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crisane vegeta
11 abonnés
416 critiques
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4,0
Publiée le 30 août 2024
excellent film d'action, ce huit clos ce passe dans une chambre d'hôtel ou une prostitué et mère d'une petite fille va tout faire pour survivre, la mis en scène est impeccable, les acteurs convainquant, très bonne scènes d'action, on s'ennuie pas une seconde et l'histoire nous tient en haleine jusqu'au bout, à voir absolument.
ce n est pas le film du siecle mais j ai trouver plutot originale le principe du hui clos sanglant. le film m'as bien fais marré et je pense que je le regarder a nouveau un de ces jours
Film vraiment aux fraises un Huit clos hors sujet ou Salma Hayek joue de sa plastique mais voilà sa ne fait pas tout encore faut il que l'histoire tienne la route
4 554 abonnés
18 103 critiques
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0,5
Publiée le 14 septembre 2021
Everly est un film extrêmement gore et sans intérêt. Tous aussi mauvais que Kill Bill auquel on ne peut malheureusement pas s'empêcher de penser. C'est juste une excuse pour beaucoup de sang de tirs de coupures de blessures et pour nous montrer la beauté de Salma Hayek et c'est vrai quel est très belle. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi l'héroïne ne les tue pas tous directement comme elle semble si douée pour cela au lieu d'attendre que la prochaine équipe d'abrutis violents et inutiles se présente. Au niveau du scénario c'est vraiment une histoire plus que pauvre et presque sans intérêt. Ne vous attendez pas à un véritable rebondissement à une décision intelligente de la part de Salma Hayek ou à une quelconque vraisemblance ou crédibilité dans ce film. Pour ceux qui aiment la violence stylisée pour le plaisir vous pouvez passer votre temps que les autres ne perdent pas le leurs sur ce film sauf si vous êtes vraiment un fan de Salma Hayek bien sûr...
Au vu du pitch et de sa non-sortie en salles en France comme aux États-Unis, je n'attendais nul miracle d' « Everly », juste une bonne bourrinade bénéficiant de la présence de la torride Salma Hayek : pour le coup, j'en ai sans doute eu un peu plus qu'attendu. Doté d'un minimum d'humour et offrant quelques situations savoureuses, le film crée surtout la surprise en nous faisant comprendre qu'il aura lieu entièrement en huit-clos, jouant pas mal de cette (relative) originalité en faisant passer son héroïne par tous les états pour systématiquement la ramener à son point de départ. L'occasion de scènes d'action peu crédibles et assez délirantes, plutôt bien foutues, le côté « bad ass » se prenant peu au sérieux tout en gardant une certaine cohérence dans le récit s'avérant distrayant. Dommage que Joe Lynch semble déjà avoir tout dit au bout d'une toute petite heure, la suite virant à plusieurs reprises aux excès en tout genre et à une forme de violence gratuite, certes vaguement efficace, mais ne masquant plus la minceur du fil narratif, même la relative légèreté caractérisant le projet jusque-là finissant par s'estomper. Heureusement, vous l'aurez compris : la présence de la sublime Salma est un atout essentiel tant celle-ci fait preuve d'une présence et d'un sex appeal incroyable : la voir se battre contre la Mafia japonaise dans des tenues idéalement choisies est un véritable régal pour le spectateur masculin. Bref, plutôt ingénieux et dynamique dans sa première moitié, nettement plus banal et répétitif dans sa seconde, un titre dont la meilleure idée reste le talent de son actrice principale (et quelle actrice) : anecdotique, trop long, mais relativement distrayant.
A part dans "Frida", la belle Salma n'a jamais montré de grandes qualités d'interprétation, mais bon. Pendant 15 minutes on croit que l'on va assister à quelque chose de jouissif, on déchante vite, ça devient n'importe quoi à tel point que la vision devient insupportable (au sens propre). Et puis cette pudibonderie au milieu de cette hémoglobine finit par devenir absurde, pour paraphraser un collègue "C'est quoi ce monde où il est plus facile de montrer des gerbes de sang qu'un bout de téton féminin".
Un huis-clos plutôt bien rythmé à prendre au second degré, avec une baisse de régime vers la fin. Une parodie burlesque de Kill Bill parfois à la limite du gore à voir entre amis pour bien rigoler. Évidement, âmes sensibles s'abstenir.
Attention :Ce film est à prendre au second degré, Et il faut aimer les morts à foison et le sang qui gicle. Si on remplit les conditions ci dessus, ce film se laisse regarder sans problème. C'est un bon divertissement avec un bon rythme. On pardonne facilement les incohérences puisque le film ne se prend pas au sérieux. Donc Everly ce fait enlever et reste 4 ans enfermée, dans cet appartement ou se déroule l'action, contrainte à se prostituer pour le compte du méchant Taiko, Comme aucune explication n'est donnée, on peux donc en déduire que servir d'esclave sexuel permet de devenir expert en arme à feu, en arme blanche, en kung fu et en stratégie militaire. Grâce à ce film, je sais ce qui est arrivé à Rambo au Vietnam. Et rappelez vous ! Dans le 2 il est encore plus fort, après être aller au pénitencier. Et les monastères Thaïlandais, ben je suis pas près d'y mettre les pieds. Il faut préciser que ce n'est pas un huit clos, car, même si l'action se passe toujours dans le même appartement, il y a un nombre impressionnant de personne qui y rentrent et qui en sortent (même si ce n'est pas toujours par la porte), alors que dans un huit clos proprement dis, tout se passe dans le même endroit et personne ne rentre et personne ne sort. M'enfin, c'est peut être un détail. Bon, et si vous n'avez pas de second degré et que vous n'aimez ni les tueries, ni le sang qui gicle, il y a encore un espoir pour ce film si vous aimez la belle poitrine de Salma Hayek, bien mise en valeur.
Un film d'action fait avec pas grand chose et qui du coup, concentre son intrigue sur un immeuble. Le tout est porté par S. Hayek qui s'impose en femme forte et sexy, maniant les armes avec dextérité et prête à tout pour survivre et surtout, sauver sa fille. L'intrigue réserve son lot de rebondissements et nous propose une belle galerie de personnages bien barrés, le tout dans un flot d'hémoglobine. Alors certes, ce n'est pas très malin et encore moins bien écrit mais on a droit à quelques moments réjouissants, le metteur en scène nous trousse quelques plans sympas mais il montre aussi pas mal de limites dans son découpage en dépit de la présence d'un bon directeur photo à la barre. En clair, certains plans sont magiques et marqués du sceau de son amour les images badass qui claquent, d'autres partent de bonnes intentions mais ne sont pas vraiment concrétisées. Un joyeux foutoir ultra-violent qui ne propose pas grand chose de neuf pour le genre mais qui a de l'envie et quelques idées, ce qui est déjà pas mal. D'autres critiques sur
"Everly" est un huit clos policier tourné par Joe Lynch en 2014. Il met en scène une prostituée, Everly, qui passe un sale quart d'heure dans son appartement en butte aux violences des hommes de main de son ex mafieux de mac Taiko. Everly est en effet devenue une indic de la police qui s'est fait percée à jour. La jeune femme tourne vraiment "badass" quand Taiko menace de s'en prendre à sa fille et à sa mère...
Sur le thème du siège, Joe Lynch signe un "film qui se regarde", toujours à la limite de l'éclat de rire même en cas de scène gore. Le fantôme de "John Wick" n'est pas très loin, de même que les productions Grindhouse, même si la réalisation l'ambition d'"Everly" demeurent moindres.
Le deuxième degré est constant dans le film, l'armée de prostituées qui débarquent pour éliminer la ravissante Everly n'a pas la moindre chance, se prenant les pieds dans le tapis à chaque tentative. Il en sera de même pour les truands qui se succèderont par la suite.
Coté casting, rien de bien notable à part Salma Hayek qui semble avoir revu ses ambitions à la baisse depuis Frida Kahlo.
Ce film n'est presque pas complètement nul. Une introduction choc assez réussie, un petit esprit Grindhouse, un sous-sous-sous Kill Bill, mais avec Salma à la place d'Urma (chouette)... Sauf qu'il aurait fallu que ce soit drôle, or ça ne l'est pas, et la fin traine franchement en longueur. Conclusion, on s'ennuie ferme. Mais après tout, Salma Hayek ayant visiblement décidé de faire n'importe quoi avec sa carrière ("copains pour toujours", la faute ultime sur son CV !), grand bien lui fasse, on ne peut pas être plus royaliste que le roi.
Tout compte fait, le temps où Salma Hayek débutait dans Une nuit en enfer n'est pas si loin. Vingt ans plus tard, madame Pinault se trimballe toujours une plastique à rendre jalouse des minettes de dix-huit ans qu'elles n'auront sûrement jamais. On retrouve donc la miss dans une autre série B ultra-sanglante. Everly du nom de l'héroïne qu'elle incarne à l'écran avec un mélange de sensualité et de brutalité que l'on s'attend à trouver dans ce type de péloches. Car oui, il ne faut pas s'attendre à trouver une quelconque philosophie dans le film du réalisateur de Détour mortel 2. Everly est conçu comme un gros jeu vidéo où elle doit repousser des vagues d'ennemis jusqu'au boss final quasiment sans interruption. Un peu à la manière du fameux mode Horde de Gears of War 2 et 3. Et en matière de boss, certains sont gratinés. Si le boss de fin du jeu, enfin de fin du film, est un chouïa décevant, le sadique et le masochiste donnent quelques sueurs froides. Everly suit la voie de tous ces slashers sortis depuis Boulevard de la mort en 2006. Une héroïne super-sexy, même à quarante-huit ans, des flots d'hémoglobine, des gros flingues, des prostituées, des méchants sans aucune morale, une histoire qui forcément tient sur un ticket de métro. Et il y a Salma. Peut-on lui refuser quelque chose ?
Everly est coincée dans son appartement car on veut l’éliminer et… plus rien. Everly est un huit clos sanguinolent, ça oui, mais à côté de cela il n’y a rien en dehors d’un profond ennui. Quelques scènes d’actions qui valent un très petit coup d’œil mais en dehors de cela, il n’y a strictement rien à sauver de ce film. Que ce soit le scénario qui accumule les erreurs et les incohérences scénaristiques ou que ce soit l’interprétation plus que médiocre de Salma Hayek, sans compter sur le renfort d’un réalisateur incapable et qui n’a jamais réussi à faire un film potable de sa carrière. Je ne comprends pas que l’on puisse comparer cela à un film de Tarantino ou au Desperado de Rodriguez (l’époque où il avait encore du talent et des idées).
On était venu voir Salma Hayek dézinguer plein de types... Ben, on a vu Salma Hayek dézinguer plein de types ni plus ni moins.
"Everly" est un huit-clos qui voit une prostituée résister contre des vagues successives d'ennemis, membres de l'organisation mafieuse de son diabolique mac. Perdu sous le poids d'un million de références à la seconde (coucou Tarantino, Rodriguez, le cinéma d'action asiatique ou une séquence pompée sur du Edgar Wright) et doté d'une intrigue digne d'un jeu vidéo (on passe d'un mini-boss à un autre) qui aurait oublié la définition du mot "vraisemblance" en cours de route, "Everly" est un mauvais film. Mais un mauvais film sauvé par quelques fulgurances visuelles, des idées bien barrées (le Sadique et son Masochiste, haha) et une certaine générosité qui permettent à cette petite "bisserie" de prétendre au statut de petit plaisir coupable régressif.
On n'en retiendra pas grand chose mais on se sera quand même bien amusé devant cet anecdotique film d'action survitaminé capable du pire comme du meilleur - on a vraiment l'impression que Joe Lynch est conscient du potentiel de certaines scènes où il se lâche complètement avant de retomber dans une certaine platitude dans les suivantes. Et puis Salma Hayek est en grande forme, ce qui ne gâche rien.
Une parodie burlesque de Kill Bill assez originale pour susciter l'attention, totalement invraisemblable, presque onirique. Filmé à huis clos dans un appartement, chapeau au réalisateur inconnu Joe Lynchle eu égard au budget, qui est sans aucun doute une peau de chagrin.