Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Critikat.com
par Julien Marsa
Sacha Polak réussit à se sortir des lieux communs et à insuffler une véritable puissance émotionnelle au parcours de cette jeune femme qui se cherche.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
par Clémentine Gallot
Polak sonde les gains et pertes sociales de l’indépendance sexuelle, à la manière des films de Paul Verhoeven, époque néerlandaise. Jusqu’à la fin où, ayant évité jusque-là toute psychologie et ne faisant aucun cas d’un supposé mystère féminin, le film finit par disperser sa charge érotique dans une interprétation œdipienne trop premier degré.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une douce descente aux enfers, filmée avec grâce. Mais tout est suggéré au lieu d’être exploré. Le film a quasiment plus de qualités photographiques que de qualités humaines. On restera néanmoins attentif au travail de cette cinéaste prometteuse, à qui il a manqué un vrai sujet.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
L'ensemble est pourtant assez finement mené et interprété pour surprendre et, pourquoi pas, nous prendre dans ses filets.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Portrait fragmenté d'une femme-enfant en quête d'elle-même, ce premier film, à la fois cru et sensuel, sonne terriblement juste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une facture propre et clinique qui n’est pas sans élégance. Mais ça reste light, comme ces mannequins pour papier glacé au style soigneusement débraillé, vautrés dans une débauche cosmétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Mathilde Blottière
Sacha Polak évoque en filigrane l'expérience parfois douloureuse d'une génération pour qui le sexe est supposé aller de soi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Ce premier film nous convie à une étonnante valse des corps qui débouche sur une étude de caractère assez douloureuse. Malgré une réalisation diversement inspirée, l’ensemble séduit par ses quelques audaces d’écriture.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Sandrine Marques
Certes joliment mis en image, ce film met une heure à amorcer un semblant d'enjeu dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Eric Derobert
Le début oscille entre une photographie surexposée, presque blanche, et des plans de boîtes de nuit au couleurs artificiellement chaudes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Critikat.com
Sacha Polak réussit à se sortir des lieux communs et à insuffler une véritable puissance émotionnelle au parcours de cette jeune femme qui se cherche.
Cahiers du Cinéma
Polak sonde les gains et pertes sociales de l’indépendance sexuelle, à la manière des films de Paul Verhoeven, époque néerlandaise. Jusqu’à la fin où, ayant évité jusque-là toute psychologie et ne faisant aucun cas d’un supposé mystère féminin, le film finit par disperser sa charge érotique dans une interprétation œdipienne trop premier degré.
L'Humanité
Une douce descente aux enfers, filmée avec grâce. Mais tout est suggéré au lieu d’être exploré. Le film a quasiment plus de qualités photographiques que de qualités humaines. On restera néanmoins attentif au travail de cette cinéaste prometteuse, à qui il a manqué un vrai sujet.
Le Journal du Dimanche
L'ensemble est pourtant assez finement mené et interprété pour surprendre et, pourquoi pas, nous prendre dans ses filets.
Les Fiches du Cinéma
Portrait fragmenté d'une femme-enfant en quête d'elle-même, ce premier film, à la fois cru et sensuel, sonne terriblement juste.
Les Inrockuptibles
Une facture propre et clinique qui n’est pas sans élégance. Mais ça reste light, comme ces mannequins pour papier glacé au style soigneusement débraillé, vautrés dans une débauche cosmétique.
Télérama
Sacha Polak évoque en filigrane l'expérience parfois douloureuse d'une génération pour qui le sexe est supposé aller de soi.
aVoir-aLire.com
Ce premier film nous convie à une étonnante valse des corps qui débouche sur une étude de caractère assez douloureuse. Malgré une réalisation diversement inspirée, l’ensemble séduit par ses quelques audaces d’écriture.
Le Monde
Certes joliment mis en image, ce film met une heure à amorcer un semblant d'enjeu dramatique.
Positif
Le début oscille entre une photographie surexposée, presque blanche, et des plans de boîtes de nuit au couleurs artificiellement chaudes.