Derniers Avis : Welcome to New York - Page 13

On a beau de ne pas aimer DSK et aimer Depardieu, ce film est quasi nul. Une demi-heure de mauvais porno, une demi-heure de Depardieu à poil dans sa prison (monstrueux) et une demi-heure de dialogues / onomatopées entre Depardieu et Bisset, plus le reste que j'ai déjà oublié. Manifestement, un film à charge. Que Depardieu n'aime pas les politiques ne justifie pas qu'il s'y soit commis.

Une petite pépite lorsqu'on sait à quoi s'attendre. N'attendez pas de ce film un thriller à suspense, une tragédie scénarisée ou même une autobiographie réaliste.
Ce film est une fiction (s'inspirant de faits réels). C'est le portrait de la dégringolade d'un "grand homme" qui au final n'est qu'un homme avec ses défauts comme d'autres. Cela nous permet de découvrir à quel point l'argent et la puissance peuvent faire perdre les repères de sociabilité commun à un homme qui est au-dessus de tout.
Le début du film peut paraître "too much" mais cela permet de vraiment comprend la psychologie du personnage par la suite (et pourquoi il n'essaye pas de décamper).

J'ai connu de tel spécimen dans ma vie et je trouve que la description faite dans le film colle à ce genre de personnalité que j'ai connu.

Bref, je pense que cette fiction se rapproche sûrement de ce qui s'est passé en vrai.

Je n'attendais pas grand chose de ce sujet, ni d'Abel Ferara, qui depuis Bad Lieutenant et Le prince de New-York, nous a déçu par des films médiocres. Mais j'ai été agréablement surpris par ce film et le jeu d'acteur formidable de Depardieu. Je le conseille vraiment.

J'ai beau aimer les nanars, que dans le plus moche et raté des films on peut trouver du beau...

Mais là, le chiant devient ridicule et il n'y a absolument rien à en tirer. Ce qui est dommage car il y avait des acteurs qui pouvaient faire la différence. Mais malheureusement le film va plus loin que le simple cliché, il rentre dans l'absurde de sens et dans l'attaque de personnalités !

Beaucoup de bruit pour tristement pas grand chose !

Nul. Comme les faits sont connus, on peut décrire le film, ça économisera du temps.
Premier tiers: Depardieu est au bureau, on amène des putes a Depardieu. Depardieu va a l'hôtel, il y a des putes dans sa chambre. Il ne fait que lorgner, tâter, et grogner "ah c'est joli ça!" et ça recommence pour une autre mini-orgie mal foutue et tristounette, même pas épique...
Deuxieme tiers: du Sofitel à la prison. La partie la plus intéressante du film: quand il repart de l'hôtel comme s'il ne s'était rien passé et retarde son embarquement pour un oubli de téléphone. Enfin dans l'avion, il aurait pu partir. Trop tard, on le débarque. Il n'y a pas de suspense car on connaît déjà l'issue. Des scènes de suspense à l'embarquement ont e´té bien mieux tournées dans "Midnight Express" ou "Last King of Scotland".
Toute la fin du film est glauque et mal jouée. Il sort de cellule, on montre les états d'âme de son épouse, leurs pauvres dialogues plats, mal écrits, mal joués et téléphonés qui sortent de "Dallas" version années 80...
Rien à sauver.

Un film buzz avec un Abel FERRARA toujours en manque d'inspiration depuis le génial "Bad Lieutenant".
C'est mal fait, un naufrage artistique total.
Le pompon ? Une post-synchro horrible qui donne l'impression que les acteurs se doublent assis tranquillement depuis leur sofa.
DEPARDIEU semble s’embêter et nous livre là une de ses pires prestations. BISSET est venue se perdre elle aussi dans une pellicule sans âme, noires et grotesque.
Le projet de ce film est comme l'histoire originale : une honte !

Quel navet. Les dialogues sont d'une pauvreté affligeante, l'authenticité est complètement absente, le jeu des acteurs est d'un ridicule à pleurer. Même pas une caricature, une belle daube dont je me suis épargné la fin. N'importe quel film porno est juste nettement plus intelligent.

Film sans aucun intérêt. Le scénario n'a rien d'intéressant. Le jeu d'acteur non-plus. En fait le film tout entier n'apporte rien à l'histoire, rien au cinema. Bref je le déconseille.

WELCOME TO NEW YORK : On a beau essayé, mettre toute la meilleure volonté du monde, il faut reconnaître qu'il n'est pas aisé de ‎passer outre la récupération trashy-commerciale de l'affaire DSK/Diallo. Abel Ferrara poussant, entre autre, le vice jusqu'à rebaptiser l'hotel new-yorkais : "The Carlton" comme pour disséminer des références supplémentaires et parfaire son personnage de DSK. De plus, Depardieu, lui-même, s'affranchi de son rôle de Dominique Strauss Kahn dans u‎ne vraie/fausse interview en préambule du film.

L'erreur, ou le "génie", à peut être été d'avoir voulu vendre le film sur DSK... sans cela celui-ci ne vaut pas plus qu'un mauvais Direct To Dvd de seconde zone. La première partie n'est que luxure, débauche et grognements de porc, le tout servi plus qu'à satiété et gratuitement! La deuxième partie, elle, est un fourre-tout : on nous relate quelques écarts et abus passés, sous-entendant même la mésaventure Banon ; puis Depardieu philosophe sur sa condition, son addition au sexe, l'argent et l'ambition de sa femme.

Seule lot de consolation mais non maigre, le retour de Jacqueline Bisset.

Côté réalisation, ce n'est guère mieux, celle-ci est approximative, à la limite de l'amateurisme et quasi indigeste (exception faite de la lumière). Les dialogues, enfin devrais-je dire pluôt les "échanges" [puisque visiblement un dialoguiste semble avoir été économisé] sont mal posés, entrainant des brouhahas et les plans mal cadré‎s.

En bref : une scripted-reality qui mérite d'être zappée!

#movie #review

Le réalisateur n'a pas voulu une sortie en salle au risque de ne faire que 300 000 spectateurs, il a eu raison, ça aurait été un désastre.

De Gaulle disait que la vieillesse est un naufrage, je dirai même pire c'est le titanic, en voyant ce genre de film (au vue de l'Age du réalisateur et de Depardieu).

Un film sans queue (si celle de gégé) ni tête, qui n'apporte absolument rien de nouveau sur l'affaire.

Seul les 2 policiers lors de la fouille au corps au moment de l'arrestation jouaient bien et pour cause, ce sont réellement les 2 policiers qui se sont occupés de DSK, dans leur propre rôle ou plutôt métier.

Quand au relent d'antisémitisme, c'est une autre affaire, c'est plutôt de la bêtise et de la débilité profonde et ça permet de faire parler du film, d'autant que je ne vois pas ce que viens faire cette pseudo révélation dans le film.

Bref, j'aurais été me payer un Mac do que ça aurait été beaucoup mieux.

Mais soyons honnête Depardieu a fait du Depardieu comme à son habitude, et je pense qu'il prend en plus ces désirs pour des réalités, car quand on le voie jouer, il jouie de la scène, ça se voit.

Depardieu me fait penser à Jean-Pierre Mocky (dans son style bien sur).

Quand à l'intéressé, il aurait du faire comme son ex épouse, ne rien faire, mon père m'a toujours dit 2 choses, une me... on la laisse sécher au soleil sans l'écraser surtout.

Et parler de quelqu'un, même en mal c'est le considérer.

Même si il c'est payer des parties fines, en quoi cela regarde le lambda, du moment qu'il ne viole personne, je ne voie pas où est le problème.

Allez maintenant on va pouvoir faire Kerviel, en train de jouir avec un ordinateur...

Un film qui ne montre pas la réalité de l'affaire ou du moins avec un avis très tranché !! Ce fameux homme d'affaire pour ne pas le citer est montré comme un violeur, un fou sans discernement.. J'ai du mal à croire qu'un homme aussi puissant qu'il l a été, puisse agir de la sorte.. Bref un film porno sans intérêt...

ce qui est intéressant dans ce film, c'est le personnage de anne sinclair
l'idée d'une femme qui travail dans l'ombre avec ses réseaux médiatico-politique pour faire de son mari un chef d'état et, pour moi, un paramètre evident de notre société
d'ailleurs avant cette affaire, le mythe de DSK était en cours de fabrication médiatique, il était présenté comme l'homme providentiel, un génie économiste, tous cela sans aucun fondement réel, d'ailleurs il suffit de regardé ce qui l'a fait au FMI, pour ce rendre compte qu'il n'a rien fait de positif pour le peuple, bien au contraire.

abel ferrara, très subtilement, fait référence aussi à un esprit très communautaire dans ce milieu des élites, ce qui est possible aux états unis, mais interdit en france
la référence a roman polanski est très bien venu.

entre sa femme et lui difficile de choisir lequel des deux est le plus détestable, surement les deux
DSK est un homme sans limite et sans aucune morale, pour être responsable du FMI c'est une "qualité" nécessaire.
je pense que DSK est nettement plus coupable d'être un fossoyeur de l'ultra-libéralisme, son vrai crime c'était sa politique qui continue aujourd'hui largement à dominé.
l'affaire du carlton n est que l'arbre qui cache la forêt d'une élite mondialisé qui ne pense qu'a ses propres intérêts sans aucun idéal politique, sans attachement à la nation française et aucun état d'âme
ce couple représente, plutôt bien, ce que sont nos medias et politiques d'aujourd'hui

malgré ce que disent les critiques, ce film est un des films les plus intéressant qu'a fait abel ferrara depuis "bad lieutenant", c'est un vrai film politique
pas étonnant que les medias ne soient pas très favorable, anne sinclair est un symbole des médias.

On sent que les auteurs ont précipité l'écriture du scénario, qui s'en retrouve ainsi bâclé. La mise en scène est d'une mollesse jamais revue depuis Derrick. On ne peut pas non plus échapper au malaise face à ce film qui nous prévient qu'il fait tout pour s'éloigner de l'histoire l'ayant inspiré, mais qui enchaîne les scènes de reconstitution et utilise les images d'archives... Honteux. Heureusement que
notre Gégé national est là pour sauver les meubles.

J'ai jamais vu Depardieu aussi mauvais, déjà que ce n'etait pas tout rose alors la ça va l'achever et quand à "Ferrara" je me demande comment il a pu tomber bien bas lui qui à fait quelques chefs d'oeuvres.. sans parler de l'image de la "Femme" qui est retranscrite dans le film a l'état de simple objet sexuel ...

DSK ne méritait pas ça, et personne ne le mériterait.
Quand bien même fut-il adepte des prostituées de luxe,
on veut nous faire associer DSK au gros porc joué par Depardieu.

C’est une humiliation inadmissible pour lui et pour la France, car il s’agit
d’un ancien ministre, et d’un des meilleurs économistes internationaux,
qui malgré tout reste français.