très faible, débutant de façon grotesque voire risible. Le film s'avère marqué d'une mise en scène bien fade, et d'une bande son déplorable, sans musique, seulement ponctuée de grognements, d'essoufflements, ou de dialogues d'une platitude grandiose, oscillant péniblement entre français et anglais. Le réalisateur semble avoir tout misé sur Gérard Depardieu, le monstre sacré, qui essaye ici tant bien que mal d’incarner son personnage mais qui, malheureusement, mime grossièrement plus qu’il ne joue, à l'instar des autres acteurs. L’ensemble du film sonne creux et la réalisation se révèle bancale, maladroite, superficielle et surtout ennuyeuse au possible, se perdant dans le sulfureux et le commercial. Un film très médiocre qui n’offre aucun intérêt autant sur le fond que sur la forme !
Ça ne vaut même pas 1/20. Le début est lamentable... Tout tourne autour du sexe. Ça n'en finit pas, j'ai l'impression de regarder un film porno. Depardieu est ridicule et lamentable dans ce rôle, il n'a pas grand chose en commun avec DSK a part peut-être leur appétit pour les femmes. Il n'empêche que les dialogues sont franchement pauvres, le parti est pris d'avance alors que tout cette affaire repose sur des éléments tellement fragiles que le procureur a du abandonner l'affaire. Depardieu n'est pas crédible et est pitoyable dans ce "film" qui le dévalorise. J'ai l'impression de voir une constitution brouillonne, provocatrice avec peu d'intérêt cinématographique. Je m'arrêterais là car je ne sais pas si je vais regarder jusqu'au bout. Je suis en train de rédiger cette critique en même temps que la diffusion de la vidéo - c'est dire si c'est ennuyeux... Les scènes trainent en longueur, c'est assez pénible.
Une vraie merde ce film! Et en même temps on le sent des le départ quand. Depardieu dit qu il a fait ce film car il déteste DSK, ça met le ton , celui de faire un film uniquement a charge qui va montrer un homme lubrique qui ne pense qu au cul, ne parle que de cul, ne fait que du cul et la 1ère demi hure ressemble d ailleurs a un film de cul. Pas de dialogue ..a croire ferrara, dsk n est pas foutu d avoir une conversation avec quique ce soit sans dire le mot baiser et niquer ! C est du grand n importe quoi ..ce film montre des incohérences : pourquoi un mec qui peut se faire toutes les plus belles filles du monde en claquant des doigts et tout le temps se jetterait il comme on le montre dans ce film sur une black fade et femmede ménage ? C est la l absurde de ce scénario qui veut tellement faire passer DSK pour un mec ne faisant que du cul toute la journée que cett plainte n en devient plus du tout crédible . Je comprends pourquoi Anne sainclair veut déposer plainte pour diffamation. Ce film est abject, Depardieu un gros porc qui en rajoute expliquant au début qu il déteste les politiques mais s acoquine avec Poutine !