Derniers Avis : Welcome to New York - Page 11

Et bien je m'attendais à pire avec tout ce que les gens en disait, mais finalement c'est pas si affreux, le film n'est ni un chef d'oeuvre ni une bouse, mise à part les scènes de cul un peu longues (et je précise pas si nombreuses au final) le tout reste intéressant à suivre, faut un peu s'enlever DSK de la tête et y voir une fiction, même si ça parait dur.
Gérard Depardieu est très bon dans son rôle, dans le rôle d'un gros porc, gras et fou du sexe, il est top et au final joue un personnage plus profond que ça, Jacqueline Bisset est elle aussi très bonne.
Niveau réalisation, pendant un bon moment je me suis dit "on dirait un film érotique des années 80", la réalisation est assez dégueulasse, mais au final j'y ai vu plus une immersion dans l'histoire qu'une réal bâclée, une histoire comme ça avec de beau plan bien fait, de beau travelling et j'en passe ça ne l'aurait pas fait, là on est presque dans le documentaire, dans l'immersif et au final c'est pas si mal.
Coté mise en scène ça reste correct et niveau scénario c'est clairement l'affaire DSK, on reconnait les scènes qui ont bien fait parlés pendant un bon moment avec un coté dramatique pour ne pas tomber dans le cliché et la facilité.

En bref on est fasse à un film regardable, qui ne mérite pas toute cette censure ni tout ce tapage, pas un film indispensable mais qui se voit sans mal.

ou a t il trouver des personnes pour produire cette sombre merde ....

Filmé façon caméra au poing, petit budget et peu de décors, la technique du réalisateur est bien là, cadrage, photographie volontairement terne et assez "neigeuse". Depardieu y incarne de manière détournée DSK, qu'il ne peut pas encaisser dans la vie. Un vrai rôle de composition donc, qu'il aurait même incarné gratuitement tant il le déteste. On y voit avec froideur et sans aucun far le côté lubrique, malsain et négatif de DSK. Un film osé, qui rentre dans le tas et nous laisse je pense une image sûrement assez proche de la vérité sans clairement prendre de parti pris.

Regardez le a tout pris !

Film de l'année sans aucun doute, Depardieu est incroyable !

Chef D'oeuvre.

Je conseil a tous de le commander, quel dommage qu'il ne passe pas en salle

La vraie face de certains milieux. Depardieu egal à lui meme mais il efface quelque peu la prestation de Bisset.

Film très mauvais. Sans intérêt n'apporte rien de plus. Contient beaucoup d'incohérence et d'inexactitude. Tout est trop lourd. Depardieu n'est pas à son niveau habituel et Jacqueline Bisset est extrêmement mauvaise en Sinclair. En gros une bonne daube.

Welcome to New York...Well well well...A la base je ne suis pas fan d’Abel Ferrara. Dans les années 90, «Bad Lieutenant» avait fait sensation dans un genre polar-provoc, mais aujourd’hui ce même Lieutenant est devenu rance en comparaison avec le remake réalisé par Werner Herzog. «Nos funérailles» n’était pas trop mal non plus, mais je ne suis pas sur que le temps bonifiera le cinéma de Ferrara.
J’aime des scènes, prises de ci de la dans sa filmographie, mais un film intégral me gonfle au bout d’une demi heure. Je reconnais son audace à faire tourner certaines figures, et quelques bonnes idées de mise en scène.
Pour Welcome to New York, la question est de savoir pourquoi regarder ce film. DSK, je m’en tamponne grave, et son histoire sofitelienne surmédiatisée aussi. Les faits réels dont le film s’inspire relatent une période dans la vie de ce mec, queutard invétéré, poste haut placé genre intouchable, dont le temps libre est consacré à baiser, boire, baiser, baiser et encore baiser des putes made in pays de l’est évidement ! Ce film est vulgaire, pas intéressant, lourdingue, et possède l’image d’un spot télé pour un parfum cheap. Depardieu n’est pas dirigé du tout par Ferrarra dans ce rôle de gorille obsédé sexuel aux grognements terrifiants. Peut être se dirige-t-il lui même ? Ou peut-être ne joue-t-il pas du tout ? Voici les questions que je me suis posées, scrutant l’animal par le biais de mon écran-microscope, et ce pendant près de deux heures...c’est long, c’est chiant, ça ne sert à rien.

Je savais que ce serait un navet, mais bon, curiosité oblige . Au final, je n'ai pas pu tenir , j'ai regardé en 15 min en survolant le film. Doublage Francais malheureux . En fait , l'avantage de ce film c'est que finalement on fini par se mettre du coté DSK . et oui DSK , n'est pas aussi grossier que Gerard Depardieu, et je pense tout de meme qu il doit être plus fin que cela. Nous avons vu la un Boeuf en plein d'action. c'est tout . ce qui est interressant ds l'histoire de DSK, ce n'est pas que l'histoire de NY, c'est son histoire, comment as t il réussi a gravir les échelons pour arriver au FMI , et peut être la présidentielle puis la descente . On sent que Ferrara s'est empressé de raconté cette histoire car il fallait tout de suite avoir les droits . Cette histoire est survolée, mal interprétée. Bouffonne a la base , Bouffonne avec une couronne au Final. Gerard , je pense que tu es très mal placé pour critiquer . Role le naze de ta vie .

L'histoire prend nettement parti pour la thèse du viol, avec un eclairage inedit du role d'anne Sinclair derriere la defense de DSK. Je me suis régalé, par contre y'a pas mal de scenes erotiques, donc moins de 12ans... Depardieu est grandiose dans ce role! ca va pas etre le film de l'année, mais c'est un film a voir!!

Malgré ses excès de jeu agaçant, on ne pourra pas reprocher à Depardieu de ne pas s’impliquer totalement dans ce projet, jusqu’au dénuement physique et moral. Au détour de (rares) scènes furtives, transpire ce qu’aurait pu être Welcome to New York. Et qu'il n'est pas, pour le coup. Formellement hideux et à la limite de l’amateurisme, insupportablement surjoué et surtout vide de sens et de consistance, Welcome to New York est un petit monument de crasse nauséabond et stupide dans lequel Ferrara semble se noyer sans trop savoir quoi faire si ce n’est répéter les mêmes scènes sordides pour appuyer un propos déjà bien compris, avant de tenter d’embrasser une (faible) profondeur qui finalement tombe dans la confusion, l’imprécision et le hors-sujet. La suite sur Mondociné.

Très difficile de juger ce film, écrasé par son sujet, son contexte, le déchainement critique depuis qu'il a été exposé. Antisémite, abject, navet, grotesque... Ce n'est pas un chef d'œuvre, loin de là. Certaines séquences sont embarrassantes, les dialogues improvisés en franglais entre Depardieu et Bisset laissent imaginer la surdité de Ferrara aux subtilités de notre langue, etc. Mais ce sont les mêmes critiques qui vont s'extasier devant la nullissime "Bataille de Solférino" dont le principe d'écriture est précisément le même, d'un bout à l'autre. Dans "Welcome..." il n'y a pas que ça, loin de là. Ferrara parvient à recréer l'atmosphère d'irréalité dans laquelle évolue le personnage de Devereaux, et l'enchainement qui va conduire à l'affaire est très bien rendu, avec un prosaïsme et une fluidité assez remarquables dans la mise en scène, émaillé de séquences marquantes comme le déshabillage de Gégé la Baleine devant un officier de police. Dommage que la fin paraisse bâclée, avec le monologue ridicule de Depardieu contemplant New York, une stupide adresse-caméra, les faiblesses du face-à-face entre Simone et Devereaux, accumulation de maladresses qui minore les qualités de l'ensemble. Le film ne méritait peut-être pas la compétition mais au moins une sélection à Un Certain Regard, car c'est bien au sens propre de quoi il s'agit ici. Un certain regard sur une affaire très contemporaine, plutôt qu'un véritable éclairage. Et une incontestable longueur en bouche, assez amère, mais insistante.

Génial! Bravo Gérard! Un joli bras d'honneur à la bien-pensance!

Un gros Navet , un gros buz pour rien. Aucun intérêt.

A la base, "l'affaire" DSK pue la merde. Il est donc logique que comme tout étron, elle attire les mouches. De belles et grosses mouches, bien grasses à l'image de notre Gégé national qui n'en finit pas de sombrer au fin fond de sa fosse sceptique. Dans quelle auge peut on se vautrer pour continuer à faire parler de soi? La réponse est là...
A noter la poésie de la question posée par le flic New-Yorkais lors de l'arrestation de DSKpardieu: "Casque ou capuche"? Répétée trois fois pour que le crétin d'extrême droite de base la comprenne bien. Sait on jamais! Il faut savoir ménager son public...